Qui fait éprouver une émotion esthétique ; qui plaît à l'œil. ➙ joli, magnifique, ravissant, splendide, superbe; s'oppose à laid.
BEAU, BEL, BELLE, adj. et subst. A. − Qui cause une vive impression capable de susciter l'admiration en raison de ses qualités supérieures dépassant la norme ou la moyenne.
adorable, agréable, attrayant, charmant, délicieux, enchanteur, esthétique, exquis, joli, merveilleux, plaisant, radieux, ravissant, riant, séduisant, splendide, superbe. – Familier : bath, chouette.
Du latin bellus «beau, gracieux, élégant», l'adjectif «beau» comprend non seulement une rare beauté, mais sous-entend «une admiration en raison de qualités supérieures».
Beau / bel. Devant un nom masculin commençant par une voyelle ou un h muet, on emploie la forme bel : un bel enfant ; quel bel homme ! On peut aussi rencontrer, dans le registre soutenu, un bel et charmant enfant, mais un enfant beau et charmant est plus courant de nos jours.
Le beau est un concept esthétique et parfois moral. Il est le résultat d'un jugement subjectif en adéquation avec un idéal défini. Il fait naître ce que les philosophes appellent le sentiment esthétique (sentiment de plaisir, de satisfaction lié à la contemplation de cet idéal).
La beauté, c'est se sentir à l'aise dans son corps, quelle que soit sa morphologie, avoir confiance en soi et en ce que l'on peut accomplir, et avoir du charme.” La beauté, c'est la force. Et la force est la beauté. C'est la confiance intérieure, l'assurance.
Se dit d'un jeune homme lorsqu'il est beau et physiquement attirant ou qu'il est bien habillé. "Beau gosse" est un terme familier appartenant plutôt au vocabulaire des jeunes. Exemple : Son premier petit ami était magnifique. Un vrai beau gosse.
En ce sens, être bien éduqué, c'est être capable de reconnaître le beau — c'est-à-dire être capable de le discerner, aussi bien avec son intelligence qu'avec sa sensibilité —, y être sensible et y prendre plaisir[60].
Assidu Attentif Autonome Compréhensif Conciliant Consciencieux Courtois Créatif Curieux Discret Dynamique Efficace Empathique Endurant Fiable Flexible Honnête Intègre Méthodique Méticuleux Minutieux Motivé Organisé Ouvert Patient Persévérant Polyvalent Proactif Responsable Rigoureux Sensible Sociable Soigné Tenace ...
«Tu es beau!»
Plus que l'apparence physique de la «belle femme» ou du «bel homme», c'est de comportement, de moralité et in fine de pureté de l'âme, dont il est question. Attention alors à ne pas confondre l'adjectif avec son apparent synonyme «joli»! La «jolie personne», est celle qui a de «l'agrément extérieur».
Qui a une beauté pleine de grandeur ; somptueux, grandiose : Un magnifique spectacle. 2. Qui est extrêmement beau ; superbe, splendide : Voilà un temps magnifique. Une femme magnifique.
Beau et belle étaient des préfixes affectueux utilisés au Moyen Age au sein d'une famille, entre père et fils par exemple. A l'époque, on disait fillastre pour beau-fils, marastre pour belle-mère, parastre pour beau-père.
Elle nous sert à bouger, elle agit sur notre élan vital et nous donne envie d'aller plus loin. Et puis l'art nous fait sécréter tout un tas d'autres substances qu'on trouve dans les antidépresseurs. C'est ça le double effet : la sculpture et le bien-être.
esthète. 1. Personne qui considère l'art comme une valeur essentielle ; artiste.
Tu es BG avec ta chemise », ça veut dire que « tu es beau, tu es élégant avec ta chemise ». Donc BG, c'est utilisé par les jeunes pour dire « beau », « élégant », « qui a une belle apparence ».
La beauté du visage suppose une peau jeune, ferme et élastique, avec un teint éclatant et une peau bien galbée, donc bien hydratée.
La meilleure combinaison, qui compose donc le visage le plus attirant, associe la proximité à la moyenne à des sourcils plus fins, des pommettes plus proéminentes, des lèvres plus épaisses, un nez plus petit et des yeux plus grands que la moyenne.
L'idéal de beauté féminine est une taille menue et svelte, des traits du visage fins, des petites parties anatomiques du visage hormis les yeux qui sont appréciés grands.
Kant estime que « le beau est ce qui plaît universellement sans concept ». C'est pour lui une impression produite par le libre jeu de l'imagination et de l'entendement. Aujourd'hui, le beau, concurrencé par le laid ou le banal, est de plus en plus relativisé.
Comme chez tous les écrivains grecs, le beau a souvent chez Aristote un sens purement éthique; il désigne la plus haute qua- lité morale. On l'oppose à l'agréable (fiôv)1 et à l'utile, au profit personnel (càqièkifiov, avfMpkqov)3. Une belle action se fait pour elle- même3 , donc elle n'a pas d'autre but.
« Socrate — Tombés en ce monde, nous […] avons reconnu [la beauté] plus distinctement que toutes les autres [essences] par l'intermédiaire du plus lumineux de nos sens.