Pour devenir chevalier, il faut être noble ou fils de nobles et avoir suivi une longue formation. Le jour de la cérémonie d'adoubement, le futur chevalier prête serment devant un seigneur et en retour le chevalier reçoit l'accolade de son seigneur.
Pour être chevalier, il faut posséder un cheval, être en mesure de l'entretenir mais aussi acheter son armure.
Au Moyen Âge, lorsqu'un jeune garçon est appelé à devenir chevalier, son apprentissage débute dès ses sept ans. Il est envoyé dans la maison d'un seigneur, qui sera son parrain. Son éducation comptera trois étapes qui le mèneront jusqu'à l'adoubement.
Après être resté à peu près 4 ans écuyer, il est temps de devenir un chevalier à part entière. L'adoubement est la cérémonie qui permet à l'écuyer de devenir chevalier. La veille de cette grande cérémonie, l'écuyer passe la nuit avec son parrain, qui est en fait le seigneur qui le protège.
Pour devenir chevalier, officier ou commandeur, les trois grades de l'Ordre national du mérite, il faut avoir rendu des « services distingués » militaires ou civils, explique le site de la légion d'honneur. Il faut aussi pouvoir justifier d'une activité de 10 ans minimum.
Pour prétendre à l'ordre national du Mérite, il faut répondre aux 2 conditions suivantes : Avoir des mérites distingués dans l'exercice, pendant au moins 10 ans, d'une fonction publique, civile ou militaire ou d'une activité privée.
La Légion d'honneur est le premier ordre national visant à honorer des citoyens français. C'est la plus haute distinction. Elle récompense les mérites éminents acquis au titre de la Nation soit à titre civil, soit sous les armes.
« Un chevalier ne doit pas faire par peur de la mort quelque chose qui puisse lui être imputé à déshonneur, mais il doit davantage redouter la honte que la mort. »
Il y a quatre sortes de chevaliers : le chevalier régulier, le chevalier militaire, le chevalier honoraire et le chevalier social.
L'ordre comprend trois grades (chevalier, officier et commandeur). Pour être nommé au grade de chevalier, il faut être âgé de trente ans au moins et jouir de ses droits civils. Saisine obligatoire du ministère des Affaires Étrangères et Européennes.
Le serment du chevalier est un serment prononcé à voix haute par le chevalier lors de son adoubement : Tu croiras à tous les enseignements de l'Église et tu observeras ses commandements. Tu protègeras l'Église. Tu respecteras tous les faibles et t'en constitueras le défenseur.
En matière de devoirs, les chevaliers doivent protéger les orphelins, les veuves et l'Eglise. Les chevaliers doivent faire tout ce qu'ils peuvent pour que ces derniers ne soient pas attaqués ou ne meurent pas de faim. L'Eglise interdit aux chevaliers de se battre le Lundi, le Samedi et le Dimanche.
La vie d'un chevalier est consacrée au combat. Lorsqu'il n'accompagne pas son seigneur à la guerre, il s'entraîne en participant à des tournois. Il enseigne aussi le maniement des armes à de jeunes écuyers.
Pour devenir chevalier, il faut être noble ou fils de nobles et avoir suivi une longue formation. Le jour de la cérémonie d'adoubement, le futur chevalier prête serment devant un seigneur et en retour le chevalier reçoit l'accolade de son seigneur.
Écuyers au temps des chevaliers
En général, l'écuyer s'occupait également de l'équipement du chevalier et de son cheval, et il apprenait le métier de chevalier à partir de 14 ans ; ceci explique les sens dérivés d'écuyer comme apprenti chevalier, puis comme voltigeur à cheval (au cirque).
Dans la société du Moyen âge, les chevaliers sont avant tout des guerriers. Ils sont « ceux qui combattent » pour défendre le clergé, « ceux qui prient », et les paysans, « ceux qui travaillent ».
En effet, pour devenir chevalier, un homme doit répondre à certaines exigences : fidélité à la parole donnée, défense des faibles, générosité envers tous et s'engager au respect d'un code de l'honneur. Ce code n'est pas réellement écrit, mais il est présent dans tous les esprits.
"Chevaleresse", un terme employé au Moyen Âge
Avec "chevalière", ces deux mots sont en usage au Moyen Âge. Ils ne désignent pas la femme du chevalier, non, mais bien la cavalière qui combat à cheval.
Définitions : chevalière - Dictionnaire de français Larousse.
Saint-Tugdual, le cloître où dorment les chevaliers.
Parmi les qualités centrales de la chevalerie figurent la loyauté, la générosité, le dévouement, le courage et la courtoisie, des qualités qui étaient estimées par la gent militaire et que les contemporains considéraient comme étant celles que le chevalier idéal devait posséder. »
On y retrouve notamment Georges Brassens, Gustave Courbet, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Louis Aragon, Marie Curie, Albert Camus ou encore Marcel Aymé.
Officier : 9,15 € ; Commandeur : 12,20 € ; Grand Officier : 24,39 € ; Grand-Croix : 36,59 €.
Seuls les ministres sont habilités à proposer des personnes pour nomination et promotion. Le code prescrit que le Premier ministre propose les dignités de grand officier et grand'croix. Chaque ministère possède un contingent prédéterminé de décorations, proportionnel aux domaines d'activité qu'il représente.