de 0 km/h à 20 km/h : on doit passer la première vitesse. de 20 km/h à 40 km/h : on doit passer la seconde vitesse. de 40 km/h à 60 km/h : on doit passer la troisième vitesse. de 60 km/h à 80 km/h : on doit passer la quatrième vitesse.
Elle se décompose en 3 phases : l''attaque : contact du sol par le côté externe du talon. l'appui : transition entre un pied et l'autre. phase de propulsion : la poussée se produit quand le premier pied quitte le sol avec une forte poussée sur l'autre pied.
Une piste d'athlétisme standard est une surface plane oblongue composée de deux lignes droites et deux demi-cercles, dont le périmètre intérieur est de 400 m en plein air.
− SPORTS. Officiel chargé de donner le signal du départ d'une course de chevaux ou d'une épreuve automobile (à l'aide d'un drapeau), d'une course à pied par un coup de pistolet. Se placer sous les ordres du starter. Le premier départ ne fut pas bon, le starter (...)
La course de vitesse, aussi appelée sprint, est présente aux Jeux Olympiques depuis 1896. Le principe consiste à courir le plus vite possible sur une distance inférieure à 800 mètres. On distingue dans l'usage le sprint dit « court » (100 et 200 mètres) du sprint dit « long » (400 mètres).
La technique peut être enseignée en introduisant les compétences clés relatives aux éléments de toutes les courses de vitesse : réaction, accélération, vitesse maximum et conservation de la vitesse.
Rien ne doit toucher ni dépasser la ligne de départ. Au dessus de 400m, départ debout "A vos marques, coup de feu". L'athlète ne doit pas toucher le sol avec sa ou ses mains. C'est le starter qui donne l'avertissement du faux départ, même s'il lui est signalé par l'aide starter.
L'élève court vite sans ralentir jusqu'au but à atteindre : rattraper, ne pas se faire rattraper, atteindre un maximum de plots sur une durée courte, passer la ligne d'arrivée ou réaliser une distance dans le temps le plus bref.
Course de vitesse : aller le plus vite possible d'un point à un autre en ligne droite. Course de haies : aller le plus vite possible d'un point à un autre en ligne droite en franchissant des obstacles. Course de relais : amener le témoin d'un point à un autre le plus vite possible en se relayant à plusieurs.
La vitesse gestuelle (Zatiorsky) ou vitesse de mouvement unique (Korobkov) ou vitesse d'un mouvement isolé (Pradet) ; La fréquence gestuelle (Zatiorsky/Pradet) ou fréquence de mouvement (Korobkov) qui est exprimée sous le terme vélocité dans les sports cycliques et enchaînements de tâches dans les sports complexes.
Il est interdit de ravitailler ou de changer de réservoir sur la grille. Il appartient au Directeur de Course de définir en opportunité le nombre de tours de chauffe. Si un warm up est prévu, tous les pilotes qualifiés ont la possibilité d'y participer (sauf règle spécifique).
Ainsi, si un élève parcourt 400 mètres en 170 secondes, il parcourt en une seconde une distance de 400/170 mètres. Sa vitesse a donc une valeur de 400 / 170 = 2,35 m/s.
En 1896, le baron Pierre de Coubertin prend conscience du formidable engouement que peut susciter la course pour les Jeux olympiques modernes.
Le Starter
Pour les courses jusqu'à 400m inclus, y compris pour les relais 4x100, 4x200m et du relais 4x400m, au commandement «A vos marques», les athlètes doivent se placer derrière la ligne de départ, dans leurs blocs de départ.
La course étant principalement un déplacement en translation, le geste actif est recherché le plus possible dans l'axe du déplacement.
La première épreuve disputée aux Jeux de l'Antiquité était la course de stade, course de vitesse sur environ 192 mètres. On en connaît les vainqueurs jusqu'en 776 av. J-C.
Le sprint, défini comme une vitesse de course comprise entre 19 et 25 km/h, représente 5 à 10 % de la distance totale parcourue au cours d'un match et correspond à 1 à 3 % du temps de jeu dans des ligues de rugby et de football notamment.
la course de relais est une course où chaque membre d'une équipe court l'un après l'autre, l'enchaînement se faisant par la « transmission de témoin » : en athlétisme, il s'agit d'un témoin que les athlètes se transmettent ; dans d'autres sports, il peut s'agir simplement d'une tape dans la main.
Les épreuves de courses de vitesse de courte et moyenne distance (jusqu'à 10'000 mètres) se déroulent dans le stade. Pour le départ des courses de 100 mètres, 200 mètres et 400 mètres l'athlète est en position accroupie. Il s'appuie sur un starting block, un engin réglable constitué de deux cales pour les pieds.
La course de vitesse se disputait sur une longueur (environ 200 m) ou sur deux longueurs de stade (environ 400 m). Elles se déroulent sur des distances allant de 800 m à 42,195 km (marathon). Les coureurs portaient un casque, un bouclier et une lance. La distance de course était de 4 stades (800 m).
est que “vitesse” est allure, rapidité lors d'un mouvement tandis que “endurance” est faculté, force d'endurer la fatigue physique, les privations.
- Franchir la ligne d'arrivée sans ralentir. * Partir vite à un signal et maintenir sa vitesse pendant 7 secondes. - Réagir au signal de départ. - Maintenir une trajectoire rectiligne (bras et regard horizontal dans l'axe de la course).