Les sociologues et les économistes spécialistes des inégalités et des ruptures sociales (1) confirment aux-aussi que la pauvreté en France se répartit en plusieurs catégories avec la pauvreté intégrée, la pauvreté marginale, et la pauvreté de disqualification ou plutôt de déclassement.
– La pauvreté intégrée correspond à une société où les pauvres se distinguent peu des autres couches de la population. – La pauvreté marginale ne frappe qu'une partie de la population, de moins en moins importante à mesure que la croissance économique et les transferts sociaux de l'État Providence s'intensifient.
L'auteur élabore trois types idéaux de la relation d'interdépendance entre la population désignée comme « pauvre » ou « exclue » et le reste de la société, qu'il nomme respectivement pauvreté intégrée, pauvreté marginale et pauvreté disqualifiante.
la pauvreté absolue concerne les personnes qui ne disposent pas des ressources qui leur permettraient de satisfaire leurs besoins essentiels.
Depuis le début des années 2000 sont considérées comme pauvres les personnes vivant dans un ménage dont le revenu est inférieur à 60% du revenu médian. Il s'agit donc d'un taux de pauvreté dite objective et relative.
L'autre approche, la pauvreté relative, consiste à déclarer pauvre toute personne dont le revenu est inférieur à une certaine proportion du revenu médian (soit le revenu tel que la moitié des membres d'une société gagne plus et l'autre moitié gagne moins).
8« La pauvreté disqualifiante » concerne des franges importantes de la population, aux caractéristiques résolument hétérogènes, et renvoie à la montée des précarités et des travailleurs pauvres dans les sociétés riches.
➙ indigent, mendiant. Les pauvres : les personnes sans ressources, qui ne possèdent rien.
Le Burundi conserve la tête du classement, avec un PIB par tête de 307 dollars en 2023. C'est le seul pays du palmarès des 20 nations les plus pauvres de la planète à afficher un PIB par habitant inférieur au seuil de 400 dollars. Il est suivi du Sierra Leone et du Malawi.
Les signes de pauvreté des individus sont multiples : la mauvaise santé, la faiblesse ou l'absence d'un revenu, une éducation insuffisante, un logement précaire, un travail difficile, la déresponsabilisation politique, la sous-alimentation, un environnement dégradé, l'insécurité physique, etc.
Misère qui provient d'un manque de biens matériels.
Par exemple, le chômage partiel, les contrats de travail temporaires, l'absence de places de prise en charge extrafamiliale des enfants, ou leur prix excessif engendrent souvent de la pauvreté.
Pour le pauvre, plus de confort, nourriture diminuée, échanges rétrécis, vêtements au moins cher, etc. ; pour le misérable, plus de logement, vêtements dégradés ou très usagés, mauvaise nourriture, mauvais vin, etc. 22L'économie ou l'économique global encadrent la pauvreté et la misère.
Deuxièmement, les pauvres subventionnent directement et indirectement de nombreuses activités qui bénéficient aux riches 10. D'une part, ils ont longtemps soutenu les activités de consommation et d'investissement dans l'économie privée, par le biais des bas revenus qu'ils perçoivent.
On observe chez les enfants pauvres une forte incidence de bébés de petits poids, d'accidents, d'infections, de troubles de l'ouie et de la vue, d'handicaps per- manents (Starfield et Egbuonu, 1982). Leur taux de mortalité est plus élevé que celui des autres enfants.
La pauvreté est "l'état, la condition d'une personne qui manque de ressources, de moyens matériels pour mener une vie décente" (Trésor de la langue française).
Un individu (ou un ménage) est considéré comme pauvre lorsqu'il vit dans un ménage dont le niveau de vie est inférieur au seuil de pauvreté. En France et en Europe, le seuil est le plus souvent fixé à 60 % du niveau de vie médian.
La lutte contre la pauvreté est une tâche commune qui incombe à tous les pays. 3.2 Une politique d'environnement qui, tout en assurant une gestion rationnelle des ressources, vise essentiellement à conserver et à protéger celles-ci doit tenir dûment compte de ceux qui en dépendent pour assurer leur existence.
La pauvreté subjective :Consiste à évaluer les perceptions des ménages qui ont été soumis à des enquêtes et qui répondent à des questions relatives à leur situation.
Les deux facteurs de pauvreté essentiels sont un trop faible nombre d'heures travaillées (être au chômage) et la taille de la famille (avoir plusieurs bouches à nourrir). La façon immédiate et première pour réduire la pauvreté, c'est finalement de baisser le chômage.