Dans la plaine de Melong et sur les pentes des collines de
Quant à la production nationale, elle est estimée à 100 000 tonnes de paddy cultivées sur 44.000 ha. La grande partie de cette production provient des périmètres irrigués des provinces du Nord-Ouest et de l'Extrême Nord, éloignés des grands centres de consommation du Sud du pays (Yaoundé et Douala).
L'hévéaculture au Cameroun n'est qu'à ses débuts. Des expériences de cultures modernes n'ont été faites que sur une seule grande plantation. Il est, en tout cas, certain que les résultats obtenus sont des plus encourageants. Une plantation d'Hévéas de près de 5 000 ha représente une grande richesse pour cette colonie.
Les céréales cultivées au Nord-Cameroun sont les mils et sorghos qui dominent largement, le maïs qui connaît une expansion remarquable et enfin le riz qui reste une production secondaire, essentiellement présente sur les périmètres irrigués de la plaine du Logone.
D'après la Banque mondiale, les principales productions vivrières au Cameroun sont la banane plantain avec 2 millions de tonnes, le manioc avec 3 millions de tonnes, le maïs avec 1 million de tonnes, le macabo/taro avec 1,3 million de tonnes, l'igname, le mil/sorgho, la pomme de terre.
Au Cameroun, sur environ 41.000 hectares plantés, les plantations villageoises d'hévéas couvrent 3.200 ha à la périphérie des blocs industriels de CDC et d'HEVECAM.
La plus grande plantation de thé du Cameroun
Ndawara Tea Estate est la plus grande plantation de the au Cameroun avec environ 5000 ha de surface cultivée. Elle se situe dans la province du Nord-Ouest, dans le pays le pays Fulani.
Au Cameroun, la région administrative du Nord a produit en 2010, selon le ministère de l'Agriculture et du Développement rural (Minader, 2012), un peu moins de 211 000 tonnes de maïs.
le Bakweri (population de Buéa) le Bulu (population de la région d'Ebolowa) le Peul et sa variante le Foufouldé (populations du Nord du Cameroun) les nombreuses langues Bamiléké (peuple de la région de l'Ouest)
Connue pour ses vertues nutritionnelles, la pastèque se fait de plus en plus une place parmi les cultures les plus rentables en Afrique.
On peut donc dire au total, que mise à part la qualité des sols, le Cameroun du sud réunit un cer- tain nombre de facteurs naturels favorables à la culture du cacaoyer ; cela est particulièrement vrai de la zone située, en gros, au sud de la Sanaga et à l'est du rebord du plateau.
Article détaillé : Histoire de la culture de l'hévéa. Cette espèce est originaire de la grande forêt amazonienne qui s'étend sur le territoire du Brésil (États d'Amazonas, du Mato Grosso ou du Pará), du Pérou, de la Bolivie , de la Guyane et de la Colombie.
La CDC produit de la banane, de l'huile de palme, du caoutchouc naturel et quelques cultures plus marginales. Toutes ces plantations sont situées dans le sud-ouest du Cameroun, autour du mont Cameroun.
Le Cameroun est richement doté en ressources naturelles (pétrole et gaz, minerais et bois précieux) et agricoles (café, coton, cacao, maïs et manioc).
Quelles sont les cultures vivrières ? De nombreuses espèces sont cultivées pour l'agriculture vivrière. Parmi les plus cultivées, on peut bien évidemment citer le riz, le maïs mais aussi le manioc, les pois, l'igname, la banane plantain et la banane, les lentilles, les noix de terre et le pois d'Angole.
Quelle est la région le plus riche au Cameroun ? Son PIB est le plus élévé de la zone CEMAC, avec 16,3 milliards d'euros en 2008, la moyenne en Afrique Centrale étant de 0,85 milliards.
le maïs farineux, Zea mays amylacea, peu cultivé, le maïs cireux ou waxy Zea mays ceratina à forte teneur en amylopectine, utilisé par l'industrie, le maïs Pop-corn Zea mays everta, le maïs denté Zea mays indentata à l'albumen farineux caractéristique en particulier du Corn Belt américain (maïs tardif).
Pour rappel, grâce aux chercheurs de l'Institut de recherche agricole pour le développement (Irad), le Cameroun dispose de variétés hybrides de maïs, capables d'offrir des rendements allant de 6 à 9 tonnes à l'hectare, contre 1,8 tonne à l'hectare pour les variétés dites composites.
Le rendement potentiel à l'hectare est d'environ 2,5 tonnes pour le NCRISOY-1 tandis qu'il est de 3,0 tonnes pour NCRISOY-2, avec respectivement 35% et 38 % de protéine brute et 18% d'huile.
La couche arable doit être d'au moins 1,50 mètre. Le meilleur sol est jeune et volcanique, très perméable et riche en humus, plutôt acide, non argileux. La culture du thé se fait toujours sur un sol en pente, drainé naturellement, car le théier, contrairement au riz, ne supporte pas l'eau stagnante.
La Sosucam (Société sucrière du Cameroun) est la principale société sucrière du Cameroun. La société est une filiale à 74% du groupe français Somdiaa, dirigé par Alexandre Vilgrain, et à 26% par l'État du Cameroun.
Le caoutchouc peut être fabriqué à partir d'un produit naturel : le latex qui est la résine d'un arbre, l'Hévéa. En réalisant une encoche dans l'écorce du tronc de l'Hévéa, on peut récolter ce latex qui ressemble à du lait.