La colère peut arriver seule, à la suite de la présence d'un irritant, d'un besoin non satisfait, ou d'un désir non respecté. Mais elle peut aussi être un moyen de libérer d'autres émotions enfouies telles que la peur, l'angoisse, la tristesse…
Derrière la frustration, il y a quelque chose en vous qui voudrait pouvoir vivre. Il faut rechercher ce que c'est. Vivre la frustration est, j'ai envie de dire, nécessaire pour grandir, pour se réaliser. Elle ne peut que nous ramener à nos propres aspirations.
le dégoût alerte sur un rejet, le viol, une aversion physique ou psychologique envers un objet (nourriture...) ou une personne perçus comme nuisibles, nocifs. Elle s'exprime par le retrait et l'éloignement. L'émotion est une réaction face à un événement, c'est un sens posé sur un événement.
La peur est un sentiment qui accompagne la prise de conscience d'un danger ou d'une menace. Grâce à ce sentiment, le cerveau réagit instantanément en donnant les commandes nécessaires au corps physique afin que ce dernier soit en mesure de faire face à la situation qui représente un danger, une menace.
Selon la psychologue clinicienne, les anxieux le deviennent à la suite d'événements traumatiques ou encore à cause d'“un environnement insécurisant, instable, violent.” C'est le cas, par exemple, des enfants témoins ou victimes de violences.
Le mal de vivre est souvent lié à des états dépressifs ou à des troubles émotifs. Ce profond et intime mal de vivre demeure traitable.
Les quatre premiers besoins – sécurité, variété, reconnaissance et connexion – sont essentiels à notre équilibre émotionnel. Ce sont les besoins fondamentaux de la personnalité. Chaque personne doit sentir qu'elle les remplit à un certain niveau, même si elle doit se mentir à elle même pour ça.
Les émotions primaires (ou dites « de ba- se») peuvent être observées chez la plu- part des vertébrés. Leur nombre varie se- lon les études, cependant on en retient généralement six : la joie, la surprise, la peur, la colère, le dégoût et la tristesse (une septième émotion, le mépris, est parfois ajoutée).
Les psychologues considèrent la colère comme une soupape qui cache d'autres émotions comme la peur, la tristesse, l'anxiété. On se sent mal, on est coincé, on n'a pas de solution à un problème, alors on éclate.
Lorsqu'on substitue un sentiment à un autre, il se crée une sorte de dissonance interne qui crée un malaise permanent issu de besoins non identifiés et donc non assouvis. De plus, les émotions réprimées ont tendance à revenir avec plus de force (les élastiques).
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).
Si vous constatez que ce besoin n'est pas complètement satisfait, prenez le temps de réfléchir aux gestes, paroles et demandes que vous pourriez faire pour le combler adéquatement. Cela fait partie du respect de soi et de l'affirmation de soi.
Comment répondre à un besoin ? Répondre à un besoin implique d'être à l'écoute de soi et de ses choix, d'apprendre à se connaître et de s'autoriser à prendre soin de soi, de changer parfois ses habitudes et de faire preuve de créativité. Les besoins physiologiques (respirer, manger, se reposer, …)
Détoxifier son corps
Ainsi, faire du sport permet de sécréter des endorphines, nous procurant un sentiment de bien-être, avoir une alimentation riche en fruits et légumes permet de réguler l'humeur et dormir suffisamment réduit les risques de dépression.
Écouter ses émotions
Il faut donc prendre le temps de se poser pour s'écouter, pour se demander comment on va, comment on se sent. Se couper de toutes distractions est essentiel pour y parvenir, c'est pour ça que la flottaison en isolation sensorielle est une méthode adaptée pour se reconnecter avec soi-même.
Pour retrouver votre bien-être, pratiquez une activité au grand air (vélo, marche…) : le soleil améliore l'humeur et dynamise. Veillez à respirer profondément quelques minutes par jour et mettez-vous à la relaxation. L'alimentation n'est pas à négliger.
La chérophobie désigne la crainte de toute forme ou expression du bonheur. Les chérophobes sont des personnes mélancoliques, voir dépressifs qui tiennent leur phobie d'un événement traumatisant durant lequel un moment de joie a été moquée, contrariée.
Les personnes qui présentent de l'anxiété généralisée ressentent un niveau élevé d'anxiété et s'inquiètent de façon continuelle pendant une période d'au moins 6 mois. L'anxiété s'accompagne souvent d'un ou de plusieurs des symptômes suivants : fébrilité (forte agitation, sensation d'être survolté ou à bout);