Les formes contemporaines du terrorisme se sont diversifiées : prises d'otages, terreur, occupations de villages, pillages, propagande.
L'histoire du terrorisme. Des formes primitives de terrorisme apparaissent dans les meurtres systématiquement commis par les Zélotes contre l'occupant romain du royaume de Judée ou encore dans l'action, au Moyen Âge, de la secte dite des « assassins » retranchée dans la forteresse d'Alamut au nord de l'Iran actuel.
Les terroristes utilisent les moyens suivants: assassinats, attentats, prises d'otage, etc. Dans bien des cas, le terrorisme se développe dans un contexte particulier, c'est-à-dire lorsque les canaux légaux sont bloqués ou limités, du moins aux yeux des membres de l'organisation terroriste.
Pour lutter contre le terrorisme, l'Organisation mise sur une meilleure connaissance de la menace, sur la mise en place de capacités de préparation et de réponse, et sur une interaction accrue avec les pays partenaires et d'autres acteurs internationaux.
Le terrorisme recouvre un large éventail de menaces complexes : terrorisme organisé dans les zones de conflit, combattants terroristes étrangers, « loups solitaires » radicalisés, ou encore attentats aux matières chimiques, biologiques, radiologiques, nucléaires et aux explosifs.
Les activités terroristes affectent aussi les décisions des investisseurs directs, puisqu'ils augmentent leurs coûts et diminuent l'attrait du pays concerné.
Le terrorisme constitue une menace réelle pour la démocratie, l'État de droit et la jouissance des droits de l'homme. En tant que tel il doit être combattu par les États membres, aux moyens de la prévention et de la répression.
Les sources du financement terroriste sont notamment la fraude de bas étage, l'enlèvement contre rançon, le détournement d'organismes à but non lucratif, le commerce illicite de marchandises (pétrole, charbon, diamants, or et stupéfiants comme le captagon), ou encore les monnaies électroniques.
C'est le recours illégitime à la violence contre des individus ou des biens afin de contraindre et intimider des Etats et des sociétés pour des revendications politiques exprimées la plupart du temps en termes sociaux, économiques ou religieux.
Une des conséquences les plus visibles et les plus médiatisées est le déplacement de populations, qu'elles soient réfugiées dans les pays voisins ou déplacées internes dans leurs régions d'origine ou ailleurs dans le pays. L'enquête n'a pu traquer que cette deuxième catégorie de déplacés (IDP).
Le plan Vigipirate est un outil central du dispositif français contre le terrorisme. Il associe toutes les parties prenantes, l'État, les collectivités territoriales, les opérateurs publics et privés ainsi que les citoyens, à une attitude de vigilance, de prévention et de protection.
Le terrorisme étant un phénomène transnational, c'est par le biais de l'Organisation, avec sa portée planétaire et ses outils mul- tilatéraux, que les orientations et les mesures antiterroristes requises à l'échelle mondiale peuvent être appliquées avec la plus grande efficacité.
Il s'agit pour ces groupes terroristes de saper l'Etat malien et de créer un Etat terroriste afin d'installer des sanctuaires comme en Afghanistan et d'avoir des bases d'entraînement [62][62]Conférence de presse sur la situation au mali et en Somalie du….
Des structures spécialisées, dont un état-major permanent (EMaP), réunissent l'ensemble des services de renseignement et des services de police judiciaire chargés de concourir à la lutte anti-terroriste. Ces services sont la DGSE, la DRM, la DRSD, la DNRED, Tracfin, le SCRT, la DRPP, le SNRP, la SDAT et la SAT.
Comment lutter contre le blanchiment d'argent ? La lutte contre le blanchiment d'argent s'effectue au moyen de contrôles stricts, et notamment de processus de contrôle des tiers (KYS). Certaines entreprises, comme les banques, sont également soumises à des obligations de déclaration de soupçon.
Le blanchiment des capitaux consiste à traiter les actifs provenant d'activités criminelles de manière à en dissimuler l'origine illicite. Le financement du terrorisme consiste à réunir des fonds pour appuyer des activités terroristes.
Le blanchiment donne un vernis de légitimité à ces fonds et permet d'éviter toute poursuite. Il complique également la tâche des services chargés de l'application de la loi qui tentent de remonter la piste de l'argent.
On donc peut être fiché dans le FPR pour une foule de raisons : judiciaires (si on fait l'objet d'une interdiction de sortie de territoire ou à l'inverse d'une obligation de le quitter), administratives (immigré clandestin, personne disparue…), fiscales (si on doit de l'argent à l'Etat), mais aussi « d'ordre public » : ...
"Les deux seules organisations montrées par l'ONU comme organisations terroristes sont al-Qaida et Daech", a affirmé Jean-Luc Mélenchon en déplacement à Bordeaux mercredi.
Sur le financement du terrorisme, le Gouvernement du Mali a adopté la Stratégie nationale de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme. Il a également mis en place la Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF), opérationnelle depuis juin 2008.
La mondialisation a contribué à modifier le niveau de violence à l'échelle mondiale, de sorte que le monde a connu une augmentation du taux du terrorisme de l'ordre de 200% entre 1990 et 1996 en comparaison à la période de 1968 à 1989.
L'augmentation des attaques des groupes terroristes au Sahel, couplée aux défis transfrontaliers tels que le trafic de drogues, le trafic d'êtres humains, les migrations et les déplacements de population, ont provoqué un ensemble de réponses sécuritaires tant régionales qu'internationales.
Certains facteurs ont aidé Boko Haram à élargir ses projets terroristes dans la région, notamment: Le réseau de collaborateurs locaux, les problèmes de société, la précarité de la sécurité, la pauvreté et la marginalisation, et la mauvaise gestion.