LIMITE DE LEADERSHIP : à force de compter beaucoup sur un individu, il développe l'orgueil et centralise le pouvoir, il n'écoute personne, car il sait qu'il est incontournable dans l'organisation, il utilise ses privilèges non pas pour le bien de l'organisation mais pour renforcer l'égoïsme.
L'une des limites du leadeurship est que le fait de s'assurer que vous fournissez à vos employés les ressources et la formation dont ils ont besoin n'est pas une activité productive.
Avantages et inconvénients du leadership autocratique
Ne favorise pas le travail créatif ni la réflexion. Permet à court terme aux employés de tenir les délais. Peut entraîner à long terme une grande fatigue et le non-respect des délais. Un bon style pour les périodes stressantes ou un lieu de travail stressant.
Un bon leader, plus que quiconque, se doit de communiquer avec transparence et sincérité dans toutes les situations. Il doit savoir encourager en cas de réussite mais aussi et surtout assumer les erreurs en cas d'échec, sans travestir la réalité. Il en va de sa crédibilité et de sa légitimité.
Les mauvais leaders évitent ou ignorent les conflits
Que ce soit lors d'un conflit direct avec un autre employé ou lorsqu'il est nécessaire de jouer les médiateurs entre deux partis dans une dispute, un leader ne devrait pas prétendre que tout va bien et assumer que les choses vont se régler d'elles-mêmes!
Un bon leader est une personne qui sait : Créer une vision inspirante de l'avenir. Motiver et inspirer les gens à s'engager dans cette vision. Gérer la réalisation de cette vision.
Selon K. Lewin, psychologue américain spécialiste des relations inter-personnelles, on peut distinguer trois types de leadership : le leadership autoritaire, le leadership démocratique et le leadership permissif ou “du laisser-faire”.
Bien que la plupart des penseurs contemporains aient évité de donner une définition du leadership, Kellerman a indiqué dans les années 2010 qu'elle voyait le leadership comme un triangle équilatéral dans lequel les trois côtés sont le leader, les suiveurs et le contexte.
Le style participatif est le meilleur style pour les chefs d'entreprise. Ce style n'est pas le seul style qu'un chef entreprise peut utiliser pour gérer sa société ; il y a celui qui est autocratique et l'autre qui est le 'laisser-faire', mais ce style est le meilleur.
Un leader est quelqu'un qui dirige par l'exemple, de sorte que les autres sont motivés à le suivre. Pour être un leader, une personne doit avoir un engagement profond envers l'objectif qu'elle s'efforce d'atteindre, et ce, même si personne ne la suit !
Le leadership, un terme emprunté à l'anglais, définit la capacité d'un individu à mener ou conduire d'autres individus ou organisations dans le but d'atteindre certains objectifs. On dira alors qu'un leader est quelqu'un qui est capable de guider, d'influencer et d'inspirer.
Le leader est donc celui qui est capable d'inspirer les autres, de les influencer et de les guider. Pour mener à bien sa mission, le leader se doit d'avoir des qualités et des compétences adaptées. Il joue un rôle important dans l'équipe et peut avoir un impact positif ou négatif sur les membres de l'entreprise.
Mais sans charisme la communication est toujours plus difficile. Et la communication est essentielle au leadership. Non pas pour convaincre les autres d'avoir envie de faire ce que vous voulez voir se réaliser. Mais pour défendre les choix stratégiques et les intérêts des parties prenantes de l'entreprise.
La communication de leadership se distingue des autres formes de communication par les lourdes tâches qu'elle doit remplir. Les dirigeants doivent inspirer, persuader, établir des relations, partager des idées, transmettre les valeurs de l'entreprise et faire bouger les choses.
Le leader inspirant est capable de convaincre par ses mots et ses actions du bien-fondé des objectifs à atteindre. Ses équipes, naturellement, ont ainsi envie de s'engager pleinement à ses côtés, pour atteindre les objectifs.