On constate le plus souvent un manque de progestérone suite à des troubles de la fertilité ou une aménorrhée prolongée, à la suite d'un bilan sanguin.
Des symptômes moins typiques comme une faiblesse de la vessie, des kystes sur les ovaires, un myome de l'utérus, des douleurs articulaires et musculaires, mais aussi des fausses couches par le passé peuvent indiquer un manque de progestérone.
Favoriser le zinc et le magnésium dans votre alimentation
Pour augmenter naturellement sa progestérone, il faut miser sur de plus grands apports en zinc. Celui-ci va contribuer à augmenter vos niveaux de FSH (hormone folliculo-stimulante), et ainsi favoriser l'ovulation.
De la même manière que pour les femmes enceintes, le ventre peut être gonflé durant le cycle menstruel. Et ces ballonnements sont, une fois encore, dus à l'augmentation de progestérone qui peut entraîner des inconforts intestinaux, dont des gaz.
Hormone stéroïde dérivée du cholestérol, sécrétée par le corps jaune (follicule ovarien ayant expulsé l'ovule) pendant la seconde phase du cycle menstruel, par le placenta pendant la grossesse et, à un moindre degré, par les corticosurrénales et les ovaires.
Œstrogènes et progestérone, les hormones qui font gonfler
C'est le revers de la féminité. Les oestrogènes et la progestérone interviennent dans la fabrication de la graisse et contribuent à la rétention d'eau.
Le polype, qui est une excroissance de l'endomètre (muqueuse qui recouvre la paroi utérine) et survient chez les femmes qui souffrent d'un excès d'œstrogènes ou d'une insuffisance de progestérone, peut provoque une infertilité féminine car il empêche lui aussi la nidation de l'oeuf.
Votre foie et vos reins sont en fait surchargés par les différentes hormones sécrétées durant ce premier trimestre (progestérone, œstrogène, gonadotrophine chorionique humaine…). Ils ne peuvent remplir leur rôle de détoxification des toxines du corps, ce qui entraine plus de fatigue.
La progestérone est une autre hormone féminine qui sert à préparer l'utérus pour une grossesse. Elle est produite dans la seconde moitié du cycle menstruel après l'ovulation, période pendant laquelle ses taux augmentent pendant quelques jours puis diminuent en l'absence de fécondation.
Quels sont ses effets? La progestérone appartient à la classe des médicaments appelés progestatifs. Elle s'utilise après la ménopause en complément d'une œstrogénothérapie de substitution (ETS) pour prévenir le dépôt d'œstrogènes sur la muqueuse de l'utérus (hyperplasie endométriale).
À titre indicatif, les concentrations sanguines normales de progestérone en dehors de toute grossesse sont inférieures à 1,5 ng/mL pendant la phase folliculaire, comprises entre 0,7 et 4 ng/mL au moment du pic ovulatoire et entre 2 et 30 ng/mL pendant la phase lutéale (reflet de la présence du corps jaune).
Le stress, le tabac et l'exposition aux métaux lourds jouent les trublions en contrariant l'activité des glandes endocrines. Leur impact est particulièrement délétère sur les ovaires, la thyroïde, le pancréas et les glandes surrénales.
À titre indicatif, les concentrations sanguines normales de progestérone en dehors de toute grossesse sont inférieures à 1,5 ng/mL pendant la phase folliculaire, comprises entre 0,7 et 4 ng/mL au moment du pic ovulatoire et entre 2 et 30 ng/mL pendant la phase lutéale (reflet de la présence du corps jaune).
La prise de progestérone par voie orale est utilisée en fin de grossesse en vue d'éviter une naissance prématurée, malgré l'absence d'efficacité démontrée. La progestérone est une cause connue de cholestase intrahépatique, qui survient au 3e trimestre de la grossesse.
Cela provoque l'ovulation et stimule les ovaires pour produire la progestérone via le corpus luteum pendant la phase lutéale. On retrouve le zinc dans le foie de veau, les pois chiches, les viandes rouges maigres, les fruits de mer, le chocolat noir, les graines de squash et les pastèques.
La leptine est une hormone digestive peptidique qui permet à la fois de réguler les réserves lipidiques de l'organisme et de stimuler la satiété. C'est d'ailleurs pourquoi elle est aussi nommée "hormone de la satiété".
La progestérone, sécrétée essentiellement après l'ovulation, augmente l'appétit – et l'anxiété –, une autre caractéristique du SPM. « Les femmes sont plus critiques à l'égard de leur corps durant la phase lutéale [post-ovulatoire] du cycle, entre l'ovulation et les règles, dit Mme Klump.
Le traitement hormonal de substitution (THS) fait l'objet de débats dans le domaine médical depuis des années. Alliant progestérone et oestroègnes, il sert à soulager les bouffées de chaleur et les désagréments liées à la ménopause.
Dans le traitement d'une insuffisance de progestérone par voie orale, la posologie est de 200 mg par jour, en 1 prise ou 300 mg par jour, en 2 prises, pendant 10 jours par mois (habituellement du 17e au 26e jour du cycle).
Les hormones
«Les œstrogènes agissent sur plusieurs neurotransmetteurs qui peuvent avoir un impact sur la régulation du sommeil et la progestérone peut avoir un effet hypnotique. La variation de niveau de ces hormones peut affecter notre rythme circadien.»
La sécrétion de progestérone, comme celle d'œstrogènes, varie au cours du cycle menstruel : déclenchée par l'hormone LH, elle apparaît juste avant l'ovulation et se poursuit au cours de la deuxième partie du cycle.