Les vitamines de la bière sont toutes hydrosolubles. C'est un véritable cocktail de vitamines du groupe B (B1, B2, B3, B5, B7, B8 et B12) apporté par le malt et la levure.
La bière est bonne pour le cœur
La bière diminuerait le mauvais cholestérol et favoriserait le bon. Ce double effet plutôt bénéfique pour le cœur, peut contribuer à faire chuter le risque d'accident cardiovasculaire de 30 à 60 %. La bière modifie aussi la fibrinogène, une protéine responsable de la coagulation du sang.
Une consommation qui ne pose pas de problème
L'annonce est donc sans appel : boire au maximum un verre par jour pour les femmes et deux pour les hommes ne présente aucun risque pour la santé. Comme le vin, la bière peut avoir des effets bénéfiques sur le cœur.
Une consommation régulière de bière est associée au risque de cancer de la prostate. Boire de la bière à tous les jours, sur une longue période, est associé à un risque d'être atteint d'un cancer de la prostate agressif, selon une étude menée auprès de 3927 hommes du grand Montréal.
La dose quotidienne maximale de bière à ne pas dépasser se situerait entre 300 et 450 millilitres pour les hommes et 300 millilitres pour les femmes, selon les résultats d'une étude publiée dans The Lancet et financée par la Fondation Bill & Melinda Gates.
La bière est bonne pour les reins et le cœur.
Une étude finlandaise a démontré que la bière élimine les dépôts de calcium au niveau des reins et donc diminue le risque de calculs rénaux. En facilitant le transit elle permet aussi une élimination plus rapide des calculs.
Les résultats d'une étude américaine publiée démontrent que l'alcool, et en particulier la bière, seraient impliqués dans le développement de la goutte, une maladie inflammatoire des articulations, et ce même lorsqu'ils sont consommés avec modération.
En effet, la levure qui entre dans la composition de cette boisson (alcoolisée ou non) assure une teneur en gaz carbonique. D'où la présence des petites bulles dans un verre ou une bouteille de bière. Le gaz carbonique dans l'organisme a pour effet de faire gonfler le ventre s'il est absorbé en excès.
Consommé en excès et sur au moins cinq ans, il peut par exemple engendrer de la rigidité artérielle. Cela fait en sorte que les artères perdent leur capacité à se dilater ou à se contracter en réaction aux fluctuations de pression sanguine, exerçant ainsi une pression indue sur le muscle cardiaque.
La bonne bière ne se déguste jamais trop froide. On évite par exemple de la servir glacée car le palais sera anesthésié par le froid et vous ne ressentirez aucune subtilité d'arômes et saveurs. Si votre bière sort du réfrigérateur, attendez entre 5 et 10 minutes avant dégustation pour qu'elle se réchauffe légèrement.
La bière favoriserait en effet le bon cholestérol, qui améliore la prévention des maladies cardiovasculaires. Elle renforcerait également la densité osseuse, permettant de prévenir l'ostéoporose.
La bière favorise le sommeil
Pour certains chercheurs, le houblon pourrait en effet avoir des vertus sédatives, car il contient la lupuline, une substance qui aurait des propriétés calmantes et anti-dépressives qui favoriserait le sommeil.
La bière, alliée des reins et du transit
Ce n'est pas un secret, la bière est très riche en fibres, grâce à tout l'orge qu'elle contient ! On peut même aller jusqu'à un gramme de fibres pour un verre de 30 cl de bière. Lutte contre la constipation, réduction du mauvais cholestérol…
Les cancers
L'alcool est un cancérigène avéré (groupe 1) classé comme tel depuis 1988 par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC). Le risque de développer certains cancers augmente à partir d'un verre d'alcool quotidien quel que soit l'alcool consommé qu'il s'agisse de vin, de bière ou d'alcool fort.
Plus connue pour ses vertus engraissantes, la bière ferait maigrir, ou plutôt aiderait au processus de perte de poids. D'après l'école polytechnique de Lausanne une molécule contenue dans la bière aiderait à prévenir la prise de poids et le diabète.
« L'exercice d'intensité faible à modérée (comme la marche ou le jogging) est également efficace - il exige simplement une durée beaucoup plus longue, de quatre à six heures par semaine, comparativement à une à deux heures pour les activités à forte intensité comme la course à pied.»
L'alcool détruit les nerfs, d'où l'état de fatigue
Mais la fatigue chronique apparaît surtout chez les buveurs invétérés, autrement dit les alcooliques. En effet, l'alcool attaque à la fois les neurones et les cellules du foie. Or ce sont les neurones qui stimulent le fonctionnement des muscles.
La majeure partie de l'alcool, après avoir été absorbée dans le tube digestif, est métabolisée dans le foie. Lorsque l'alcool est métabolisé, des substances qui peuvent endommager le foie sont produites. Plus une personne boit de l'alcool, plus le risque de lésions hépatiques est élevé.
La consommation d'alcool, qu'elle soit occasionnelle ou régulière a tendance à fatiguer l'organisme, surtout que cela vous a rendu malade, votre corps est fatigué et a besoin de récupérer. Il est conseillé de boire de l'eau pour aider l'organisme à éliminer.
La consommation d'alcool en est la cause principale. Elle peut aussi survenir à la suite d'une hépatite virale chronique, d'une stéatose hépatique ("foie gras" non alcoolique) ou d'une maladie rare.
Parmi les alcools les plus forts du monde vous trouverez l'Everclear, fabriqué aux Etats-Unis. Comme le Balkan, il est incolore, inodore, et n'as pas de goût ! C'est de l'alcool quasiment pur qui pourrait même être classé dangereux à s'en trouer l'estomac.