Elle est composée de deux formes de connaissance qui sont la connaissance explicite et la connaissance implicite.
On retient généralement trois types de connaissances : les connaissances déclaratives, les connaissances procédurales et les connaissances conditionnelles. Chacun des types interpelle des processus mentaux pour traiter l'information.
le savoir (connaissances) le savoir faire (compétences et habiletés) le savoir être (attitudes, postures, comportements)
1. Action, fait de comprendre, de connaître les propriétés, les caractéristiques, les traits spécifiques de quelque chose : La connaissance de la nature. 2. Opération par laquelle l'esprit humain procède à l'analyse d'un objet, d'une réalité et en définit la nature : Connaissance intuitive.
Au niveau des sens externes la connaissance est donc une véritable prise de possession du monde extérieur l'enfant se rend compte que quelque chose existe ; il apprend à différencier les objets, à les identifier, à s'orienter dans l'espace et le temps ; il apprend aussi à nommer les objets et à s'en servir.
Article détaillé : Anthropologie. Pour l'anthropologue, la première connaissance est celle que les hommes ont d'eux-mêmes et de leur environnement, et qui, dans les sociétés primitives, assure leur survie quotidienne. C'est aussi cette connaissance qui structure le groupe humain.
Le philosophe empiriste (cf. John Locke, David Hume) place l'expérience sensible à l'origine de l'acquisition de la connaissance. Pour sa part, le rationaliste (cf. René Descartes, Karl Popper, Jules Vuillemin) la fait reposer sur l'exercice de la raison.
La connaissance intellectuelle représente l'ouverture maximale puisqu'elle est ouverture à tout ce qui est : « Plus une puissance est élevée, plus son objet est universel... On peut déterminer trois degrés d'universalité dans l'objet.
Étymologie. ( XI e siècle) En ancien français conoisance, conoissance , connoissance ; en moyen français cognoissance par rapprochement étymologique avec le latin cognoscere. Substantivation de connaissant , participe de connaître .
Du point de vue chronologique, la perception constitue le fondement de la connaissance, dans la mesure où toute connaissance du monde se fonde sur la perception de celui-ci. Ainsi est-il nécessaire, pour définir la chaleur, d'avoir au préalable fait l'expérience sensible de divers objets ou phénomènes liés à celle-ci.
Une fois les connaissances créées, communiquées, accédées et acquises il s'agit de les utiliser. Une connaissance n'est totalement intégrée que si elle est utilisée et ainsi pérennisée pour être utilisée encore plus efficacement la fois suivante, voire modifiée ou rejetée si elle ne produit pas les effets escomptés.
Le développement des compétences concerne l'ensemble des individus, et ce, quel que soit leur niveau de formation initiale et leur poste. Il peut viser à : Améliorer l'efficacité professionnelle : gestion du temps, gestion du stress, affirmation de soi, conduite de réunion.
La connaissance s'applique aux savoirs théoriques et techniques qui s'acquièrent par formation, expérience professionnelle ou extra-professionnelle. La compétence ajoute une dimension pratique, l'habileté de mise en œuvre des connaissances en une situation bien spécifique.
rique et conjectural, se borne aux données apparentes des sens ou aux affirmations non contrôlées soit de notre propre esprit, soit de l'esprit des autres; c'est ce qu'on appelle la connaissance vulgaire : elle constitue Y opinion.
Le savoir est lié à une communauté, une connaissance ou un individu. La connaissance est quant à elle le processus d'assimilation individuelle de ce savoir. Elle fait ainsi référence à des objets plus spécifiques mais surtout à l'expérience individuelle de ce savoir.
ÉRUDIT, SAVANT, DOCTE. Savant est le terme le plus général, désignant celui qui sait.
Dans le Théétète (189a-192c) de Platon, la connaissance est définie comme une opinion vraie « pourvue de raison » (logos). L'opinion est un mode de connaissance qui se distingue de l'ignorance pure et simple – qui est sans objet – et de l'intelligence – qui porte sur ce qui est.
Toute connaissance commence avec la sensation. Celle-ci consiste en une altération de l'âme par quelque chose qui agit sur elle. Mais l'âme ne reste pas passive; la sensation ne se réduit nullement à une empreinte matérielle. L'œil n'est pas un miroir, il sent la chose et se sent lui-même.
La connaissance sensible signifie l'expérience, la connaissance concrète. Cependant, la science ne se réfère pas qu'à l'expérience, ainsi on parle de théorie scientifique. Théorie et expérience semblent deux termes opposés au premier abord.
Précisions sur la notion de connaissance acquise en matière de recours pour excès de pouvoir. L'auteur d'un recours juridictionnel tendant à l'annulation d'une décision administrative doit être réputé avoir eu connaissance de la décision qu'il attaque au plus tard à la date à laquelle il a formé son recours.
Par "objet de science" ou "objet d'une science", on désigne ce qui fonde une science et centre son activité.
La connaissance peut se définir comme l'activité théorique de l'homme, comme l'opposé de l'action dans le monde. Le problème philosophique de la connaissance est triple : – le problème de l'origine des connaissances est celui de savoir si elles procèdent de l'expérience (empirisme) ou de la raison (rationalisme).
La connaissance, comme on vient de le voir, procède d'un mode de description ou d'explication centré sur le monde, indépendamment du point de vue du sujet ; la croyance procède du regard que le sujet porte sur le bien-fondé des événements et des actions de l'homme.
Si le ressouvenir des formes intelligibles constitue pour Platon la connaissance parfaite ou la science (ἐπιστήμη), il n'en demeure pas moins que dans la République Platon reconnaît divers niveaux ou degrés de connaissance : la connaissance sensible, la connaissance mathématique et la connaissance dialectique ou ...