Ces médicaments sont notamment : Les bétabloquants ; Certains traitements de l'insuffisance cardiaque, comme les digitaliques ou l'amiodarone; Certains antihypertenseurs, comme les inhibiteurs calciques ou la clonidine.
Les bêtabloquants ralentissent la fréquence cardiaque en freinant la conduction des impulsions électriques dans les nœuds sino-auriculaire et auriculo-ventriculaire (dans l'oreillette droite du cœur). Les médicaments qui se trouvent dans cette catégorie comprennent : l'aténolol (Apo-Atenol, Act-Atenolol);
Les causes des bradycardies sont le plus souvent une anomalie du nœud sinusal (par exemple, la présence de cicatrices dues à une autre maladie cardiaque) ou un problème de transmission de l'activité électrique entre les oreillettes et les ventricules (« bloc atrioventriculaire »).
Aussi appelé "maladie de l'oreillette", ou "sick sinus syndrome", le syndrome de bradycardie-tachycardie se caractérise par des phases durant lesquelles le cœur bat trop lentement (bradycardie) et d'autres où il est trop rapide (tachycardie). Ces épisodes provoquent une fatigue, des malaises, des palpitations.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
Essoufflement, fatigue, œdème et prise de poids doivent alerter. La première difficulté réside dans le diagnostic. Florence Beauvais rappelle que quatre signes doivent alerter. Pour s'en souvenir, un acronyme : EPOF, pour essoufflement, prise de poids, œdème et fatigue.
Bradycardie ou battements lents
La bradycardie survient lorsque le cœur bat si lentement qu'il ne peut faire circuler suffisamment de sang pour combler les besoins de l'organisme. Non traitée, elle peut engendrer une fatigue excessive, des vertiges, des étourdissements ou des évanouissements.
La bradycardie est un ralentissement du rythme cardiaque, résultant de la prise de certains médicaments ou encore de pathologies sous-jacentes. Généralement sans gravité importante, une bradycardie redondante se doit d'être prise en charge de façon adaptée.
Le cœur d'un adulte en condition physique normale bat entre 50 et 80 fois par minute au repos. Chez un sportif d'endurance, comme un cycliste ou coureur de fond, la fréquence cardiaque peut être proche de 30 battements par minute au repos la nuit sans que cela soit anormal.
L'une des solutions les plus efficaces consiste à pratiquer la relaxation, la respiration profonde et la méditation. Vous pouvez par exemple aller vous promener dans la nature, ou bien effectuer vos entraînements en pleine conscience. Prendre une douche ou un bain bien chaud peut également faire des merveilles.
Le principe est simple : il faut faire six respirations par minute pendant cinq minutes. Cela revient à inspirer cinq secondes puis expirer cinq secondes, six fois de suite.
Pouls au repos lent, vie longue
Vraisemblablement celui qui a le pouls au repos le plus lent. C'est ce que montre une étude menée sur 1200 jumeaux danois ne souffrant d'aucun problème cardiaque.
Cela concerne les anticoagulants, les anti-épileptiques, les anti-cancéreux… Ces problèmes d'interactions médicamenteuses sont particulièrement graves avec des médicaments dits à marge thérapeutique étroite." "Chez les personnes âgées, il y a une contre-indication même aux anti-inflammatoires.
La cardioversion, ou choc électrique externe, est un acte médical qui consiste à faire passer de manière brève et volontaire un courant électrique dans le cœur afin de rétablir un rythme cardiaque normal (sinusal) chez les patients qui présentent un rythme trop rapide (tachycardie).
l'amiodarone (une substance iodée qui agit sur les troubles du rythme ventriculaire et supraventriculaire), les inhibiteurs calciques.
La tachycardie se définit comme un rythme cardiaque élevé ou irrégulier, habituellement de plus de 100 battements par minute et pouvant atteindre les 400 battements par minute. À un rythme si élevé, le cœur n'est pas en mesure de pomper efficacement le sang riche en oxygène afin d'approvisionner l'organisme.
"Le seul traitement de la bradycardie est le pacemaker, c'est-à-dire l'électro-entrainement quand le cœur bat trop lentement et que le patient a des symptômes. Une fréquence cardiaque lente, c'est protecteur. Il ne faut pas systématiquement essayer d'accélérer le cœur.
La bradycardie (ou plus simplement bradycardie sinusale) est une arythmie associée à un rythme anormalement lent du cœur (moins de 60 fois par minute). Cette pathologie est généralement asymptomatique. Chez certains patients, néanmoins, la bradycardie peut provoquer des vertiges, une faiblesse ou des évanouissements.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
Vous pouvez éprouver une toux persistante ou une respiration sifflante (sifflement dans les poumons ou respiration difficile) en raison de votre insuffisance cardiaque. La respiration sifflante est semblable à l'asthme, mais sa cause diffère dans les cas d'insuffisance cardiaque.
Ce peut être aussi un essoufflement à l'effort. Il est souvent déclenché par des facteurs précis : allergie, tabac, pollution, stress, rire, parfums, sport, cycle menstruel... ». L'essoufflement peut être en rapport avec des maladies plus graves mais aussi plus rares : cancer, fibrose pulmonaire, etc.
Infarctus du myocarde (IDM)
Les complications d'un pacemaker sont rares, mais existent. On note la possibilité d'une infection du site opératoire, risque inhérent à toute intervention, qui demandera ici une extraction complète du dispositif, associée à un traitement antibiotique prolongé.
Mehta et ses collaborateurs (27) ont récemment démontré que les patients présentant initialement un infarctus aigu du myocarde et un choc, et dont la fréquence cardiaque était supérieure à 100 battements/min, dont la tension artérielle systolique était de 80 mm Hg ou moins, avaient des taux de mortalité à 30 jours ...