Ce qu'on appelle " approche par compétences " se limite souvent, dans les réformes curriculaires en cours, à mettre l'accent sur les capacités, disciplinaires ou transversales. Il n'y a pas alors développement de véritables compétences, au sens où je les définis.
La principale limite de la mise en œuvre de l'APC dans les instituts de formation des enseignants est le peu d'intérêt que l'on semble accorder au processus d'enseignement-apprentissage. Pourtant c'est le levier du véritable changement dans les salles de classe.
L'un des avantages de l'APC est le fait que, en principe, l'apprenant participe activement à la construction des connaissances. Il ne s'agit plus pour lui de tout attendre de son enseignant, censé lui transmettre ces connaissances.
L'approche par compétences se fonde sur le fait que l'élève apprend mieux dans l'action. C'est-à-dire : quand il est en situation de production effective, qu'il est véritablement impliqué dans l'apprentissage et les activités scolaires ont du sens pour lui (parce qu'elles sont contextualisées).
Dans le cadre de l'APC, il est essentiel que l'évaluation ait un sens pour le stagiaire. Elle doit donc être le plus près possible d'un contexte réel de travail, et utiliser une situation complexe et globale. L'évaluation d'une compétence ne peut pas se faire en évaluant isolément chacun de ses composants.
Ces deux approches ne se rencontrent pas parce qu'elles portent sur des objectifs différents : la PPO prescrit des comportements que l'apprenant doit reproduire alors que l'APC ne formule que des hypothèses à propos de traitements compétents que peut réaliser une personne en situation.
Les activités pédagogiques complémentaires sont organisées et animées par les enseignants. Elles s'ajoutent aux 24 heures d'enseignement hebdomadaires dues à tous les élèves. > Un enseignant consacre 36 heures annuelles aux activités pédagogiques complémentaires avec les élèves.
La situation d'apprentissage est définie comme un ensemble constitué d'une ou plusieurs tâches à réaliser par l'élève en vue d'atteindre le but fixé.
Les activités pédagogiques complémentaires permettent : - une aide aux élèves rencontrant des difficultés dans leurs apprentissages ; - une aide au travail personnel ; - la mise en œuvre d'une activité prévue par le projet d'école, le cas échéant en lien avec le PEDT.
Il s'agit d'une part que les élèves acquièrent réellement les compétences indispensables pour devenir des citoyens responsables et actifs et d'autre part, que le « socle » de compétences soit maîtrisé par tous les élèves, y compris ceux qui rencontrent le plus de difficultés.
Les activités pédagogiques complémentaires (APC) font partie des obligations de service des professeurs qui les organisent et les mettent en œuvre dans toutes les écoles.
L'annualisation des APC permet de moduler l'organisation pour les élèves. A titre d'exemples : – 2 créneaux de 45min chaque semaine sur 24 semaines, – 2 créneaux de 30min chaque semaine sur 36 semaines, – 1 créneau d'1h chaque semaine sur 36 semaines, – etc.
L'un des principaux inconvénients des maisons passives est le coût initial plus élevé de la construction. Les matériaux de haute qualité, l'isolation supérieure et les systèmes de ventilation sophistiqués peuvent entraîner un prix plus important par rapport aux méthodes de construction traditionnelles.
On appelle situation-problème une activité pédagogique consistant en l'aménagement d'une situation de recherche dans laquelle les représentations sociales de l'élève sont mises en crise. Cette situation de recherche lui permet, d'abord seul puis en groupe, de conscientiser ses représentations puis de rompre avec elles.
La SAé ou Situation d'Apprentissage et d'évaluation est un ensemble constitué d'une ou plusieurs tâches à réaliser par l'étudiant en vue d'atteindre le but fixé. Elle permet à l'étudiant de développer et d'exercer une compétence indispensable pour l'acquisition de son diplôme universitaire.
Des activités pédagogiques complémentaires (APC) sont proposées en petite section de maternelle. Il s'agit de cours de soutien par petits groupes, en plus des heures obligatoires. Le but est d'aider les élèves qui rencontrent des difficultés en classe.
A contrario des enseignants et enseignantes chargées d'école (classe unique) qui continuent à être assujetties à 30 heures d'APC, les directeurs et directrices d'école peuvent ne plus assurer les APC.
Il s'agit d'un carnet personnel où l'élève peut écrire son avis sur l'ouvrage, un résumé ou encore créer des devinettes, recopier un passage préféré, des mots intéressants, illustrer un passage, dessiner des personnages, écrire les questions que l'élève se pose, faire des liens avec d'autres œuvres…
L'objectif opérationnel : les résultats attendus de la formation sur le terrain. L'objectif pédagogique global : les savoirs, savoir-faire et savoir-faire relationnels attendus en fin de formation. L'objectif pédagogique partiel : les capacités attendues à l'issue d'une séquence de la formation.
Il ne convient pas d'aboutir à une conception purement linéaire de l'apprentissage dont l'ordre scrupuleusement respecté par le maître et par l'élève. En effet, l'enfant construit son savoir selon une logique qui lui est propre.
La taxonomie de Bloom originelle (1956)
Elle visait à créer un cadre logique pour les objectifs d'enseignement et d'apprentissage afin de faciliter la compréhension de la manière dont les gens acquièrent de nouvelles connaissances. Il faut également garder en tête la hiérarchisation des niveaux de classification.
Évaluation diagnostique, formative, sommative.
Plus précisément, une grille d'observation est un système de catégories qui intervient à la fois pour le codage des comportements observés et l'analyse de données qualitatives.