L'emphysème pulmonaire : L'irritation et l'obstruction des bronches au cours de la bronchite chronique bloquent partiellement l'air dans les poumons. Les alvéoles pulmonaires perdent progressivement leur élasticité naturelle et deviennent de moins en moins capables d'expulser l'air hors des poumons.
La bronchite s'accompagne aussi souvent de fièvre, de maux de tête, de rhume et de maux de gorge. Si elle s'aggrave, la bronchite virale peut évoluer en pneumonie avec une forte fièvre. Si celle-ci dure plus de 48 heures, il m'est conseillé de prendre rendez-vous avec un médecin pour confirmer le diagnostic.
Mais on peut aussi observer une surinfection de la bronchite. On note alors une forte fièvre, et l'infection ne se limite plus aux bronches et bronchioles seules, mais elle atteint le tissu pulmonaire. On est dans ce cas en présence d'une pneumonie. Or, la pneumonie est un motif de consultation médicale en urgence.
La bronchite aiguë peut évoluer vers la pneumonie. La bronchite touche les grosses bronches. Chez les enfants de moins de deux ans, l'inflammation touche les bronches les plus petites (les bronchioles). Cette maladie respiratoire due à un virus est appelée bronchiolite.
la bronchite aiguë chez l'adulte en bonne santé ne se soigne pas avec des antibiotiques ; je consulte si j'ai de la fièvre pendant plus de trois jours ; je consulte lorsque la toux dure plus de trois semaines.
La persistance des symptômes de la bronchite et notamment de la toux au-delà de la durée normale des symptômes doit amener à consulter un médecin pour s'assurer que le patient ne présente pas une complication de la bronchite ou une surinfection bronchique nécessitant une prise en charge spécifique.
Les principaux symptômes sont une toux avec des crachats sales, de la fièvre avec éventuellement des frissons, et de l'essoufflement. Il peut y avoir aussi des douleurs dans la poitrine, particulièrement lorsque le foyer infectieux est en contact avec la plèvre (on parle alors de pleuro-pneumopathie).
Aucun antibiotique n'est recommandé dans le traitement de la bronchite aiguë, car il n'y a aucune preuve que la prise d'antibiotique ait un effet sur l'évolution de la maladie.
Le médicament le plus souvent employé dans les préparations contre la toux grasse et la congestion bronchique est la guaïfénésine. Il s'agit d'un « expectorant », c'est-à-dire un agent qui favorise le dégagement et l'expulsion du mucus, ce qui rend la toux plus productive.
Ces symptômes sont souvent appelés bronchite chronique. Progressivement, un essoufflement (dyspnée) s'installe, d'abord à l'effort, puis pour des efforts de plus en plus petits et enfin au repos, pouvant gêner les gestes de la vie courante.
aérez votre logement fréquemment et évitez les irritants qui peuvent déclencher ou prolonger la toux (parfums, aérosols) ; buvez beaucoup pour vous hydrater surtout en cas de fièvre ; si vous toussez la nuit, surélevez votre tête avec des oreillers et prenez du miel avant le coucher pour son effet apaisant.
Des « crachats » blancs ou jaunes, d'autre part, sont généralement le signe d'une infection virale.
Soignez la bronchite asthmatiforme avec les corticoïdes prescrits. Lorsque l'inflammation des bronches se traduit pas des symptômes marqués, votre médecin peut vous prescrire des corticoïdes. Ces molécules dérivées de la cortisone agissent en tant qu'anti-inflammatoires.
Symptômes de la bronchite aiguë
Au bout de quelques jours, la toux apparaît (généralement sèche au début). Les personnes peuvent expectorer de petites quantités de mucus blanc fluide. Le mucus passe souvent de blanc à verdâtre ou jaune, et s'épaissit.
Distinguer la bronchite, la pneumonie et la toux ? Comment les soigner ? La bronchite se caractérise par une inflammation des bronches, conduits qui mènent l'air inspiré de la trachée aux poumons, alors que la pneumonie est une maladie infectieuse des poumons. La toux n'est pas une maladie mais un symptôme.
La toux grasse est généralement le signe d'une infection au niveau des voies respiratoires (nez ou gorge) qui atteint ensuite les poumons. Elle peut aussi apparaître chez les fumeurs, sans qu'il y ait présence d'infection.
Il est donc conseillé de cracher ce mucus, ces glaires pour en éliminer un maximum. Pendant des années, vous avez avalé des saletés qui se sont accumulées dans votre organisme. A l'arrêt du tabac, il est important d'éliminer ces résidus de fumée.
Il peut s'agir d'une sinusite, voire d'une sinusite chronique, décelable au scanner. Les glaires peuvent aussi être le fruit d'une allergie, on parle alors de rhinite. Autre option, ils peuvent être le symptôme d'un problème à l'estomac.
L'amoxicilline notamment, que tout le monde connaît, n'est donc pas un traitement antibiotique utile contre les bronchites.
Trois ou quatre branches de thym à faire bouillir dans 20 ml d'eau. Laisser infuser jusqu'à ce que l'eau devienne jaune. Y ajouter 1 à 2 cuillères de miel. À boire toute la journée, chaud (dans un thermos) ou froid.
En fait, le "râle" dans les poumons témoigne d'un problème lors du passage de l'air dans les bronches. Il peut s'agir d'un début de pneumonie, mais aussi d'une bronchite aiguë ou infectieuse (avec une respiration sifflante). Dans tous les cas, il faut consulter immédiatement son généraliste.
Une respiration qui siffle, accompagnée d'une toux et d'une fièvre qui dure plus de 48 h sont les principaux signes d'une pneumonie. Cette infection respiratoire n'attaque plus seulement les bronches, mais affaiblit également les tissus pulmonaires, d'où la nécessité d'une prise en charge médicale rapide.
Les virus et les bactéries couramment présents dans les voies nasales ou le pharynx des enfants peuvent infecter les poumons s'ils sont inhalés. Ils peuvent également se transmettre par voie aérienne, par le biais de gouttelettes émises lors de la toux ou des éternuements.