La baisse des taux de natalité a provoqué une diminution du nombre d'enfants et une hausse du nombre d'adultes en âge de travailler au sein des populations des pays en développement en pleine transition démographique.
La fécondité joue un rôle déterminant dans la composition, la taille et l'accroissement d'une population (Wallace, 2008). En outre, le bien-être des femmes et des enfants, ainsi que le statut social et la santé physique et mentale des femmes sont fonction du niveau de fécondité (taille des familles) et de la maternité.
Plusieurs facteurs peuvent expliquer la reprise de la natalité : certains sont d'origine économique, d'autres d'ordre institutionnel, d'autres encore tiennent à l'influence directe de la guerre.
Le problème, c'est tout simplement le vieillissement de la population, alors que ces pays ne veulent plus faire appel à l'immigration. Le taux de fécondité en France est tombé à 1,87 enfant par femme. Ça veut dire que la population n'augmente plus.
Il sert aux études statistiques d'une population, en géographie notamment. Il ne permet pas facilement d'effectuer des comparaisons dans l'espace et le temps (Le temps est un concept développé par l'être humain pour appréhender le...), car il est affecté par l'espérance de vie.
Taïwan : un des taux de natalité les plus bas au monde.
Pour relancer la natalité dans l'Hexagone, plusieurs mesures peuvent être prises. Dans ce contexte, une mutuelle maternité est indispensable pour garantir un meilleur soutien financier durant la grossesse et l'accouchement.
Avec un taux de fécondité de près de 7 enfants par femme, le Niger est le pays avec le plus haut taux de fécondité, suivi du Mali.
Une diminution qui peut être expliquée par nombre de facteurs : l'intégration des femmes dans le marché du travail, la hausse des prix de l'immobilier dans les pays riches, un meilleur accès aux soins, à la contraception et à l'éducation dans le monde, ou encore la crise du coronavirus qui a accentué la tendance.
Mais le principal facteur reste le fait que les femmes font moins d'enfants, qu'elles soient déjà mères ou non. Ce sont surtout chez les moins de 30 ans (de 25 à 29 ans) que le taux de fécondité baisse le plus régulièrement depuis les années 2000, avec une diminution qui s'accélère à partir de 2015.
Le plus connu d'entre eux est la très forte natalité qu'ils connaissent, le second moins souvent pris en compte est la mortalité très élevée se situant à des niveaux juste un peu plus faibles que le rythme des naissances pour donner un taux d'accroissement naturel positif.
On estime que chaque Française qui se serait mariée entre 15 et 25 ans devrait avoir, dans de bonnes conditions sanitaires et économiques, de 10 à 12 enfants. Or, 15 % seulement des couples ont 5 enfants vivants.
La famine et la malnutrition ainsi que l'insuffisance des vivres sont les conséquences de la surpopulation dans de nombreux pays du monde. La pratique de l'agriculture intensive s'est alors accrue afin d'assurer l'approvisionnement et les réserves en nourriture d'une population en perpétuelle croissance.
La croissance de la population de l'Afrique est aujourd'hui très forte. La natalité se maintient à un haut niveau par les habitudes acquises et le faible usage de la contraception. D'autre part, la mortalité a fortement diminué en raison des campagnes de vaccinations massives et des progrès de l'hygiène.
Aujourd'hui, la croissance démographique rapide, provoquée par un taux de fécondité élevé et durable, est associée à des taux de pauvreté plus élevés, de faibles taux d'éducation primaire et des taux de mortalité infantile et maternelle qui restent élevés.
En Afrique subsaharienne, la croissance économique moyenne de 4,5% par an des années 2000 à 2018 n'a conduit à une augmentation du PIB par tête que de 1,7% par an. En effet, la croissance démographique (2,8%) a absorbé 62% de la croissance économique (contre 10% et 25% en Asie de l'Est et en Asie du Sud).
La Chine
Avec une population estimée à 1,5 milliard d'habitants, la Chine est le pays le plus peuplé du globe.
Gâtée par la nature, l'Afrique dispose en effet d'énormes ressources hydriques, énergétiques, minières et agricoles qui pourraient faire d'elle la « locomotive de l'économie mondiale » et le « grenier du monde », dans un proche avenir, malgré certains obstacles qui perdurent, selon de nombreuses analyses d'experts ...
Le record du monde du plus grand nombre d'enfants, officiellement enregistré, serait attribué à la première épouse d'un peintre russe, Feodor Vassiliev. Cette mère de famille aurait mis au monde 67 enfants, entre 1725 et 1765, dont seize fois des jumeaux, sept fois des triplés et quatre fois des quadruplés.
Françaises et Roumaines en tête de classement
En 2019, les Françaises ont le taux de fécondité le plus élevé de l'UE, avec 1,86 enfant par femme. L'INSEE estime ce chiffre à 1,84 en 2020. Elles sont suivies des Roumaines, avec 1,77.
mortalité enregistrée au cours des 100 dernières années, et le recul encore plus spectaculaire qu'elle a accusé dans les pays en développement depuis la Seconde Guerre Mondiale, s'expliquent par trois facteurs principaux : l'accroisse ment des revenus, les progrès de la médecine et la mise en œuvre de programmes de ...
Il est en pratique synonyme d'indicateur conjoncturel de fécondité ou nombre moyen d'enfants par femme. Ce terme se distingue du taux de natalité, qui correspond au nombre annuel de naissances divisé par la population totale de cette année.
Le taux d'excédent naturel (ou accroissement naturel) est le taux de croissance démographique imputable au mouvement naturel de la population, c'est-à-dire, celui qui ne résulte que des naissances et des décès. Il se calcule comme le rapport du solde naturel pendant une période à la population moyenne de cette période.