Une alternative au déploiement massif d'un système dual-stack consiste à utiliser des
La coexistence IPv4-IPv6 peut être obtenue principalement par trois techniques. La première est la double pile (Dual Stack) , où votre matériel réseau supporte simultanément IPv4 et IPv6. La deuxième est un tunnel, c'est-à-dire l'encapsulation de paquets IPv6 dans des paquets IPv4.
Les étapes de base pour la migration d'un réseau IPv4 vers un réseau IPv6 implique de supprimer d'abord toutes les adresses IPv4 DHCP et adresses IP statiques existantes, puis de reconfigurer autant de nouvelles adresses IPv6 que nécessaire.
Grâce à une vérification améliorée des identités, IPv6 permet de contourner nombre de problèmes de performances et de sécurité liés à la diffusion Multicast et Anycast, et offre une meilleure configuration automatique, avec les messages ICMP6 utilisés pour déterminer une adresse et une configuration appropriées.
Pour résoudre les problèmes de pénuries d'adresses IPv4, une nouvelle norme a été mise en place, nommée IPv6. Contrairement à l'IPv4, dont l'espace d'adressage ne faisait que 32 bits, celui de l'IPv6 s'élève à 128 bits.
Teredo est une méthode qui permet de pallier ce problème en encapsulant le paquet IPv6 non plus directement dans un paquet IPv4 mais dans un paquet UDP/IPv4.
IPv6 (Internet Protocol version 6) est un protocole réseau sans connexion de la couche 3 du modèle OSI (Open Systems Interconnection). IPv6 est l'aboutissement des travaux menés au sein de l'IETF au cours des années 1990 pour succéder à IPv4 et ses spécifications ont été finalisées dans la RFC 2460 en décembre 1998 .
L'IPv4 est bâti sur une architecture 32 bits utilisant une chaîne de nombres séparés entre eux par un point. De son côté, l'IPv6 est un système 128 bits se présentant sous la forme de séquences alphanumériques séparées par le signe des deux-points.
IPv4 utilise un espace d'adressage de type classe en utilisation multicast (224.0.0.0/4). IPv6 utilise un espace d'adressage intégré pour le multicast, à FF00::/8. IPv4 utilise des adresses de « diffusion » qui forcent chaque équipement à s'arrêter et à examiner les paquets. IPv6 utilise des groupes multicast.
C'est une adresse IP. Une nouvelle technologie va donc remplacer ceci, IPv6 sera le successeur d'IPv4, ce nouveau protocole permettant un nombre bien plus important d'adresses, tout en simplifiant l'assignation d'une adresse et la sécurité des réseaux.
Nos données montrent que les visiteurs se connectant sur IPv6 chargent les pages en 27% moins de temps, que les visiteurs se connectant sur IPv4.
Pour répondre à la pénurie des adresses IPv4, certains mécanismes de substitution ont été mis en place par des FAI. Les équipements Carrier-grade NAT (CGN) permettent par exemple partager une adresse IPv4 entre plusieurs clients.
TCP et IP sont deux protocoles de réseau informatique distincts. IP est la partie qui obtient l'adresse à laquelle les données sont envoyées. TCP est responsable de la livraison des données une fois que cette adresse IP a été trouvée. Il est possible de les séparer, mais il ne sert à rien de différencier TCP et IP.
Le protocole IGRP, donc Interior Gateway Routing Protocol, le protocole EIGRP, donc Interior Gateway Routing Protocol en mode avancée et enfin, le dernier, celui qui est le plus utilisé dans le monde public côté internet, qui est le protocole SPF.
Effet, dans la communication, il existe donc trois grandes catégories des différents types d'adresses IPv6 : Unicast ; Anycast ; Et multicast.
Nombre d'adresses représentables
Le calcul est : 2^128 (contre 2^32 pour l'IPv4), soit « 2 exposant 128 ». On a 2 valeurs possibles : 0 ou 1, sur 128 bits. Plus précisément : 340 282 366 920 938 463 463 374 607 431 768 211 456 adresses IPv6 possibles, contre 4 294 967 296 IPv4 possibles (environ 4 milliards).
Pour faciliter la recherche d'un site donné sur Internet, le système de noms de domaine (DNS) a été inventé. Le DNS permet d'associer un nom compréhensible, à une adresse IP. On associe donc une adresse logique, le nom de domaine, à une adresse physique l'adresse IP. Le nom de domaine et l'adresse IP sont uniques.
Dans la fenêtre d'Etat de votre réseau, cliquez avec le bouton Propriétés. Enfin pour activer ou désactiver IPv4, depuis la nouvelle fenêtre des propriété de votre réseau actuel, décochez ou cocher la ligne Protocole Internet version 4 (TCP/IPv4), appuyez sur OK.
Les adresses IPv4 se composent de deux parties. Les premiers nombres spécifient le type de réseau, tandis que les derniers permettent de déterminer l'hôte de façon précise. Un masque de sous-réseau spécifie la partie de l'adresse qui correspond au réseau, et celle qui désigne un hôte spécifique.
Une adresse IPv4 est un nombre de 32 bits identifiant de manière unique une interface réseau sur un système, comme expliqué à la section Application d'adresses IP aux interfaces réseau. Une adresse IPv4 s'écrit sous forme de nombres décimaux, divisés en quatre champs de 8 bits séparés par des points.
Quels sont les messages ICMP utilisés par les protocoles ipv4 et IPv6 ? Les datagrammes ICMP sont transportés à l'intérieur de datagrammes IPv6 dans lequel un en-tête d'extension peut aussi être présent. Un message ICMP est identifié par sa valeur 58 (0x3A) positionnée dans le champ Next Header de l'en-tête IPv6.
Ceci est dû au principe même sur lequel est conçu le protocole : contrairement à son prédécesseur, le nouveau standard IPv6 doit permettre une connexion de bout en bout réelle et rendre la correspondance des adresses privées aux adresses publiques par le NAT (Network Address Translation) inutile.
Une session TCP fonctionne en trois phases : l'établissement de la connexion ; les transferts de données ; la fin de la connexion.
Un segment TCP contient les données à envoyer dans un paquet et des informations utiles à sont acheminement dans son en-tête. Les processus communiquant sont identifiés par les machines grâce à leur port.