Selon Mintzberg, il existe 5 types de structures : la
Selon H. Mintzberg, toute organisation est constituée de 5 catégories d'acteurs : le sommet stratégique, la ligne hiérarchique, le centre opérationnel, la technostructure et les fonctionnels de soutien.
À travers ses travaux, il identifie différentes configurations organisationnelles récurrentes vers lesquelles tendent les organisations. Il en élabore cinq : la structure simple, la bureaucratie mécaniste, la bureaucratie professionnelle, l'adhocratie et la structure divisionnelle.
Trois éléments caractérisent la structure de toute entreprise : la spécialisation (comment et jusqu'ou diviser le travail dans l'entreprise ?), la coordination (comment faire collaborer les différentes unités au sein de l'entreprise ?) et la formalisation (jusqu'à quel point faut-il écrire les règles de fonctionnement ...
La structure d'une entreprise peut être définie comme l'ensemble des dispositifs par lesquels une entreprise répartit, organise, coordonne et contrôle ses activités.
La structure par projets est sans doute la plus souple et la plus moderne. C'est celle qui est utilisée notamment dans des agences de communication mais elle peut aisément s'appliquer à de nombreuses activités.
Cela supposerait, une stratégie sans apprentissage (purement intentionnelle) ou une stratégie sans contrôle (purement émergente) (Mintzberg, 1994).
La technostructure comprend l'ensemble des analystes et experts qui réalisent des tâches administratives de planification et de contrôle. Les fonctions de support logistique ont pour rôle de fournir des services internes (cafétéria, conseil juridique…).
Selon H. Mintzberg, les différents composants et paramètres d'une organisation ont tendance à s'aligner en des ensembles cohérents que l'on appelle des configurations organisationnelles.
comme facteurs de contingence chez Henry Mintzberg
Les opérateurs en sont la spécialisation, la coordination, la formalisation (dont la planification, le contrôle et la mise en oeuvre d'un système d'information) compte tenu des choix opérés en matière de « centralisation – décentralisation ».
MINTZBERG propose une vision globale de l'entreprise et de sa structure. Il définit les composantes d'une organisation et montre que chacune d'elles est plus ou moins développée, ce qui conduit à la définition de structures différentes qu'il appelle « configurations structurelles ».
La structure organisationnelle d'une entreprise est plus qu'un simple organigramme, elle est le squelette qui soutient la vision, la mission et les objectifs de l'entreprise. Cette structure influence non seulement la performance globale de l'entreprise mais également le bien-être de chaque employé.
Qu'est-ce qu'une structure organisationnelle ? Une structure organisationnelle est le cadre hiérarchique et l'ensemble de règles qui régissent la prise de décision, les tâches, la coordination et la division interne du travail d'une organisation qu'il s'agisse d'une entreprise, une institution ou une association.
La structure matricielle est une organisation dans laquelle les relations hiérarchiques sont présentées sous forme de matrice. Dans cette structure d'entreprise, les équipes sont sous la responsabilité de plusieurs managers.
Manière dont les parties d'un tout sont arrangées entre elles : La structure d'une plante. La structure d'un discours. 2. Organisation des parties d'un système, qui lui donne sa cohérence et en est la caractéristique permanente : Structure d'une entreprise.
Exemple : Saint-Gobain, leader mondial de l'habitat, se réorganise en 2019 en structure divisionnelle allégée, par pays et non plus par activités (vitrage, matériaux de construction, distribution bâtiment), afin d'être plus proche de ses marchés.
Une organisation publique permet la satisfaction des besoins sociaux et la garantie de l'intérêt général. Une entreprise a pour finalité la réalisation de profits. Une association est une organisation à but non lucratif dont l'objectif est de servir ses adhérents.
Une structure fonctionnelle se caractérise par une spécialisation de chaque responsable selon son type de compétences : les décisions sont prises par des responsables qualifiés et chaque tâche est menée par un ou plusieurs subordonnés bénéficiant des compétences qui y sont nécessaires.
La spécialisation, qui traduit le mode et le degré de division du travail dans l'entreprise. La coordination, qui représente les modes de collaboration institués entre les unités. La formalisation, qui indique le degré d'explicitation dans la définition des règles de fonctionnement de l'entreprise.