Il se faut entraider, c'est la loi de nature : L'Âne un jour pourtant s'en moqua : Et ne sais comme il y manqua ; Car il est bonne créature.
Livre : Le lion et le renard
La morale de cette histoire est qu'il faut réfl échir avant d'agir plutôt que de faire comme les autres.
Résumé de l'histoire : « On a toujours besoin d'un plus petit que soi », et même le roi des animaux peut un jour être sauvé par un modeste rat ! Explication de la morale : il ne faut pas mépriser les plus petits, ou les plus faibles ; chacun a ses qualités et apporte quelque chose aux autres.
Morale. La fable comporte un enseignement au lecteur. Même si ici, la morale n'est pas explicite, elle peut se résumer par quelques expressions : mieux vaut être pauvre et libre que riche et esclave — mieux vaut vivre pauvre mais indépendant que dans une cage dorée.
Ne pas confondre vitesse et procrastination
Lorsqu'il se rend compte que la tortue va franchir la ligne d'arrivée, le lièvre se met à bondir. Mais trop tard. La tortue a remporté la victoire. Et nous connaissons tous la morale de l'histoire : rien ne sert de courir, il faut partir à point !
Genre : la poésie qui met en scène hommes ou animaux personnifiés, suivie d'une morale. Résumé de l'histoire : Une cigale qui vit au jour le jour demande de la nourriture à une fourmi avare ; celle-ci la lui refuse… Explication de la morale : Le travail est une valeur fondamentale et il faut savoir être prévoyant.
La morale de la fable
Mais la fable montre que les malheureux se consolent en voyant plus malheureux qu'eux. Ainsi le Lièvre se rassure en constatant qu'il est plus chanceux que les grenouilles qui ont peur de lui...
« Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage. » « Apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute. » « Il se faut s'entraider, c'est la loi de nature. » « L'avarice perd tout en voulant tout gagner. » […] « Belle leçon pour les gens chiches !
La victoire du singe, dénouement aussi nécessaire qu'immédiat, ouvre sur une double moralité : "Ce n'est pas sur l'habit Que la diversité me plaît, c'est dans l'esprit : L'une fournit toujours des choses agréables; L'autre en moins d'un mcment lasse les regardants.
Dans Le Loup et l'Agneau, la morale se situe au tout début : « La raison du plus fort est toujours la meilleure ». Cela signifie que celui qui a raison est celui qui a le plus de force physique. Ici le Loup est plus fort que l'Agneau, et même si l'Agneau a raison, il se fait manger par le Loup.
Quelle est la morale du Chêne et du Roseau ? Même si le Chêne est apparemment plus résistant, son orgueil le perd. Le Roseau est plus humble, à la fois dans ses paroles et son attitude : "plier" ou "courber le dos" est souvent une image d'acceptation et de patience.
Pourtant dans cette fable, « L'homme et la couleuvre », c'est bien cet animal qui révèle à l'homme l'étendue de son injustice. Pour appuyer ses dires, elle fait appel aux témoignages d'autres victimes de l'égoïsme des humains. Comment La Fontaine dénonce-t-il l'ingratitude de l'homme envers la nature ?
Tout à fait prévisible, la morale de cette fable est un constat : la raison du plus fort finit toujours par l'emporter, la paix reste illusoire. Retrouve les autres artistes de La Fontaine Superstar, le dossier sur la fable et teste tes connaissances sur Jean de La Fontaine.
De la même façon que dans Le pouvoir des fables, La fontaine raconte une fable pour faire réfléchir et persuader le Grec : choisir un protecteur très puissant ou trois plus faible et certainement moins efficaces.
Cette fable vise les hommes qui, ne connaissant pas la vérité, pensent en faire accroire aux autres.
Le récit qui suit (la révolte avortée des membres contre l'estomac) est donc clair avant même l'expli¬ citation de la moralité : Ceci peut s'appliquer à la grandeur royale : Elle reçoit et donne, et la chose est égale. Tout travaille pour elle, et réciproquement Tout tire d'elle l'aliment.
Il conclut son conte par une morale où, bien que « tous les loups ne soient pas de la même sorte », tous sont « dangereux »27 ; tel est le fin mot de l'histoire, issue d'une Histoire qui fait remonter au Moyen-âge la peur ancestrale d'un animal réellement dangereux pour l'homme et ses troupeaux.
Cette fable est constituée de deux parties : la cigogne tombe dans le piège du renard, puis le renard tombe dans son propre piège cette fois-ci tendu par la cigogne. La morale est : « Trompeurs, c'est pour vous que j'écris : Attendez vous à la pareille. »
Le mulet du meunier redresse au contraire fièrement la tête et lui adresse la morale de la fable : « Il n'est pas toujours bon d'avoir un haut emploi : Si tu n'avais servi qu'un Meunier, comme moi, Tu ne serais pas si malade. »
Sources possibles de la fable
Marie de France, inspiré par Ésope, écrit "Le Grillon et la Fourmi" au XIIè siècle. Sa morale est également explicite : "Il ne faut vivre, on peut le voir, En insouciance et nonchaloir. Mais, comme on le peut, tout au moins, S'efforcer d'acquérir du bien.
7. La morale de cette histoire est qu'"en toute chose il faut considérer la fin" : il faut réfléchir aux conséquences de ce que l'on fait. 8. Cela signifie qu'avant de se lancer dans une aventure, il faut bien réfléchir à ce qui va se passer par la suite.
Jean de La Fontaine met en scène dans "La Tortue et les Deux Canards", le voyage insolite d'une tortue naïve et avide de découvrir le monde. Le fabuliste y dénonce alors l'imprudence et l'excès de vanité.
Les deux derniers vers du texte sont consacrés à la morale et délivrent donc l'enseignement à retenir : "Selon que vous serez puissant ou misérable / Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir". Ici, une critique est faute de la justice qui est arbitraire et inégale selon la puissance des prévenus.