une démotivation, une baisse de créativité, une dégradation de la productivité, une augmentation des rebuts ou des malfaçons, une dégradation du climat social, une mauvaise ambiance de travail, des atteintes à l'image de l'entreprise…
C'est un changement juridique d'importance qui marque le début du risque social. L'ensemble des événements suivants peuvent désormais être considérés comme des risques économiques et sociaux : maladie, maternité, invalidité, vieillesse, accident du travail, maladie professionnelle, décès, charges de famille et chômage.
Concrètement, on peut classer les événements suivants parmi les risques sociaux : maladie, maternité, invalidité, vieillesse, accident du travail, maladie professionnelle, décès, charges de famille et chômage.
La prise en charge du risque repose sur des principes et des institutions. Face au risque, un premier outil peut être la prévention . L'objectif est alors d'expliquer aux individus les risques auxquels ils font face et les conséquences de ces risques, afin que les conduites à risque soient évitées.
les risques naturels : avalanche, feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme et éruption volcanique. les risques technologiques : d'origine anthropique, ils regroupent les risques industriels, nucléaires, biologiques, rupture de barrage…
Les facteurs de risque sont des attributs qui contribuent au développement ou à l'aggravation de conditions indésirables. Ils comprennent par exemple les comportements oppositionnels, le conflit familial et l'isolement social.
Le risque est social parce que, si l'événement survient, il affectera la position sociale, financière ou économique de celui auquel il arrive. Ce dernier subira une chute de revenus, ou perdra une partie de son patrimoine, ou devra faire face à des dépenses exceptionnelles, etc.
On distingue par exemple les risques individuels des risques collectifs, les risques militaires des risques civils, les risques économiques/financiers des risques sociaux et des risques politiques, les risques professionnels (monde du travail) des risques de la vie courante (sphère privée), les risques technologiques ...
Hommes et femmes y sont confrontés sans distinction, et font face à d'autres conséquences que l'augmentation du risque d'AVC : dépression, hypertension et difficultés relationnelles sont régulièrement observées auprès des salariés qui travaillent le plus.
Hypertension, nervosité, fatigue, dépression… L'état de stress n'est pas une maladie en soi mais lorsqu'il est intense et qu'il dure, il peut avoir des effets graves sur la santé physique et mentale des travailleurs concernés.
De mauvaises conditions de travail peuvent engendrer des troubles variés : sentiment de dévalorisation voire dépression, fatigue, usure, troubles musculo-squelettiques ou cardio-vasculaires, cancers, accidents, etc.
Elle résulte d'une protection insuffisante de nouvelles situations ou d'un agencement inadapté de la prise en charge qui a pu conduire à son tour à un accroissement des inégalités (Palier, 2002 ; Ferrera, Rhodes, 2000). L'acception de la notion de « nouveaux risques sociaux » est vaste et hétérogène.
L'assurance sociale a pour objectif de prémunir contre un risque de perte de revenus (chômage, maladie, vieillesse, accident du travail, etc.). Les prestations sociales sont financées, en France, par des cotisations assises sur les salaires.
La Sécu est solidaire, universelle et équitable.
La solidarité en matière de Sécurité sociale, signifie que chacun, au sein de notre société, participe à la protection de tous et chacun bénéficie de cette protection. La Sécurité sociale est l'un des maillons essentiels de notre société.
Il existe deux familles de risques majeurs : risques naturels (inondation, séisme, tempête, cyclone, mouvement de terrain, avalanche, feu de forêt, volcanisme) et risques technologiques (accident industriel, accident nucléaire, transport de matière dangereuse, rupture de barrage).
On appelle risque le produit d'un aléa (événement susceptible de porter atteinte aux personnes, aux biens et/ou à l'environnement) et d'un enjeu (personnes, biens ou environnement) susceptible de subir des dommages et des préjudices.
Un risque se caractérise selon deux paramètres : Sa gravité : l'ampleur des dommages potentiels. Sa probabilité d'occurrence : « à quel point il est probable de subir le dommage »
On parle des « risques sociaux » qui engendrent une baisse des revenus ou une hausse des dépenses, susceptibles de compromettre la sécurité économique de leur foyer. La protection sociale vise la retraite, la santé, la prévoyance, la dépendance, l'action sociale (aide et allocations familiales pour les bas revenus).
Pour réduire notre vulnérabilité, il est important de développer une culture du risque : prendre conscience des risques, les connaître et les garder en mémoire ; apprendre à les prévenir et éviter de s'exposer ; savoir réagir en cas d'alerte et se mettre en sécurité.
La dépendance : un risque de protection sociale
La perte d'autonomie est ainsi devenue un enjeu majeur. L'âge avançant, le risque de dépendance augmente et les dépenses de santé et d'hébergement également.
L'identification des risques. L'évaluation des risques. Le traitement des risques.
Si un client est victime d'une incivilitéou de n'importe quelle autre forme d'impolitesse par quelqu'un qui représente votre société, il ne va pas rester longtemps. Il va aller voir vos concurrents et détruire la réputation de votre société sur les réseaux sociaux si son expérience est particulièrement désagréable.