Au vu de la définition ci-dessus, nous pouvons voir que la RSE se caractérise par trois piliers : le pilier économique, le pilier environnemental et le pilier social. Ces trois piliers sont interconnectés, ils s'articulent entre eux et ne peuvent fonctionner l'un sans l'autre.
La transparence et la reconnaissance des intérêts des parties prenantes (RSE) sont trois principes majeurs en lien avec : identification des parties prenantes et communiquer avec elles pour connaître leurs besoins (ISO 26000) mise en avant des initiatives de l'entreprise vis-à-vis du public (ISO 26000)
La contribution au développement local ; Les relations et conditions de travail ; Les bonnes pratiques des affaires ; La protection des consommateurs.
En d'autres termes, la RSE c'est la contribution des entreprises aux enjeux du développement durable. Une entreprise qui pratique la RSE va donc chercher à avoir un impact positif sur la société tout en étant économiquement viable.
Quels sont les principes de la RSE ? L'objectif principal de la Responsabilité Sociétale des Entreprises est de responsabiliser les entreprises, de toutes les tailles et de tous les secteurs, vis-à-vis de l'impact environnemental et humain de leurs activités.
Les enjeux sociaux
Les actions mises en place visent à favoriser la qualité de vie au travail, à encourager le dialogue dans un cadre de travail serein. La RSE intègre également des valeurs en matière d'égalité, de non-discrimination et de juste rémunération au sein de l'entreprise.
Quels sont les 3 piliers de la RSE ? La responsabilité sociale des entreprises est un concept large qui peut prendre de nombreuses formes selon l'entreprise et le secteur d'activité. La RSE est souvent divisée en 3 catégories : les impacts environnementaux, la responsabilité sociale et les responsabilités économiques.
S'agissant des outils, ils se rassemblent autour des 3 piliers RSE : social, environnemental et économique. Certains agissent sur plusieurs piliers, les outils multidimensionnels, d'autres se concentrent sur un seul pilier, les outils unidimensionnels.
La RSE toujours confrontée à des freins
Les directions RSE sont également confrontées à un manque de ressources humaines, freinant leurs actions. Autre problématique : le besoin de méthodes ou d'outils pour évaluer l'impact ou le ROI des actions RSE. L'engagement des salariés est quant à lui un élément qui divise.
Ainsi, on retrouve les questions ouvertes au registre courant, les questions ouvertes au registre soutenu et les questions ouvertes au registre familier.
Être en conformité avec la loi : appliquer une démarche RSE permet de s'assurer du respect des normes réglementaires en matière de respect de l'environnement, de lutte contre la discrimination, de droit des travailleurs, d'égalité…
Cette loi PACTE rend obligatoire pour toutes les entreprises la prise en « considération des enjeux sociétaux et environnementaux de son activité » (Article 1833 du Code Civil).
Les actions RSE sur le plan économique
soutenir l'économie locale en faisant appel à des partenaires locaux (fournisseurs, transporteurs…) acheter local et faire appel aux circuits courts, acheter responsable en se tournant vers des produits et des fournisseurs respectueux de l'environnement.
Le terme de développement durable s'adresse à toutes les sphères de la société tandis que le terme RSE (Responsabilité sociale et sociétale des entreprises) s'adresse exclusivement aux entreprises ou tous types d'organisations de façon générale.
Elles répondent aux objectifs généraux suivants : éradiquer la pauvreté sous toutes ses formes et dans tous les pays, protéger la planète et garantir la prospérité pour tous (voir : trois piliers du développement durable).
Les principaux risques encourus par une entreprise qui se lance dans la mise en place d'une démarche RSE peuvent être : un risque juridique, puisque certains engagements peuvent mettre votre entreprise ou un salarié à mal vis-à-vis de la loi, des autorités administratives, du droit du travail ou du droit des affaires.
Absence de normes et de régulations
Manque de clarté : les entreprises peuvent avoir du mal à savoir quelle est la bonne approche à adopter en l'absence de normes claires. Cela peut les empêcher de mettre en place des pratiques RSE solides et efficaces.