La langue française est née vers le 9e siècle d'un mélange de latin, de langue germanique et de francique. Elle se nommait alors le « françois » (prononcé « franswè »). À l'époque, la langue française n'était parlée que dans les régions d'Orléans, de Paris et de Senlis, et ce, par les classes sociales les plus aisées.
La CIA World Factbook définit les groupes ethniques de la France comme étant « celtique et latin avec des minorités germaniques, slaves, d'Afrique du Nord, d'Afrique subsaharienne, indochinoise et des minorités basques. Et pour les départements d'outre-mer : noirs, blancs, mulâtres, indien, chinois et amérindien ».
En 50 avant Jésus-Christ, les Romains envahissent la France avec leur langue, le latin. Au 5e siècle, le peuple des Francs prend leur place. Ils prononcent le latin à leur manière, ajoutent leurs mots, et créent ainsi une nouvelle langue : le roman.
Les langues, dans leur sens moderne, ne seraient apparues qu'entre 80 000 à 60 000 avant notre ère, en Afrique de l'Est ou au Proche-Orient, alors que nos ancêtres, les Homo sapiens sapiens, n'étaient plus que quelques milliers d'individus.
Aux groupes présents depuis le Paléolithique et le Néolithique, sont venues s'ajouter, à l'Âge du bronze et à l'Âge du fer, des vagues successives de Celtes, puis au III e siècle de peuples germains (Francs, Wisigoths, Alamans, Burgondes) et au IX e siècle de scandinaves appelés Normands.
L'araméen, la langue de Noël.
Les origines de la langue française se trouvent dans le latin vulgaire, tel qu'il était parlé dans le nord de la Gaule, et plus spécialement entre Paris et la Vallée de la Loire. «Vulgaire» est à prendre au sens étymologique: commun, populaire, par opposition au latin classique; le mot n'a rien de péjoratif.
La notion d'ancien français (encore parfois appelé vieux français) regroupe l'ensemble des langues romanes de la famille des langues d'oïl parlées approximativement dans la moitié nord du territoire français actuel ainsi que dans le sud de la Belgique actuelle et dans le canton du Jura en Suisse romande (le reste de la ...
Jean II réintégra le latin lorsqu'il monta sur le trône mais Charles V lui succéda et, durant son règne, parvint à imposer le français dans 75 % des actes. C'est finalement François Ier qui imposa définitivement le français pour tous les actes juridiques à travers l'ordonnance de Villers-Cotterêts.
Le Français n'a pourtant aucun Gaulois pour ancêtre. Il descend des Celtes, des Ambiens, des Helvètes, des Pictes… Bref, de toutes sortes de tribus. Mais d'aucune tribu gauloise, car aucun peuple ne s'auto-désignait « Gaulois » il y a plus de 2 000 ans.
Elle peut désigner des personnes nées en France dont les parents sont également nés en France, ou des personnes de nationalité française dont les ascendants — cette définition pouvant, selon les interprétations, concerner uniquement les ascendants immédiats, ou au contraire s'étendre à plusieurs générations, — sont ...
Ces « premiers français » sont sans doute des homo erectus, arrivés d'Afrique via le Proche-Orient et peut être le détroit de Gibraltar et leur population ne doit pas dépasser quelques milliers d'individus sur tout le territoire de la France actuelle.
Pour savoir si la France est un pays latin, tout dépend du critère qu'on prend. Au niveau linguistique, la France est clairement latine. Au niveau culturel la latinité a fortement marqué l'identité française.
L'origine (du latin origo, « la source ») est au premier abord le moment initial de l'apparition d'une chose, c'est-à-dire la naissance historique de cette chose, le commencement de cette chose.
Répartition du français dans le monde. Le français est une langue indo-européenne de la famille des langues romanes dont les locuteurs sont appelés francophones, également surnommé la langue de Molière.
( X e siècle) de l'ancien français mercit (881), issu du latin mercēdem , accusatif de merces « salaire, prix, récompense », tardivement « faveur, grâce ». (Vers 980) merci (Vie de Saint Léger).
Il faut remonter à plus de 2000 ans pour connaître les origines de la langue française. À cette époque, la France était habitée par des tribus gauloises. Entre eux, ils utilisaient la langue celtique pour se comprendre.
Venus d'Afrique, les premiers « Français » sont arrivés au fil de plusieurs vagues : Homo erectus d'abord, il y a plus de 1 million d'années, puis Homo sapiens, il y a 40 000 ans. Avec l'arrivée des agriculteurs du Proche-Orient, il y a 8 000 ans, se produit le premier boom démographique.
Le sumérien est une langue morte importante car il s'agit de la langue écrite la plus ancienne découverte à ce jour. Des fouilles archéologiques sont à l'origine de la découverte des tablettes d'argile qui ont permis d'attester l'existence du sumérien, originaire de Mésopotamie. Le sumérien date d'au moins 3500 ans av.
N°1 : le chinois
Selon le site Ethnologue.com, il y aurait près d'1,2 milliards de locuteurs natifs, dont près d'1 milliard parlant le mandarin.
C'est une langue celtique, comme le gaélique d'Irlande et d'Ecosse ou le brittonique du Pays de Galles et de Bretagne. Le gaulois est issu de la même souche indo- que le latin, d'où des parentés linguistiques. Des dialectes gaulois locaux ont vraisemblablement existé, mais n'ont pas laissé de traces tangibles.
La langue adamique se distingue fondamentalement du concept de proto-langue hypothétique telle qu'on en postule et reconstruit en linguistique, puisque ici liée à la littéralité du récit biblique de la Genèse et ne tenant pas compte des notions scientifiques d'évolution ou de transformations des langues.
Yeshoua, en hébreu, provient de la racine trilittère du verbe « sauver ». Parmi les Juifs de la période du Second Temple, le nom biblique araméen/hébreu יֵשׁוּעַ, Yeshoua' était commun : la Bible hébraïque mentionne plusieurs individus portant ce nom — même parfois en utilisant le nom complet Joshua.
Ibn Asākir (1105-1175), dans son Tārīkh, rapporte d'Ibn 'Abbâs : la langue d'Adam, dans le jardin, était l'arabe.