Si l'excitation intervient au moment du coucher, il se peut que la nuit soit source d'angoisse. Un désir d'attirer l'attention, que ce soit à l'école ou à la maison. Un manque de sommeil. Votre enfant a peut-être plus d'énergie que ses camarades.
Cette agitation à l'heure du coucher peut s'expliquer par le fait que votre enfant a besoin de libérer les tensions accumulées durant la journée. Pour l'aider à retrouver le calme nécessaire pour s'endormir, vous pouvez, par exemple, mettre une musique douce et lui faire un petit massage dans le dos.
Un toutou lourd ou une couverture un peu plus lourde
L'effet du poids sur son corps lui amenait un effet de repos et d'apaisement. Faire appel à cette stratégie si vous observez que les enfants bougent beaucoup au repos et que cela les empêche de s'endormir ou de dormir suffisamment.
Pour l'enfant, le moment du coucher est souvent vécu comme une séparation d'avec ses parents. Il peut alors ressentir un peu d'anxiété et ne pas vouloir dormir seul dans son lit. Il est cependant important que le tout-petit apprenne à gérer cette anxiété et comprenne qu'il est capable de dormir seul.
Il s'agira simplement d'un enfant vif. Un enfant qui bouge beaucoup est un bon signe. Cela montre qu'il s'ouvre au monde et est curieux de le découvrir.
Jouer avec le ton de votre voix, les lumières, le niveau de bruit. Tout cela aura un effet positif sur les enfants. Lorsque vous souhaitez amener les enfants au calme, créer d'abord une ambiance propice au calme. D'instinct, vous verrez déjà le niveau d'excitation diminuer rapidement.
Incitez votre enfant à bouger.
Il devrait faire au moins 60 minutes d'activité physique par jour. Allez faire des marches, jouez au parc ou faites des jeux de ballon avec lui. Des sports qui favorisent le contrôle de soi, comme les arts martiaux, peuvent aussi être bénéfiques pour sa concentration.
Cela dépend, bien entendu, de l'âge. Il se dessine une tendance à coucher les enfants de plus en plus tard… Les jeunes enfants avant 6 à 8 ans devraient pouvoir être couchés régulièrement avant 20h30. Pour les plus âgés, ne pas dépasser 21h30 semble un point important.
Il a perdu le rythme
Pour reprendre le rythme, avancez l'heure du coucher d'environ ¼ d'heure tous les jours. Par contre, décider brusquement de le coucher très tôt n'est pas une bonne idée : s'il n'a pas sommeil, la difficulté à s'endormir peut l'angoisser. Veillez aussi à ce qu'il se dépense beaucoup dans la journée.
Les parasomnies du sommeil lent profond comprennent les éveils confusionnels, les terreurs nocturnes et le somnambulisme. Les parasomnies associées au sommeil paradoxal incluent les cauchemars, les paralysies du sommeil et le trouble du comportement en sommeil paradoxal.
« Le risque que les enfants très hyperactifs dorment moins longtemps est cependant plus élevé que le risque que les enfants dont la durée du sommeil est courte deviennent hyperactifs. »
Il a du mal à se concentrer et à achever une tâche qu'il a commencée. Par exemple, dans les jeux libres, il passe très vite d'une activité à une autre, et il manque de persévérance dans les situations nécessitant une attention soutenue. À l'école, il fait de nombreuses fautes d'étourderie dans ses devoirs.
Un enfant épanoui a un visage souriant, il rit beaucoup et spontanément. Son sommeil est calme et paisible, il mange bien. Il est curieux de plein de choses et est animé par une belle confiance en lui : il ose aller vers les autres, partir en voyage scolaire sans ses parents…
Les règles doivent être claires et connues. Employez des mots que votre enfant comprend, selon son âge. Formulez la règle de manière positive. Par exemple, dites : « Je veux que tu parles sur un ton calme », plutôt que « Si tu n'arrêtes pas de crier, tu te retires dans ta chambre sans télévision ».
Malgré le rituel d'endormissement, l'histoire, le câlin, votre enfant est inquiet. "Proposez-lui un exercice de relaxation comme le “jeu du manège” qui l'amène à se calmer grâce à des mouvements de balancement », conseille le Dr Stéphane Clerget, pédopsychiatre.
Phase de préparation – Dans la journée, instaurer une promenade 2 fois par jour pour fatiguer l'enfant et surtout l'exposer à la lumière du jour. On y associe des horaires de siestes et de repas très réguliers, en évitant toute sieste après 17 heures – Le soir, on propose un renforcement des rituels de coucher.
Chantez-lui une berceuse ou mettez une musique douce pour accompagner votre enfant vers le sommeil. Dites-lui bonne nuit avec douceur et affection. Cela lui apprendra à associer le coucher à un moment agréable, même s'il devra finir par s'endormir sans papa et maman.
Cette « crise des deux ans », qui se caractérise par de (grosses) colères à répétition et des sauts d'humeur, est souvent difficile à gérer par les jeunes parents, notamment pendant les repas du soir de votre enfant. Vous êtes concerné par cette situation ?
Les signes montrant que l'heure du coucher est trop tôt
Il ne montre aucun signe de fatigue au moment du coucher. Il se réveille au milieu de la nuit ou très tôt le lendemain, en forme et impatient de commencer la journée.
Progressivement et jusqu'à 10-12 ans, la durée du sommeil nécessaire pour que l'enfant soit en forme va réduire pour approcher 10h. La sieste de l'après-midi finira également par disparaître et l'heure de coucher va se retarder : de 20h vers 5-6 ans on passera à 21h vers 8 ans et à 22h au début de l'adolescence.
Une autre cause fréquente du refus d'aller se coucher est le retardement de l'endormissement. Cela se produit si l'enfant est autorisé à se coucher plus tard que d'habitude pour plusieurs nuits consécutives ; au fur et à mesure son horloge interne se reprogramme pour retarder son endormissement.
Thérapie par testostérone
Lorsqu'elle est prise pendant une courte période, la testostérone utilisée en même temps que des œstrogènes (et généralement un progestatif) peut être efficace chez les femmes ménopausées atteintes d'un trouble de l'intérêt/de l'excitation sexuels.