Les plus courants sont la gastroscopie et la coloscopie. Le premier nous permet de voir d'éventuelles lésions le long de l'oesophage, l'estomac, jusque dans le duodénum (première partie de l'intestin grêle). Grâce au deuxième, nous pouvons examiner le rectum, le colon et le début de l'intestin grêle.
radiologie digestive est une technique d'imagerie qui utilise la fluoroscopie et un produit de contraste pour obtenir des images dynamiques des organes de votre système digestif et observer votre fonction digestive. Notre radiologue peut visualiser les anomalies suivantes en temps réel : un ulcère.
La capsule colique, une alternative à la coloscopie virtuelle. La capsule colique est un dispositif d'imagerie médicale miniaturisé à usage unique pour l'exploration du côlon. Elle est destinée à être avalée après une préparation colique spécifique.
Scanner. Si le cancer colorectal est déjà à un stade avancé, il peut s'avérer nécessaire de procéder à un scanner (ou TDM pour tomodensitométrie) afin d'évaluer l'extension de la tumeur du côlon et de rechercher d'éventuelles métastases.
Des maux de ventre, parfois terribles. Des spasmes, des brûlures, des ballonnements, des diarrhées et/ou de la constipation... Parfois aussi des symptômes extradigestifs, comme des maux de tête, des douleurs musculaires ou une grande fatigue...
Les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (ou MICI) regroupent la maladie de Crohn (MC) et la rectocolite hémorragique (RCH). Toutes deux se caractérisent par une inflammation de la paroi d'une partie du tube digestif, due à une dérégulation du système immunitaire intestinal.
Une alternance entre diarrhée et constipation peut également être observée. La présence de sang dans les selles, quant à elle, est parfois imperceptible. En effet, le sang n'est pas toujours rouge vif, mais peut-être noir ou brun, se confondant avec la couleur des excréments.
L'importance du dépistage reste primordiale. En effet, plus un cancer est diagnostiqué tôt, plus il a de chance d'être guéri. La prise de sang est l'un des examens qui aident à diagnostiquer un cancer.
Certains patients redoutent la coloscopie, examen invasif de l'intestin. Dans certains cas, un scanner peut leur être proposé en solution alternative. Mais si une tumeur est détectée, la coloscopie demeure incontournable.
La coloscopie est un examen généralement rapide de 30 minutes environ. Il est habituellement indolore, néanmoins parfois inconfortable. Pour ces raisons, il est réalisé dans 95 % des cas sous anesthésie générale.
Le scanner abdominal est un scanner réalisé avec ou sans injection de produit de contraste. Il permet donc d'étudier de façon précise la morphologie de système digestif, des vaisseaux abdominaux, des organes intra-abdominaux (foie, rate, pancréas).
Pourquoi passer une entéro-IRM ? Une entéro-IRM est généralement pratiquée afin de déceler des signes d'anémie (lésions au niveau de l'intestin) mais également de poser un bilan sur certaines maladies inflammatoires intestinales comme la maladie de Crohn.
Il est aussi essentiel pour diagnostiquer la cause des occlusions intestinales et pour éliminer une hémorragie interne en cas de traumatisme de l'abdomen. Le scanner est utile en cas de cancer d'un organe abdominal pour préciser l'étendue de la tumeur. Il permet aussi de détecter d'éventuelles métastases.
Pourquoi effectuer un scanner abdomino-pelvien ? Les radiologues utilisent généralement cette procédure pour aider à diagnostiquer la cause (généralement inexpliquée) des douleurs abdominales ou pelviennes. Ils l'utilisent également pour diagnostiquer les maladies des organes internes, de l'intestin grêle et du côlon.
saignement par le rectum ; sang dans les selles ; changements dans les habitudes de défécation qui durent plus d'une semaine, tels qu'une constipation ou une diarrhée ; douleurs abdominales.
La formule sanguine complète (FSC) est couramment utilisée par les professionnels de santé pour les tests de dépistage de la maladie de Crohn et de la colite. Il recueille des informations sur les types et le nombre de cellules dans le sang.
Le symptôme le plus généralement répandu est la douleur. Celle-ci peut irradier dans le dos ou à la racine des cuisses et occasionner une simple gêne ou une sensation très violente.
Le cancer colorectal, qui touche le côlon, et le cancer de l'utérus ou cancer de l'endomètre peuvent eux aussi engendrer des douleurs lombaires de par leur localisation, bien que cela soit plus rare.
Qui consulter pour détecter des polypes ? Seule une coloscopie peut détecter la plupart des polypes. Elle est effectuée, surtout à partir de 50 ans, en présence de signes digestifs comme des ballonnements, des gaz coliques abondants, un petit saignement anal, des hémorroïdes internes.
la douleur abdominale est le symptôme le plus fréquent. Elle se manifeste sous forme de spasmes ou de crampes. Souvent localisée au niveau des fosses iliaques droite et gauche ou de la région ombilicale, elle peut être soulagée par l'émission de selles ou de gaz. les ballonnements y sont également souvent associés.
Lors de poussées de maladie de Crohn, les patients souffrent de maux de ventre (en particulier après les repas), d'épisodes de diarrhée pouvant durer plusieurs semaines, d'émissions de selles contenant du sang (parfois en quantité importante) ou des glaires, ainsi que de nausées, de vomissements et de perte d'appétit.
Dans la plupart des cas, bien que cela puisse être gênant, l'excès de gaz dans l'estomac est sans gravité. Cependant ce signe est parfois associé à certaines pathologies digestives (cancer, infection), hormonales (dysthyroïdie), métaboliques ou psychologiques.