Les préceptes
2) s'abstenir de voler ; 3) s'abstenir d'inconduite sexuelle ; 4) s'abstenir de paroles fausses ; 5) s'abstenir d'user de drogues.
Une des règles du bouddhisme est également d'avoir sa propre identité, sa culture et même sa croyance. En effet, il faut éviter de suivre et d'envier les autres. En faisant cela, on peut être sûr de ne pas avoir une tranquillité d'esprit. De plus, on se met dans un état négatif tout en trahissant soi-même.
Le premier d'entre eux est de s'abstenir de mentir, ou plutôt, doit-on dire, de tromper. Le bouddha historique lui-même pouvait donner des réponses différentes en fonction de l'interlocuteur auquel il s'adressait.
Le bouddhisme et l'islam la condamnent, parce que l'alcool fait perdre la maîtrise de soi. La tradition sunnite considère que « l'alcool est la mère de tous les vices et c'est le vice le plus honteux » (Sounan Ibn-Majah, Hadith 3371).
La sexualité est pour le bouddhiste un danger propre à plonger les êtres dans les affres de la passion et de la souffrance. Le bouddhisme n'impose pas de règles à la société humaine, ne cherchant nullement à légiférer ou à instituer une morale collective.
un bol pour recueillir sa nourriture (patta) ; un rasoir (vasi) ; une aiguille (nécessaire à couture) pour réparer ses vêtements (suchi) ; un filtre à eau, pour ôter les êtres vivants de son eau afin que ni lui ni eux ne soient blessés (parissavana).
Le bouddhisme est une voie individuelle dont le but est l'éveil, par l'extinction du désir égotique et de l'illusion, causes de la souffrance de l'homme. L'éveil est une base à l'action altruiste.
La divinité du Bouddha
Le Bouddha historique est perçu par l'école Jonangpa du Bouddhisme tibétain comme étant « absolu, omniprésent, connaissance suprême au-delà des limitations de la conscience ordinaire ».
Le Vinaya Pitaka, en cinq volumes, contenant des règles de discipline pour le Sangha des moines et nonnes bouddhistes ; L'Abhidhamma Pitaka, en sept volumes, contenant une systématisation philosophique de l'enseignement du Bouddha.
Extinction de tous les désirs de ce monde, qui libère l'homme de sa condition de souffrance, de l'illusion (maya) et de l'ignorance (avidya). [Le nirvana est fondamental dans le bouddhisme, qui l'emploie pour décrire la bodhi, état d'extinction de tout désir, cause fondamentale de la naissance et de la renaissance.]
« Les moines, par exemple, ne consomment jamais d'oignon ou d'ail car ils éveillent la libido et perturbent la méditation. » De manière générale, les légumes racines (dont la plante meurt quand on les cueille comme la pomme de terre ou carotte) et les légumes acres et à forte odeur (comme l'échalote ou la coriandre) ...
L'éléphant, le tigre et le singe sont trois animaux vénérés par la culture bouddhiste majoritaire en Thaïlande, puisque 95% de la population y pratique cette religion.
Qui meurt ? Pour les bouddhistes, c'est l'agrégation des composants de la personne physique et le sentiment du « moi » dans cette vie qui meurent tandis que perdure le continuum d'impulsions instantanées de conscience. Le décès marque donc la fin de l'incarnation plutôt que la cessation de la vie.
Dans le Mahayana Mahaparinirvana sutra, le Bouddha déclare que « la consommation de viande éteint le germe de la suprême compassion », ajoutant que toutes les sortes de viandes et la consommation de poisson (même d'animaux déjà trouvés morts) est interdite pour ses disciples.
Dans les religions orientales telles que le bouddhisme et le brahmanisme, le lotus a toujours été un symbole divin, associé aux dieux Vishnu "celui à l'œil de lotus" et Brahma mais également aux déesses Lakshmi et Sarasvati.
Dieux et déités dans le bouddhisme. Dieu n'existe pas selon le bouddhisme; mais les dieux existent selon le bouddhisme. Toutefois, le bouddhisme ne peut être dit polythéiste, car les dieux n'y sont pas, proprement parler, des figures de transcendance; seuls les bouddhas et les êtres libérés le sont.
Dans la plupart des pays d'Asie, les robes safran des moine bouddhistes sont depuis des siècles réservées aux hommes. Autrefois pourtant, le statut de moine était ouvert aux deux sexes : les hommes devenaient bhikkhus et les femmes bhikkhunnis.
Puisque le mariage bouddhiste est avant tout la relation elle-même, le fait de vivre ensemble heureux. Ainsi, si le choix est fait d'aller demander une bénédiction en temple, les moines la donnant ne créent pas le mariage, ils le reconnaissent, comme l'auraient fait leurs proches.
Par exemple, tourner le dos à une statue de Bouddha, c'est considéré comme étant particulièrement irrespectueux. En conséquence : pas de selfie devant l'Éveillé, ni même de photo de vous tout sourire devant la statue prise par votre ami, sinon il peut y avoir sanction.
Avant tout, Bouddha était un homme, une personne physique, vivant dans une communauté et ayant eu une famille. Ce n'est qu'après avoir été éveillé qu'il a perdu l'aspect ordinaire d'un être humain, c'est-à-dire qu'il était un homme éveillé et un homme qui avait reçu une divinité finale.
Il y a 15 ans, 55 % des moines fumaient, un chiffre aujourd'hui tombé à 25 %, une moyenne qui cache une consommation de cigarettes encore très élevée par endroits, notamment dans le Nord-Est où 40 % des moines fument toujours.