L'assurance non-vie regroupe les opérations d'assurance qui n'ont pas pour objet la vie de l'assuré. Elle est donc principalement composée des assurances de choses ou de biens, des assurances de responsabilité ou de dettes, et des assurances de personnes.
En France, il existe 4 assurances obligatoires pour les particuliers : la couverture maladie (CPAM), l'assurance auto, l'assurance habitation (excepté pour certains propriétaires) et l'assurance responsabilité civile (souvent comprise dans le contrat d'assurance habitation).
l'assurance vie, regroupant les assurances de décès et les produits d'épargne à la fiscalité spécifique ; l'assurance non-vie, regroupant les assurances de responsabilité, de dommages et de personnes (exemples : contrats d'assurance automobile, habitation, santé, accidents de la vie…)
On distingue trois types d'assurances à destination des clients professionnels : les assurances de personnes (elles-mêmes divisées en assurances individuelles et assurances collectives), les assurances de biens et les assurances d'activité..
Il existe deux grandes catégories d'assurances : celles qui couvrent une personne physique et celles qui couvrent les biens.
L'assurance non-vie regroupe les opérations d'assurance qui n'ont pas pour objet la vie de l'assuré. Elle est donc principalement composée des assurances de choses ou de biens, des assurances de responsabilité ou de dettes, et des assurances de personnes.
Il s'agit des assurances de personnes et des assurances de dommages, ainsi que des assurances à caractère indemnitaire et assurances à caractère forfaitaire. Cette distinction tient à la différence fondamentale entre les obligations de l'assureur lors de l'exécution du contrat.
Assurance-vie : les grands principes
Il existe trois types de contrats d'assurance-vie : l'assurance en cas de vie, l'assurance en cas de décès et un contrat mixte de vie et décès. Les assurances-vie garantissent le versement d'un capital ou d'une rente au souscripteur ou au bénéficiaire désigné dans le contrat.
Les établissements bancaires ont décidé de se lancer dans la vente de produits d'assurance auto, habitation et de complémentaire santé dans le but de générer des revenus récurrents supplémentaires et de faire face à l'érosion de leurs marges.
Il n'y a pas d'obligation légale de résidence fiscale en France pour y ouvrir une assurance vie mais certains assureurs peuvent refuser la souscription en raison des règles fiscales en vigueur dans le pays de résidence du demandeur ou dans le pays dont il a la nationalité.
Le fonds en euros d'un contrat d'assurance vie est un support sécurisé qui comporte une garantie en capital offerte par l'assureur. Le souscripteur ne peut donc pas perdre d'argent sur ce type de fonds.
Les contrats au pied du podium des meilleures assurances-vie
Placement-direct Vie ex Darjeeling (contrat assuré par Swisslife) ; Linxea Zen (assureur Apicil) ; Boursorama Vie (contrat assuré par Generali).
Quel que soit le type de police d'assurance, la prime, le sinistre et la prestation sont les trois éléments les plus importants dans un contrat d'assurance. La loi stipule qu'ils doivent y figurer clairement, sous peine de nullité du contrat.
C'est une assurance temporaire, limitée à la durée du crédit, qui garantit le remboursement de celui-ci en cas de décès. Là encore, ces assurances sont dites « facultatives », puisque la loi ne les impose pas.
Quel est le principe de l'assurance vie ? L'assurance vie est un contrat par lequel l'assureur s'engage, en contrepartie du paiement de primes, à verser une rente ou un capital à l'assuré ou à ses bénéficiaires. Elle peut être utilisée comme un produit d'épargne à moyen ou long terme.
Les origines de l'assurance-vie
L'aventurier qui revenait vivant de son périlleux voyage recevait une prime d'un montant bien supérieur à sa cotisation. Les morts payent, les vivants célèbrent.
Si le contrat d'assurance-vie n'est pas dénoué au moment du décès d'un époux, la moitié de la valeur du contrat constitue donc un actif de succession. Un notaire doit avoir connaissance de l'assurance-vie pour pouvoir en tenir compte dans le calcul des droits des héritiers.
Les primes qui ne sont pas soumises aux droits de succession font l'objet d'un prélèvement de 20% sur la part recueillie par le bénéficiaire qui est supérieure à 152 500 € (Abattement apprécié par bénéficiaire, pour l'ensemble des contrats souscrits sur la tête d'un même assuré).
L'assurance complémentaire santé ou mutuelle, n'est pas obligatoire. Elle permet de rembourser les frais de soins des souscripteurs, en complément du remboursement réalisé par la sécurité sociale. Elle permet une meilleure couverture santé, car la sécurité sociale ne prend en charge que le minimum.
Les VTM, ou véhicules terrestres à moteur, sont définis par l'article L211-1 du Code des assurances comme : “tout véhicule automoteur destiné à circuler sur le sol, et qui peut être actionné par une force mécanique sans être lié à une voie ferrée, ainsi que toute remorque même non attelée”.
La Responsabilité Civile s'adresse à tout le monde. Elle n'est pas nécessairement obligatoire mais pourtant bien utile face à un accident. Les moments où votre responsabilité peut être engagée sont souvent plus importants qu'on ne le pense.
La différence entre l'assurance vie et le contrat de capitalisation se situe principalement sur la question de la transmission de l'épargne au décès du souscripteur. En effet, contrairement à l'assurance vie dite hors succession, le capital des contrats de capitalisation entre dans la succession.
La garantie responsabilité civile est la forme la plus simple de l'assurance auto et, tel qu'indiqué précédemment, elle est obligatoire. Le montant de la prime d'assurance varie en fonction de votre niveau de bonus-malus, la puissance de votre véhicule, votre âge, votre domicile et votre compagnie d'assurance.