Selon K. Lewin, psychologue américain spécialiste des relations inter-personnelles, on peut distinguer trois types de leadership : le leadership autoritaire, le leadership démocratique et le leadership permissif ou “du laisser-faire”.
Le leadership, un terme emprunté à l'anglais, définit la capacité d'un individu à mener ou conduire d'autres individus ou organisations dans le but d'atteindre certains objectifs. On dira alors qu'un leader est quelqu'un qui est capable de guider, d'influencer et d'inspirer.
Un bon leader doit influencer et motiver les autres pour communiquer ses objectifs et les faire appliquer. Un dirigeant efficace doit non seulement partager sa vision de l'avenir, mais également donner confiance à ses collaborateurs afin de mieux les préparer aux défis de demain.
C'est-à-dire de la capacité à faciliter l'accès des femmes à des fonctions de leader afin de piloter des projets, manager des équipes et diriger des services. La notion de leadership féminin est un sujet sensible, comme toutes les questions qui touchent au genre.
L'objectif est de créer du lien et une certaine harmonie entre les collaborateurs dans un but de cohésion. Cette forme de leadership permet d'accroitre la motivation et le sentiment d'appartenance à un groupe.
Les leaders stratégiques ont la capacité de considérer à la fois l'avenir à long terme, de voir le tableau d'ensemble, et tout aussi bien de comprendre le cadre contextuel actuel de l'organisation. Le leadership stratégique est la capacité de relier des visions et des concepts à long terme avec le travail au quotidien.
Un leader visionnaire est une personne qui communique des aspirations et objectifs globaux à ses collègues. Les leaders visionnaires œuvrent activement pour motiver et inspirer leurs équipes afin de travailler ensemble vers une mission commune. Ils sont sûrs d'eux, proactifs, et cherchent à innover.
Le leader participatif encourage ses employés et valorise leur travail et leurs accomplissements. Il fournit des directives et des recommandations pour atteindre les objectifs fixés de concert, mais laisse un certain pouvoir de décision aux employés.
Le style de leadership met les employés en priorité. Le leader créé des liens avec ses employés et une harmonie au sein de l'équipe. Il faut toutefois faire attention de ne pas trop laisser les employés à eux-mêmes, c'est-à-dire, sans direction.
Qu'est-ce qu'un leader-coach? C'est un gestionnaire qui choisit de mettre de côté son expertise pour accompagner ses collaborateurs dans le développement de leurs compétences, dans la découverte de leurs propres solutions et façons de faire.
Grâce à une formation leadership, ils peuvent découvrir et mettre en œuvre ces compétences nécessaires à leur rôle. En effet, la présence des leaders permet : Le développement de la créativité ; La mise en place d'une culture du changement, avec un impact significatif au niveau de la performance et de la rentabilité.
Le leadership peut être potentiellement exercé par toute personne, quelle que soit sa position hiérarchique. Le leader peut donc être celui qui a du leadership, ou celui qui est en position d'autorité. L'idéal est la conjonction des deux !
Vous êtes minutieux et précis, quel que soit le sujet. Rester humble : un bon leader reste à l'écoute des autres, reconnaît leur travail et les récompense. Ainsi, il inspire ceux qui l'entourent et les motive à travailler en équipe autour d'une vision commune.
Le leader naturel est celui qui spontanément se distingue dans un collectif et facilite sa progression. Chaque membre du collectif exerce des actes de leadership, prend l'initiative, s'exprime par la parole ou réalise des actions. Chacun partage la possibilité d'orienter les autres.
Le leader se doit donc de faire en sorte que son équipe lui fasse confiance ; il doit pour cela donner l'exemple, respecter ses engagements, faire ce qu'il dit et dire ce qu'il fait, soutenir ses collaborateurs y compris lorsqu'ils se trompent, leur porter de l'attention et leur montrer de la reconnaissance en cas de ...
Un leader se remet toujours en question : loin de considérer ses idées comme les meilleures et ses compétences comme acquises, il prend du recul, remet les situations en perspective et cherche lui-même à progresser. Ainsi, il s'applique avant tout à lui-même ce qu'il demande à ses équipes.
Que l'on ait de grosses responsabilités dans le monde de l'entreprise ou que l'on s'attèle à faire bouger les choses via une association ou un parti politique, ce que l'on peut retenir, c'est que toutes ces femmes qui donnent l'exemple ont des projets et s'assument telles qu'elles sont.
La formation en leadership et management permet au professionnel de mieux valoriser le travail d'équipe en encourageant le dépassement des limites. Pour ce faire, il est important que le manager ait de bonnes compétences en communication. Les managers doivent en effet avoir une bonne intelligence émotionnelle.
Un leader transformationnel amène les collaborateurs à élargir leurs horizons, à donner du sens à leur action et à voir au-delà de leur propre intérêt pour envisager celui d'autrui et de la collectivité. Le leader transformationnel voit loin, même dans la brume !
La première catégorie de mauvais leaders est celle des leaders distants. Les leaders distants basent leurs relations avec leur équipe sur l'émotion. La communication n'est pas professionnelle, centrée sur les émotions et les ressentis. Le doute et le scepticisme sont roi et sapent les bases de la confiance.