Elle est due à l'augmentation de pression dans les voies urinaires (uretères et bassinet) et dans le rein. Cette augmentation de pression résulte de la présence d'un obstacle dans les voies urinaires. Cet obstacle est le plus souvent un calcul rénal ou lithiase rénale.
Pour prévenir les coliques néphrétiques, il existe de nombreux traitements naturels qui passent essentiellement par l'alimentation. Pensez à : Eviter les aliments comme les viandes, les asperges, l'alcool et surtout le vin blanc qui font grimper l'acide urique.
Les aliments riches en oxalates, comme les produits à base de soya, les légumes à feuilles vert foncé comme les épinards, la rhubarbe, les betteraves, le son de blé, les noix, les graines, le chocolat et les fraises, contribuent à augmenter la concentration d'oxalate urinaire4,8.
Quels sont-ils ? La fièvre (ou une température anormalement basse), des crises de frissons et de tremblements. Ces symptômes doivent faire craindre une infection des urines coincées dans le rein potentiellement dangereuse (risque de septicémie, c'est à dire d'infection du sang).
Outre une alimentation inappropriée, le manque d'activité physique, la sédentarité, la prise de poids et le stress augmentent en effet le risque lithogène. Les autres raisons de la formation de calculs sont multiples. Dans environ 10 % des cas, les calculs résultent de maladies acquises.
La lithiase urinaire – ou urolithiase ou maladie lithiasique – est le nom de l'affection en lien avec cette présence d'un ou de plusieurs calculs rénaux.
Par exemple, l'eau minérale Evian, avec sa teneur en calcium modérée, peut être un bon choix pour favoriser la dissolution des calculs rénaux.
Une colique néphrétique se caractérise d'abord par une intense douleur ressentie dans la région lombaire et abdominale, mais d'un seul côté. Elle naît précisément au niveau du dos et descend jusque dans l'aine, voire jusqu'au niveau des organes génitaux.
- Limiter les aliments riches en oxalate: chocolat, épinards, poivre, rhubarbe, thé... -Eviter les excès de protides : ne pas consommer de viande ou de poisson plus d'une fois par jour. Ne pas manger trop de fromage et de légumes secs.
"Pour cela, il convient de réduire sa consommation d'aliments naturellement très salés, tels que le fromage, les charcuteries et salaisons ainsi que les plats préparés du commerce. On recommande aussi de limiter au maximum le sel de table" insiste la diététicienne.
La plupart des calculs sont suffisamment petits pour être évacués dans l'urine : boire beaucoup d'eau et d'autres liquides vous aidera. Les gros calculs rénaux peuvent être trop gros pour être évacués naturellement et sont généralement enlevés par chirurgie.
La consommation de produits laitiers, en particulier de ceux allégés en matières grasses, est associée à une diminution du risque de développer la maladie rénale chronique.
Les reins régulent le phosphore dans le corps. Une fonction rénale réduite peut entraîner une accumulation de ce minéral, nuisible à long terme. Les aliments à faible teneur en phosphore comprennent le riz blanc, le pain de blé, les pâtes, et de nombreux fruits et légumes frais.
Évitez les eaux minérales trop riches en sels minéraux (en particulier en calcium comme Contrex, Hépar ou Vittel). Les eaux minérales riches en bicarbonates (Vichy Célestins, Vichy Saint-Yorre, par exemple) sont à privilégier. Réduisez votre consommation de protéines.
La douleur intense ressentie lors de calculs urinaires sera soulagée par les activités antalgique et anti-inflammatoire du citronellal, un aldéhyde terpénique de l'huile essentielle d'Eucalyptus Citronné. Ces deux propriétés associées forment un puissant anti-douleur.
Habituellement, la douleur n'est soulagée par aucune position. Ainsi, les personnes en crise de colique néphrétique sont souvent agitées, ne tiennent pas en place car elles cherchent, sans la trouver, une position antalgique. C'est pour cette raison que la colique néphrétique est souvent appelée « colique frénétique ».
La majorité des calculs qui ne s'éliminent pas spontanément peuvent être enlevés ou détruits grâce à des techniques mini-invasives. Parmi celles-ci la lithotritie extracorporelle, l'urétéroscopie (souple ou rigide, avec ou sans utilisation d'un laser) ou la chirurgie percutanée.
La pomme. La pomme fait partie des fruits les plus intéressants pourla santé des reins : elle contient des fibres solubles, lesquelles favorisent une bonne digestion et l'élimination des toxines par les reins, et un faible apport en potassium, un atout lorsque l'on souffre d'insuffisance rénale.
La douleur de colique néphrétique se traite par l'association de PROFENID (Kétoprofène) 100 mg en IV lente, complétée d'injection d'1 g de PERFALGAN IV et d'une ampoule IV de SPASFON. Restriction hydrique.
Hors de l'hôpital, le kétoprofène est le seul AINS injectable ayant une indication officielle dans le traitement des coliques néphrétiques. Des antalgiques puissants, morphine par voie intraveineuse, peuvent être administrés en cas de douleurs intenses ou de contre-indications aux AINS.
La douleur peut s'accompagner de signes digestifs (nausées, vomissements, ballonnements causés par l'accumulation de gaz intestinaux) ce qui peut faire errer le diagnostic, et de signes urinaires (fréquente envie d'uriner, besoins urgent d'uriner, présence de sang dans les urines parfois) ce qui redresse le diagnostic.
Selon les scientifiques, un extrait naturel du mangoustan serait efficace pour prévenir la formation d'un calcul, à l'origine d'une colique néphrétique. Près de 12% des hommes et 7% des femmes dans le monde sont concernés par les calculs rénaux.
Il permet de réduire l'acide dans l'urine et d'éviter la formation de calculs d'oxalate de calcium. Grâce à son apport en acide citrique, le citron parvient à réduire l'acidité.
Peu minéralisée (type Evian®, Volvic®, Cristaline®, Mont Roucous®) si l'alimentation est bien équilibrée par ailleurs. Riche en calcium (Contrex®, Hépar®, Courmayeur®) si la consommation de produits laitiers est trop faible (moins de 2 à 3 par jour). Riche en sulfate de magnésium, en cas de constipation (Hépar®).
L'URGENCE MÉDICALE : Une fiévre supérieure à 38° est le signe d'une infection urinaire. C'est LA complication grave du calcul rénal ; elle peut s'associer à une crise de colique néphrétique. Il est urgent de consulter.