(Religion) Nom de Dieu, Dieu . Un substitut pour le tétragramme. Nom utilisé par de nombreux juifs dans une conversation ordinaire pour désigner Dieu.
Elohim (Hébreu : אֱלֹהִים) est le nom le plus couramment utilisé de Dieu dans la Bible hébraïque, et le premier à y apparaître (Gn 1,1).
Le nom du Dieu d'Israël et de Juda apparaît près de 6800 fois dans la Bible hébraïque sous la forme du Tétragramme יהוה, c'est-à-dire YHWH. Ce nom est aussi attesté, sous une forme incomplète (Yah), dans un grand nombre d'anthroponymes.
En son sens premier, la Torah désigne le Pentateuque, dont la tradition juive attribue la rédaction à Moïse, inspiré par Dieu. Le Talmud l'appellera plus tard Torah chébiketav, la « Torah-qui-est-par-écrit ». Elle comprend des commandements (la tradition en compte 613) et de multiples récits.
Le Dieu d'Israël, Yahvé, était connu avant Moïse chez d'autres peuples que les Hébreux : les anciens Phéniciens semblent avoir adoré un dieu Yo.
Le Puissant dont parle Marie est El-Shaddaï, qui s'était justement manifesté sous ce nom à Abraham, Isaac et Jacob, avant même que ne fût révélé à Moïse le nom de YHWH (cf. Exode 6,3). Et l'Islam ne contredira pas, lui pour qui Dieu est aussi le Tout-Puissant et le Miséricordieux.
Ainsi, les Elohims Arcturus, Tranquilité, Cassiopée, Cyclopée, Orion, Claire et Hercule au travers de ces messages vous proposent une connexion directe à leurs énergies de manifestation des qualités qu'ils incorporent.
La « Terre promise » est ainsi appelée dans la Bible parce qu'elle aurait été promise par Dieu à la descendance d'Abraham. C'est une étroite bande de terre sur la côte orientale de la Méditerranée, délimitée par le Jourdain et le mont Liban, qui relie l'Égypte à la Mésopotamie.
L'araméen est surtout connu comme la langue de Jésus. Cette langue sémitique, originaire de la région du cours moyen de l'Euphrate, avait essaimé jusqu'en Syrie et en Mésopotamie entre 800 et 600 avant Jésus-Christ.
Le judaïsme est fondé sur la Torah, composée de cinq livres dictés, selon la tradition, à Moïse par YHWH Elohim.
Tout le monde peut appeler Dieu. » Il vous sera toutefois plus simple de joindre le presbytère de Chambly : 09-54-98-31-60.
Rejet des pratiques « païennes »
Les Témoins de Jéhovah se distinguent également des autres confessions chrétiennes par le rejet d'un certain nombre de pratiques ou de symboles qu'ils considèrent comme païens.
C'est ainsi, d'après Matthieu (1, 18-24), seul évangéliste avec Luc à donner un récit circonstancié de la naissance de Jésus, que Joseph accepta le rôle de père adoptif.
Étymologie. Mot hébreu יהוה de quatre consonnes (le tétragramme divin) signifiant « l'existant, qui fait devenir », de הוה Hawah, « devenir ». Hawah étant à l'imparfait de la forme causative.
A leur demande Moïse leur révéla le nom de ce dieu qui à travers les siècles resta l'apanage d'Israël. Ce nom on le connaît par la Bible et par les documents profanes. Il est composé de quatre consonnes dans les langues sémitiques : YHWH.
Le nom apparaît ensuite plus de 1 400 fois dans la Torah (avec 153 occurrences dans le Livre de la Genèse, 364 dans le Livre de l'Exode, 285 dans le Lévitique, 387 dans le Livre des Nombres et 330 dans le Deutéronome), près de 2 700 dans les livres prophétiques et un peu moins de 1 300 fois dans les Écrits.
L'araméen, la langue de Noël.
אני אוהבת אותך, ילד יקר שלי.
Le nom correspond à la forme grecque Iêsous, de laquelle vient le français Jésus. La forme hébraïque Yeshoua (ישוע) apparaît dans les livres tardifs du Tanakh. Une fois pour Josué, fils de Noun, et 28 fois pour Josué le grand prêtre et d'autres prêtres appelés Jeshua.
Cette région correspond plus ou moins aujourd'hui aux territoires réunissant l'État d'Israël, la Palestine, l'ouest de la Jordanie, le Liban et l'ouest de la Syrie.
Les premiers habitants connus de la Palestine historique furent les Cananéens, qui n'ont rien de commun avec les Palestiniens arabophones actuels. Le terme de Cananéen peut être considéré comme un synonyme du mot Phénicien.
Le plus ancien document connu reproduisant dans leur intégralité Les Dix Commandements est actuellement exposé au Musée d'Israël, à Jérusalem.
Pluriel de 'éloha, qui signifie « Dieu ». On trouve ce mot dans la Bible et aussi dans les textes babyloniens d'Amarna.
Lorsqu'il est appliqué au dieu d'Israël, Élohim est généralement traité comme un nom singulier. Parfois, il est pourtant construit avec un verbe au pluriel, notamment dans l'expression élohim hayyim « dieu vivant ». L'usage de la forme plurielle pour désigner le dieu d'Israël est expliqué de différentes façons.
Avant Jésus-Christ. — Note d'usage : Utilisé pour nommer les années, les siècles et les millénaires avant l'année supposée de la naissance de Jésus-Christ telle qu'elle fut évaluée au VI e siècle. L'an 1 av. J.