Le conflit en Ukraine démultiplie la dynamique inflationniste déjà enclenchée en 2021. L'économie française commençait à se relever de la crise de la Covid-19, ce qui créait une tension sur les prix. Depuis le début du conflit, les prix de l'énergie, des engrais et des céréales ont déjà augmenté de 20% à 30%.
La guerre injustifiée et non provoquée menée par la Russie contre l'Ukraine a eu d'importantes répercussions sur les marchés de l'énergie et des denrées alimentaires. Les pays de l'UE coordonnent étroitement les actions visant à lutter contre la hausse des prix et la rareté des approvisionnements.
En effet, le quatorzième alinéa du Préambule de la Constitution de 1946 prévoit que « la République française (…) n'entreprendra aucune guerre dans des vues de conquête et n'emploiera jamais ses forces contre la liberté d'aucun peuple ». D'autre part, le droit international interdit la déclaration de guerre.
Toujours selon les projections de la Banque de France, la croissance française en 2023 serait comprise entre 1,3 % et 2 %. La guerre en Ukraine causerait ainsi une perte de croissance comprise entre 0,2 et 0,9 point de pourcentage en 2023, par rapport aux prévisions de décembre 2021.
Cuba, Corée du Nord, Syrie... Ces pays qui soutiennent encore la Russie de Poutine.
Vladimir Poutine a présenté l'Eurasianisme et le "putinisme" comme alternative aux idéaux occidentaux adoptés par de nombreux pays de l'OTAN. Le putinisme associe le capitalisme d'État au nationalisme autoritaire.
Allégation : la défense antimissile de l'OTAN représente une menace pour la sécurité de la Russie. Dans les faits : la défense antimissile balistique de l'OTAN n'est pas dirigée contre la Russie et ne peut porter atteinte aux capacités de dissuasion stratégique russes.
Le ralentissement de la productivité pèse sur la croissance en France. Selon une note du Conseil d'analyse économique publiée ce jeudi, la productivité ralentit en France depuis vingt ans par rapport à l'Allemagne et aux Etats-Unis. Résultat, un manque à gagner pour le PIB estimé à 140 milliards d'euros en 2019.
Étude économique de la France (novembre 2021)
L'économie française a rebondi rapidement suite à la crise liée au coronavirus, notamment grâce à l'accélération de la campagne de vaccination et aux fortes mesures publiques de soutien.
La Chine profite du conflit et des sanctions imposées à la Russie pour signer des contrats d'importation de gaz et de pétrole russes. La Chine profite déjà de la situation en Ukraine.
À moins d'être touchée par une terrible catastrophe naturelle, l'île de Tristan Da Cunha constitue un bon repère en cas de guerre. Sise dans l'océan Atlantique, elle est plus concrètement localisée à proximité des îles Inaccessible et Nightingale.
La France "n'est pas en guerre contre la Russie" et veut "rester en contact" avec Poutine pour Macron. Le président a expliqué qu'il avait "choisi de rester" en liaison avec le dirigeant russe pendant le conflit avec l'Ukraine.
Cependant une guerre risque belle et bien de se produire en France. Les causes exactes sont encore incertaines. Beaucoup de personnes commencent à évoquer un soulèvement pour le printemps 2022 ! Peut-être qu'il y aura un rapport avec la crise sanitaire de 2020 liée au Covid 19 et ses confinements.
En matière environnementale, le principal risque pour la France est de ralentir la transition écologique et énergétique. Les trajectoires définies sont compromises compte tenu des choix à faire à court terme en matière de souveraineté énergétique et alimentaire et face à une diminution potentielle du pouvoir d'achat.
Cela a eu pour conséquence une hausse du niveau général des prix dans de nombreux pays (en France, le taux d'inflation était proche de 50% entre 1945 et 1948) et un affaiblissement des finances publiques du fait de la croissance de la dette. Par ailleurs, à l'issue du conflit, l'ensemble de la société se transforme.
Leurs conséquences dans les pays touchés sont nombreuses et diverses. Les conflits violents tuent de plusieurs manières: les combats font des victimes parmi les civils et les militaires, les maladies sont plus fréquentes et la criminalité vio- lente s'accroît. Les guerres entraînent des migrations massives.
La France se place derrière l'Inde (+8,50%), à la 7e position. L'Hexagone perd en effet une place avec un PIB s'élevant à 3 140 mds$ en 2022. Dans le reste du top 10, nous retrouvons l'Italie à la 8e place avec un PIB de 2 272 mds$, suivie par le Canada (2 189 mds$).
La France devrait atteindre selon les estimations du FMI, près de 2.938 milliards de dollars en 2021. L'Hexagone occuperait alors ainsi la septième place de ce classement. Elle perd une place face à l'Inde qui devrait dépasser les 3.000 milliards de dollars cette même année.
La France devrait ainsi représenter en 2023 un peu moins de 3% du PIB mondial. Elle fera toujours partie des pays riches, mais son revenu réel par tête, autrement dit par habitant, s'élèvera à deux fois le revenu mondial moyen contre près de trois fois il y a dix ans (voir graphique ci-dessus).
Avec plus de 869 millions de visiteurs dans le monde, le tourisme est un secteur qui représente près de 56.2 milliards d'euros.
La création de richesses résulte de la coopération entre entrepreneurs, salariés et collectivité.
D'après l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI), la Russie comptait en janvier 2021 6.255 ogives, soit le nombre le plus important au monde. Face à elle, l'OTAN dispose d'un total de 6.065, répartis entre les USA (5.550), la France (290) et le Royaume-Uni (225).
De sa création à 1991, l'adversaire désigné de l'OTAN est l'URSS qui forme elle-même le pacte de Varsovie en 1955 à la suite de l'adhésion de la RFA à l'OTAN et à son réarmement.
En 2022, le pays avec la plus grande puissance militaire sont les États-Unis, pays fondateur et membre de l'OTAN.