Achievemephobie – Peur du succès. Achluophobie – Peur de l'obscurité et du noir. Achmophobie/Aichmophobie – Peur des objets pointus. Acrophobie – Peur des hauteurs ; s'accompagne souvent de vertiges.
1. Sentiment d'angoisse éprouvé en présence ou à la pensée d'un danger, réel ou supposé, d'une menace (souvent dans avoir, faire peur) ; cette émotion éprouvée dans certaines situations : Trembler de peur. 2. Appréhension, crainte devant un danger, qui pousse à fuir ou à éviter cette situation : La peur du ridicule.
Selon une enquête de l'association Anxiety UK, c'est la phobie sociale qui arrive en tête du classement. Également appelé «anxiété sociale», ce trouble se caractérise par une peur intense d'être confronté à des situations d'interactions sociales.
L'anthropophobie aussi appelée phobie de relations interpersonnelles ou phobie sociale est une crainte pathologique des gens et de la compagnie des gens est une variante de la névrose sociale, qui est un trouble panique.
Dans la première, énoncez en une phrase vos attentes et vos désirs. Puis, dans la seconde colonne, inscrivez vos blocages. Il peut s'agir de croyances, de doutes. Grâce à ces raisons, vous pouvez démasquer vos peurs tout en analysant vos objectifs.
Dans le cas de la peur, cela passe par la libération des hormones du stress : la noradrénaline et l'adrénaline. Une fois relâchées dans le cerveau et dans le sang, elles entraînent la modification des paramètres physiologiques du corps, le préparant à agir.
Du point de vue neurologique, la peur correspond à une activation de l'amygdale (système régulant nos actions face à la peur, formé de noyaux au niveau des lobes temporaux) qui induit un sentiment de danger imminent. Elle peut entraîner une inhibition de la pensée, et prépare l'individu à fuir ou se défendre.
Les personnes atteintes de trouble panique et d'agoraphobie craignent d'être submergées par l'émotion et les sensations de peur, redoutant même d'en mourir ou d'en garder de graves séquelles. Elles perdent alors une part de leur autonomie en évitant des situations et des endroits qu'elles ont associés au danger perçu.
La nomophobie
Prudence, vous êtes sans doute nomophobe. La nomophobie est la crainte de perdre son téléphone portable. Ne plus être constamment connecté aux autres serait une peur que nous sommes de plus en plus nombreux à avoir et qui pourrait bien encore prendre de l'ampleur...
Ils se situent dans une région du cerveau nommée complexe amygdalien (ou amygdale), structure composée de plusieurs noyaux connue pour être le siège de la peur. L'amygdale est au centre du circuit cérébral de la peur.
La peur est un phénomène normal, qui concerne tout le monde.
Rester positif en prenant du recul sur la situation et en se concentrant sur les aspects positifs de sa vie et sur chaque effort qui aide à surmonter sa peur ; Lâcher prise en évitant de vouloir contrôler à tout prix sa peur et en prenant conscience qu'il est impossible de tout prévoir ni d'avoir la main sur tout.
La peur tend à présenter un volet physiologique fort, étant donné qu'elle prépare notre corps à une réponse adaptée « de combat, de fuite ou de pétrification ». Les symptômes physiques courants comprennent : Les tensions musculaires (notamment au niveau du cou et des épaules) Une respiration rapide.
La première "va consister à s'exposer, apprendre à gérer les angoisses par des techniques de relaxation, de respiration". La seconde approche consiste, quant à elle, "à accepter, à prendre du recul, à mettre à distance cette émotion. Parce que l'anxiété est avant tout une émotion".
La plupart des peurs vécues par les êtres humains sont malheureusement des peurs irréelles. Elles ne présentent aucun danger réel. Elles proviennent plutôt de l'imagination humaine, mal utilisée. Le cerveau ne peut faire la différence entre une peur réelle et une peur irréelle.
Si la peur suscite en nous des émotions bien paradoxales, en particulier au cinéma, elle constitue toutefois un formidable moteur de création et d'épanouissement personnel au quotidien. Elle nous rappelle notre besoin d'altruisme. Véritable marqueur éthique et social, elle nous renvoie à nos propres contradictions.
L'ochlophobie (du grec ancien ὄχλος / óchlos : la foule) est citée parmi les phobies complexes. L'ochlophobie désigne une peur qui se manifeste dans les endroits où il y a beaucoup de personnes. Il s'agit donc d'une « peur de la foule », qui peut être distinguée de l'agoraphobie ou de la claustrophobie.
La scopophobie est la peur d'attirer l'attention sur soi en public. La blemmophobie, quant à elle, est la peur du regard d'autrui porté notamment sur le corps.
L'aquaphobie, qu'on retrouve parfois sous le nom d'hydrophobie, est la peur panique de l'eau. Une personne aquaphobe ne pourra pas nager, ni même s'approcher de l'eau. Pour certaines d'entre elles, le fait simple de se trouver à proximité d'un lieu aquatique (piscine, mer, lac, même baignoire...)
L'amygdale est une petite structure en forme d'amande. Celle-ci appartient au système limbique comme l'hippocampe et est essentielle dans les processus de réaction à la peur (Ledoux, 2000). Quel que soit le stimulus qui provoque la peur, c'est l'activation de l'amygdale qui déclenche le processus réactionnel.
affoler, alarmer, angoisser, apeurer, donner la chair de poule, effrayer, épouvanter, faire froid dans le dos, figer le sang dans les veines, glacer le sang (dans les veines), inquiéter, terrifier, terroriser.