o Le monde non vivant comprend : - les composantes minérales, encore appelées éléments minéraux : l'eau, les roches et l'air invisible. L'eau, salée ou douce, occupe la majeure partie de la surface terrestre. L'air, sous forme de gaz, contient du diazote, du dioxygène, du dioxyde de carbone et des traces de gaz rares.
Notre environnement comprend des éléments non vivants ou minéraux (roches, air, eau, soleil) et des êtres vivants qui entretiennent des rapports directs ou indirects, permanents ou temporaires, positifs ou négatifs avec l'Homme.
On distingue dans notre environnement : - des composantes minérales (roches, air, eau) ; - divers êtres vivants en relation les uns avec les autres et avec leur support (relation alimentaire, …) - des manifestations de l'activité humaine (papiers…)
Les éléments environnementaux sont traditionnellement l'eau (salée et douce), l'air, le sol et les espèces de la faune10 et de la flore considérés dans leur diversité. Ces différents éléments se perçoivent dans des systèmes fonctionnels et relationnels (écosystèmes)11.
Les caractéristiques physiques de l'environnement, température, ensoleillement, humidité sont changeantes tout au long de la journée, ce qui modifie les caractéristiques des milieux de vie et ainsi la répartition des êtres vivants dans l'environnement.
Environnement naturel : climat, géographie, faune, flore et tout ce que l'on trouve dans la nature. Environnement culturel : les objets fabriqués par l'homme ou ses activités socio-économiques.
Ce même rapport rappelle que l'environnement fournit l'essentiel des ressources naturelles vitales de chacun (eau, air, sol, aliments, fibres, médicaments, etc.) et de l'Économie ; « Presque la moitié des emplois mondiaux dépendent de la pêche, des forêts, ou de l'agriculture.
– les pesticides et assimilés (engrais, insecticides) ; – les pollutions atmosphériques (gaz des usines, fumées des véhicules, odeurs) ; – la pollution des eaux et des sols (pollution radioactive, chimique et biologique) ; – les nuisances diverses (bruits et émissions sonores, fumées des cigarettes et pipes).
L'environnement traite de la combinaison des éléments naturels (le champ de forces physico-chimiques et biotiques) et socio-économiques qui constituent le cadre et les conditions de vie d'un individu, d'une population, d'une communauté à différentes échelles spatiales.
Les conséquences de cette dégradation sont variées et elle peut provoquer de nombreuses conséquences comme l'extinction d'espèces, d'une perte de biodiversité, d'une perte de qualité de l'air, de la pollution de l'eau, de l'érosion du sol ou une augmentation de l'effet de serre.
La définition la plus simple d'un écosystème est la suivante : il s'agit d'un ensemble d'être vivants qui vivent au sein d'un milieu ou d'un environnement spécifique et interagissent entre eux au sein de ce milieu et avec ce milieu.
En général, les activités humaines ont des répercussions sur l'environnement lorsque : elles produisent des rejets (émission de polluants, eaux usées, production de déchets, etc.); elles modifient (dégradent) le sol et l'habitat; elles utilisent et font disparaître les ressources.
La nature est tout ce que les humains n'ont pas créé, qui agit sur eux et sur lequel ils peuvent ou rêvent d'agir. L'environnement est ce tout naturel, plus tout ce que les humains ont créé au cours de leur évolution.
En aménageant le territoire, l'homme modifie son environnement naturel : il détruit parfois des milieux de vie. Cependant, il prend peu à peu conscience des dangers qu'il fait courir à la planète et commence à restaurer des milieux qu'il a transformés.
La pollution, y compris l'utilisation de produits chimiques, de combustibles fossiles et de plastiques, perturbe les écosystèmes de la Terre et, ce faisant, nuit aux espèces et les force à modifier leurs habitudes.
Les avantages de l'économie verte sont d'ordre social, économique et écologique. Des emplois meilleurs et plus nombreux, moins de pauvreté et plus d'égalité. Des villes plus propres, des rendements agricoles plus élevés, des écosystèmes en meilleure santé. L'économie verte est une évolution dont l'heure est venue.
Selon une enquête de l'association Générations Futures, 72,6 % des fruits et 41,1 % des légumes contrôlés par la répression des fraudes (DGCCRF) entre 2012 et 2016 contenaient des résidus de pesticides. Les fruits les plus contaminés sont les raisins, les clémentines et les cerises.
4 – La viande industrielle : la pire empreinte carbone
La viande industrielle en particulier est extrêmement nocive pour l'environnement : avec une alimentation à base de grains et de soja, la production de viande contribue notamment à la déforestation, à la production de gaz à effet de serre (notamment le méthane).
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Pour préserver l'avenir de l'humanité, il est donc devenu indispensable de veiller à protéger notre environnement, car premièrement l'environnement est notre source de nourriture et d'eau potable, mais il est également notre source d'air, d'oxygène, on utilise la biodiversité pour la fabrication de nombreux médicaments ...