Formation insuffisante, manque de motivation, non-remplacement ou remplacement aléatoire en cas d'absence… Autant de causes qui seraient à l'origine de la plupart des problèmes que rencontrent les élèves.
La baisse de niveau se traduit, pratiquement sur le terrain, par un écart, dans bien de cas très préoccupant, entre le niveau réel des élèves et leur niveau théorique de classe. Il y a un véritable déphasage entre le niveau réel d'acquisition des compétences et la classe qu'ils fréquentent.
Les difficultés scolaires peuvent avoir de nombreuses causes : une intelligence trop limitée, un trouble d'apprentissage, un manque de confiance en soi, une indisponibilité d'origine psychologique, un manque de motivation.
En plus des solutions retenues lors du dernier forum sur l'Education, il faut multiplier les infrastructures scolaires de qualité aptes à résorber le flux d'élèves et d'étudiants. Il convient également de mettre en place un réseau dense de bibliothèques scolaires et de centres de lecture.
Il existe cependant des causes additionnelles de la baisse de niveau des apprenants et de la qualité de l'enseignement telles que : le système scolaire, des mauvais comportements et attitudes des enseignants, des apprenants, mais aussi des parents d'élèves ainsi que le comportement agressif de certains élèves.......
On peut donc raisonnablement dire que le niveau baisse depuis au moins une cinquantaine d'années en contexte scolaire. La cause de cette situation est connue et dénoncée par des linguistes depuis plus d'un siècle : c'est l'orthographe elle-même.
De moins en moins d'élèves font des maths au lycée
Le premier point, c'est la baisse du nombre d'élèves faisant des maths. Puisque la discipline a été retirée du tronc commun au lycée, la part des élèves suivant les maths en terminale est passée de 90% à 59% avec la réforme du bac.
À nos yeux, ces enjeux sont triples : la cohésion sociale, le développement collectif du pays et l'épanouissement individuel des élèves. Nous insisterons tout particulièrement sur le premier. En effet, la cohésion sociale apparaît l'enjeu majeur dans une société divisée où le savoir « vivre ensemble » est fragilisé.
La France se classe entre la 15ème et la 24ème place, avec une performance comparable à l'Allemagne, l'Autriche, l'Irlande ou le Royaume-Uni. Quelque 79% des Français ont atteint au moins le niveau 2 (76% pour la moyenne de l'OCDE).
L' échec scolaire peut également induire des troubles du comportement. L'enfant peut développer des comportements agressifs, voire délinquants. Souvent, celui-ci veut surtout attirer l'attention. L'instabilité engendrée peut constituer un terrain propice aux mensonges, vols et fugues à l'adolescence.
Il peut également s'agir de dysphasie, un trouble du développement du langage oral de l'enfant. Mais ces troubles peuvent aussi concerner le développement moteur de l'enfant (dyspraxie), des troubles d'attention, ou encore des troubles relatifs aux activités numériques ou dyscalculie.
Ces impacts négatifs peuvent être de nature psychologique (anxiété, stress, perte de motivation scolaire, image de soi négative, sentiment d'impuissance, idéations suicidaires, etc.) ou sociale (rejet par les pairs, isolement social, marginalisation).
- les problèmes de nos écoles sont : la majorité des écoles (surtout celles des villages) manquent des bâtiments adéquats, des matériels didactiques et même des cadres qualifiés. Ceux-ci préfèrent travailler en ville où ils trouvent des bonnes conditions de travail.
La cause de cette situation est connue et dénoncée par des linguistes depuis plus d'un siècle : c'est l'orthographe elle-même. La « faute » de l'orthographe ? Depuis la fin du XIXe siècle, des linguistes alertent sur la nécessité de réformes régulières de l'orthographe afin de l'adapter à son temps.
Les élèves devront écrire un texte au moins une fois par semaine dans le cadre de leur cours de français et faire une dictée régulièrement de manière à vérifier l'acquisition des connaissances. Une plage horaire consacrée à la lecture devra être prévue quotidiennement par les écoles.
Classement des systèmes éducatifs dans le monde (2021)
Les États-Unis (le système éducatif le plus performant du monde) Le Royaume-Uni. Allemagne. Canada.
L'année de CM1 peut paraitre comme étant l'année la plus difficile pour les élèves du primaire.
L'éducation est aujourd'hui confrontée une double crise de croissance et de transformation. Elle est en crise ici et partout dans le monde. Cette crise résulte du rythme de transformation extrêmement rapide du monde dans lequel nous vivons.
Au-delà de permettre à l'enfant de se construire librement un avenir, l'éducation constitue le socle du développement durable. Or, ce droit à l'éducation est particulièrement menacé depuis le début de la crise sanitaire et économique.
Ainsi l'école se doit d'accueillir tous les enfants sans distinction, dans le respect des différences. Le système éducatif est aujourd'hui chargée une triple mission : apprentissage, éducation et socialisation.
– Shanghai (Chine) est en tête en mathématiques : 613 points soit 119 points au-dessus de la moyenne OCDE, soit près de trois années d'études ; puis Singapour, Hongâ€'Kong (Chine), Taipei et Chine, Corée, Macao (Chine), Japon, Liechtenstein, … Lire aussi : Avec quoi luttent les étudiants en soins infirmiers?.
Les États et territoires dont les élèves possèdent les niveaux en mathématiques les plus élevés sont la Chine, Singapour, Macao, Hong Kong, et Taïwan. Les pays les moins performants en mathématiques sont la République dominicaine, le Panama, les Philippines, le Kosovo, et le Maroc.
Parmi les raisons qui expliquent pourquoi les élèves français sont mauvais en mathématiques, 35 % déclarent que c'est à cause des lacunes accumulées, 20 % disent ne rien y comprendre, 15 % considèrent qu'ils n'ont pas la bosse des maths, 15 % estiment que leurs mauvais résultats sont liés au fait qu'ils n'aiment pas ...