Grâce à la respiration, l'inhalation et l'expiration, le système respiratoire facilite les échanges gazeux entre l'air et le sang, et entre le sang et les cellules de l'organisme. Le système respiratoire nous permet également de sentir les odeurs et de créer des sons.
C'est le système respiratoire qui permet l'entrée d'oxygène dans l'organisme et l'élimination du dioxyde de carbone. Le système respiratoire commence au niveau du nez et de la bouche et se poursuit par les voies respiratoires et les poumons.
-ventilation pulmonaire avec l'aire qui circule dans les poumons pour échanger les gaz dans les alvéoles pulmonaires. -la respiration externe avec des échanges gazeux entre le sang et les alvéoles. -le transport des gaz respiratoires. Ce transport est assuré par le système cardio vasculaire et le sang.
L'air expiré (environ 10,000 litres par jour, en moyenne pour un humain) est appauvri en oxygène et enrichi en vapeur d'eau et en CO2 (et moindrement en d'autres gaz dont l'odeur est parfois perceptible dans l'haleine). Il contient aussi une quantité plus ou moins importante d'« aérosols respiratoires ».
Il existe plusieurs techniques de respiration, mais si vous le voulez bien, contentons-nous de distinguer deux types de respiration, soit abdominale et thoracique.
En inspirant, nous inhalons l'oxygène ambiant et en expirant, nous rejetons du dioxyde de carbone. Chaque inspiration peut contenir jusqu'à quatre litres d'air. La respiration interne est un processus biochimique qui permet de libérer l'oxygène dans les cellules et de produire de l'énergie pour le corps.
Le diazote n'est donc pas absorbé par l'organisme lors de la respiration. Le nom "azote" vient d'ailleurs de cette propriété. Antoine Lavoisier a choisi ce nom pour la raison suivante. Le préfixe "a " signifie "sans ", et "zoe " en grec signifie "vivant ".
Hypercapnie : comment se définit-elle ? L'hypercapnie désigne une augmentation de la concentration de gaz carbonique (CO2) dans le sang : C'est un signe d'hypoventilation alvélolaire : diminution des entrées et des sorties d'air dans les alvéoles pulmonaires.
Le poumon droit est plus gros que le poumon gauche, pour deux raisons, qui dépendent toutes les deux l'une de l'autre : Le poumon droit possède trois lobes, comparé au poumon gauche qui en possède deux.
Le cerveau commande les muscles de la respiration par l'intermédiaire du tronc cérébral et de nerfs. Dans l'alvéole, les échanges gazeux se font entre la respiration et la circulation. A chaque inspiration un certain volume pulmonaire entre dans les poumons.
L'un est qualifié de pariétal et tapisse l'intérieur de la cavité thoracique. L'autre feuillet est viscéral et se trouve au contact direct des poumons. Les deux feuillets sont séparés par un espace vide appelé la cavité pleurale. Ils peuvent ainsi se déplacer facilement l'un sur l'autre.
Normalement, la respiration est un processus automatique, contrôlé inconsciemment par le centre respiratoire situé à la base du cerveau. La respiration continue pendant le sommeil et, généralement, même pendant les états d'inconscience.
Le diaphragme est le principal muscle de la respiration. Il assure les mouvements inspiratoires et expiratoires. Il forme une cloison entre le thorax et l'abdomen.
Échange gazeux entre les espaces alvéolaires et capillaires
Le système respiratoire permet l'échange entre deux gaz : l'oxygène et le dioxyde de carbone. L'échange gazeux se produit entre les millions d'alvéoles pulmonaires et les capillaires qui les enveloppent.
Le rôle principal des bronches est d'acheminer : l'air de la trachée vers les alvéoles pulmonaires où a lieu le mécanisme de la respiration lors de l'inspiration ; l'air des alvéoles pulmonaires vers la trachée lors de l'expiration.
Le chemin respiratoire est l'ensemble des organes qui permettent les échanges gazeux entre l'air atmosphérique et le sang veineux. Il comprend les conduits qui permettent l'arrivée et la sortie d'air au niveau des poumons ; on parle de voies respiratoires ou d'arbre respiratoire.
Au-delà du fait qu'il change la couleur des murs et des plafonds, le goudron de la fumée de tabac qui noircit les poumons des fumeurs s'accumule aussi dans les poumons des enfants exposés à la fumée secondaire. Résultat: bye-bye, p'tits poumons roses et en santé!
Les particules qui ne sont pas éliminées par le nez ou par la gorge vont généralement se loger dans les sacs alvéolaires ou près des extrémités des voies aériennes.
L'appareil respiratoire comprend les voies respiratoires (c'est-à-dire les voies aériennes supérieures – fosses nasales, cavité buccale, pharynx, larynx –, la trachée et les bronches) et les poumons, enveloppés de la plèvre.
L'air expiré ne contient plus que 17% d'oxygène. En échange, la teneur en CO2 augmente de 0,04% à 4%. Le corps brûle de l'oxygène dans les muscles, générant du dioxyde de carbone comme produit résiduaire. La distribution de l'oxygène capté est une tâche du sang.
Cela se fait dans un laboratoire d'analyse médicale, au niveau des artères : superficielle ; radiale (au poignet) ; et fémorale (au niveau de la cuisse).
Comment ? L'air inspiré va, au niveau des alvéoles pulmonaires, passer dans les vaisseaux sanguins. L'oxygène est apporté grâce au sang aux différents organes ou au muscles.
Chez l'humain, la ventilation pulmonaire, ou respiration, est le renouvellement de l'air contenu dans les poumons par l'action des muscles respiratoires dont le principal est le diaphragme. Elle contribue aussi à la régulation thermique : quand il fait froid l'air inhalé est réchauffé dans la cavité nasale.
L'oxygène, l'azote et le dioxyde de carbone proviennent de l'air avalé tandis que l'hydrogène et le méthane sont des sous-produits de la dégradation des résidus alimentaires par les bonnes bactéries (probiotiques) naturellement présentes dans le côlon.
La respiration sifflante provient d'une gêne au niveau des voies respiratoires. Un bruit aigu peut alors être entendu lors de l'expiration et, de manière plus occasionnelle, lors de l'inspiration. Ce sifflement provient en général d'un rétrécissement des voies respiratoires.