Dans un contexte de croissance démographique, pour créer de nouvelles constructions et utiliser de nouveaux terrains pour l'agriculture sans constituer de menaces pour l'environnement et les populations, il est alors nécessaire de dépolluer les sols… souvent pollués par ces mêmes activités.
Des plantes dites hyperaccumulatrices peuvent absorber ces éléments de façon très importante : jusqu'à 1% de leur poids de matière sèche. Concrètement, on sème les espèces les mieux adaptées au sol à dépolluer, puis on les récolte. Ensuite, on les brûle et on collecte les cendres.
La dépollution des sols par des plantes : phytoremédiation
Certains végétaux, algues ou champignons sont utilisés comme dépolluants. Ils peuvent réduire la mobilité des polluants, les fixer dans leurs tissus ou les absorber.
S'il s'agit d'une pollution accidentelle (ex : déversement d'hydrocarbures dans un cours d'eau), il convient de prévenir en priorité la gendarmerie, la police nationale et/ou les pompiers ainsi que la mairie de la commune concernée.
Les traitements après excavation de terre sont semblables à ceux appliqués in situ. On retrouve la stabilisation physico-chimique, la biodégradation (par mise en tertre et ventilation), le confinement et la désorption thermique.
Autrement dit, la pollution du sol est comprise comme altération du biotope constitué par l'humus (ou tous autres types de sols) par l'introduction de substances toxiques, éventuellement radioactives ou d'organismes pathogènes entraînant une perturbation plus ou moins importante de l'écosystème.
Le pompage est un procédé très efficace pour dépolluer une zone. Cette technique consiste à extraire les polluants organiques ou minéraux en phase dissoute présents sur le site saturé. Les polluants sont ensuite dirigés vers des points d'extraction, puis traités.
Définition "dépolluer"
v. trans. Supprimer les effets de la pollution.
limiter le lessivage et augmenter la biodiversité par la couverture des sols, valoriser l'eau de profondeur et limiter les apports d'eau par irrigation, limiter les apports en fertilisants minéraux en améliorant le fonctionnement racinaire, limiter au maximum le recours aux intrants non renouvelables et chimiques.
Limiter notre consommation d'emballages. Recyclage des huiles et des métaux lourds. Manger plus de légumes et moins de produits animaux. Sensibilisation et éducation pour prévenir la pollution de l'eau.
les services d'incendie et de secours qui peuvent mettre en œuvre des moyens de lutte contre la pollution le plus rapidement possible ; la gendarmerie qui est également compétente pour constater les infractions ou les pollutions, dresser un procès-verbal et mettre en œuvre les moyens d'intervention nécessaires.
Un biocentre est un site sur lequel les terres polluées sont traitées par voie biologique.
Pour faire briller votre sol en terre cuite, préparez et appliquez le mélange suivant : Mélangez ¾ d'huile de lin et ¼ d'essence de térébenthine. Imbibez un chiffon de ce mélange et frottez toute la surface au sol. Finissez en séchant soigneusement la terre cuite avec un chiffon de laine.
La pollution a un impact sur la sécurité alimentaire en perturbant le métabolisme des plantes et donc en réduisant les rendements des récoltes et en rendant les cultures dangereuses pour la consommation. Les polluants vont également directement nuire aux organismes qui vivent dans les sols et les rendent plus fertiles.
Il existe deux sortes de pollutions : les pollutions organiques d'origine naturelle (gaz, substances minérales ou organiques, bactéries, virus, plancton, particules d'argile, déchets végétaux) et les pollutions chimiques ayant comme origine les activités humaines.
La pollution des sols provoque une réaction en chaîne. Elle altère la biodiversité des sols, réduit la matière organique du sol et la capacité des sols à agir comme un filtre. Elle contamine l'eau stockée dans les sols et les eaux souterraines, et provoque un déséquilibre des éléments nutritifs présents dans les sols.
Parmi les plus efficaces, on trouve le lierre, le sansevière, le dracaena (toutes les variétés), le philodendron, l'azalée et le chlorophytum.
Le chlorophytum fait partie des plantes dépolluantes les plus connues. Et pour cause, il est non seulement entièrement dépolluant, mais aussi, extrêmement efficace. Il lutte contre le benzène, le formaldéhyde et le monoxyde de carbone. De plus, il est facile à cultiver et s'adapte à de nombreuses conditions.
Contrairement aux autres plantes, le cactus rejette de l'oxygène la nuit et du CO2 durant la journée. C'est la plante idéale pour la chambre.