Les sociologues et les économistes spécialistes des inégalités et des ruptures sociales (1) confirment aux-aussi que la pauvreté en France se répartit en plusieurs catégories avec la pauvreté intégrée, la pauvreté marginale, et la pauvreté de disqualification ou plutôt de déclassement.
L'auteur élabore trois types idéaux de la relation d'interdépendance entre la population désignée comme « pauvre » ou « exclue » et le reste de la société, qu'il nomme respectivement pauvreté intégrée, pauvreté marginale et pauvreté disqualifiante.
– La pauvreté intégrée correspond à une société où les pauvres se distinguent peu des autres couches de la population. – La pauvreté marginale ne frappe qu'une partie de la population, de moins en moins importante à mesure que la croissance économique et les transferts sociaux de l'État Providence s'intensifient.
Un peu plus d'un tiers d'entre eux sont pauvres : leur niveau de vie est inférieur à 60 % du niveau de vie médian, soit 1 041 euros par mois. Ces personnes aux revenus modestes sont plus jeunes et vivent davantage dans une famille monoparentale ou nombreuse (au moins trois enfants) que le reste de la population.
Le seuil de pauvreté peut être défini de manière absolue (en fonction d'un panier de consommation minimale, avec ou sans référence monétaire) ou relative (en pourcentage du revenu médian ou moyen). Ce seuil prend des valeurs radicalement différentes selon l'option de calcul retenue pour le pays.
L'autre approche, la pauvreté relative, consiste à déclarer pauvre toute personne dont le revenu est inférieur à une certaine proportion du revenu médian (soit le revenu tel que la moitié des membres d'une société gagne plus et l'autre moitié gagne moins).
Misère qui provient d'un manque de biens matériels.
La pauvreté intellectuelle courante traduit ce mot par « substance », et par là en manque totalement le sens. Les contemporains n'avaient garde de s'avouer cette pauvreté intellectuelle, ce desséchement de l'esprit. Ce rapport témoigne d'une telle pauvreté intellectuelle, culturelle et politique!
Définition de pauvre adjectif et nom. épithète (après le nom) ou attribut d'un nom de personne Qui n'a pas (assez) d'argent. ➙ indigent, nécessiteux ; familier fauché.
8« La pauvreté disqualifiante » concerne des franges importantes de la population, aux caractéristiques résolument hétérogènes, et renvoie à la montée des précarités et des travailleurs pauvres dans les sociétés riches.
Les facteurs les plus évidents sont l'insécurité alimentaire, des conditions de santé précaires, le manque de compétences dû à un manque d'éducation et le manque d'opportunités économiques.
Ainsi, le Burundi arrivait en tête des pays les plus démunis, avec un PIB par habitant de 269 dollars américains.
Depuis le début des années 2000 sont considérées comme pauvres les personnes vivant dans un ménage dont le revenu est inférieur à 60% du revenu médian. Il s'agit donc d'un taux de pauvreté dite objective et relative.
Personne qui n'a pas ou peu d'argent.
– Nutrition – Santé – Logements et conditions de vie – Autonomie économique des femmes, des jeunes – Education – Argent et propriété – Soins aux personnes dépendantes – Participation (politique, associatif ou communautaire) – Sécurité – Etc.
Bien qu'elle soit en hausse en milieu urbain, la pauvreté en Afrique est avant tout un phénomène rural. Elle est liée au faible niveau d'instruction, au mauvais état sanitaire et aux taux élevés de fécondité. Elle a également des dimensions spatiales considérables, d'où les grandes disparités sur le continent.
Seuil de pauvreté absolue, calculé en fonction d'un panier annuel de consommation minimale pour assurer un niveau de vie tolérable. Il est utilisé dans les pays en développement et dans quelques pays développés comme les Etats-Unis.
En 2021, une personne est considérée comme pauvre d'après l'Insee, si ses revenus sont inférieurs à 1 063 euros par mois, pour un niveau de vie médian établi à 1 771 euros mensuels pour une personne seule après impôts (allocations sociales comprises).
La moitié des individus a un niveau de vie inférieur à 20 300 euros (soit 1 692 euros par mois). Pour une famille composée d'un couple avec deux enfants de moins de quatorze ans, cela correspond à un revenu disponible de 42 630 euros par an (soit 3 553 euros par mois).