J. -C., cet orateur hors pair bien plus intéressé par le verbe que par l'épée a formulé les cinq préceptes indispensables dans l'élaboration du discours rhétorique : l'inventio, la dispositio, l'elocutio, l'actio et la memoria.
Les lieux d'un discours peuvent en effet être parcourus de plusieurs manières, mais il faut dans tous les cas que le chemin soit bien tracé. Le plan rhétorique le plus fréquent comporte quatre parties: l'exorde, la narration, la confirmation et la péroraison.
La disposition (dispositio) : la bonne organisation de votre discours. Le style (elocutio) : la rédaction de votre discours, le niveau de langue et les figures de rhétorique employées. L'action (actio) : la gestuelle et la prononciation du discours. La mémoire (memoria) : l'apprentissage du discours.
Il y a cinq types de discours: narratif, descriptif, argumentatif, explicatif, injonctif. : présence de repères temporels (indicateurs temporels et connecteurs temporels) - verbes d'action- passé simple ou présent.
(Aristote). » Ces définitions mettent en évidence les trois composantes de base qui font qu'il y a rhétorique : un orateur, un auditoire et un langage.
Le terme « discours narratif » fait référence à la narration écrite ou orale d'évènements, qui peuvent bien entendu être réels ou fictifs. En d'autres termes, c'est la façon dont on organise le discours afin de faire comprendre l'histoire qu'on raconte.
Le temps de narration est le temps principal d'un récit en français : passé simple, passé composé ou présent. Il est employé pour les évènements considérés comme principaux, qui constituent la trame de l'histoire et y apparaissent dans l'ordre selon lequel ils se sont réellement produits.
De manière générale, la narration se fait après que les évènements aient eu lieu. Le temps de la narration est donc le passé. C'est ce qu'on appelle la narration ultérieure. Le passé simple et l'imparfait vont abonder dans les textes où l'histoire est racontée à l'aide d'une narration ultérieure.
Pour communiquer, on peut utiliser différents types de discours qui correspondent à différentes intentions : le discours narratif pour raconter ; le discours descriptif pour décrire ; le discours explicatif pour expliquer ; le discours argumentatif pour convaincre.
Dans son ouvrage De Oratore, Cicéron fait une synthèse de tout ce que l'orateur idéal doit maîtriser et souligne pour cela cinq (5) points importants : l'inventio (trouver les idées), le dispositio (organiser ses idées), l'elocutio (les qualités d'élocution), l'actio (l'action oratoire, qui désigne la gestuelle, les ...
Pathos, ethos, logos. Selon la tradition aristotélicienne (c'est-à-dire qui vient d'Aristote) l'art de la parole peut s'inscrire dans trois registres possibles, qu'il définit dans la Rhétorique, : le pathos, l'ethos et le logos. Ces trois modalités sont chacune directement liées à une fonction précise de la rhétorique.
Il existe 5 types de discours (ou textes) : narratif, descriptif, argumentatif, explicatif, injonctif.
Narratif, injonctif, dialogué, argumentatif, poétique, descriptif et explicatif.
Discours indirect : Elle lui dit qu'elle ne partirait pas de là, le lendemain. Discours indirect libre : Elle se fâcha. Non ! Elle ne partirait pas de là, le lendemain !
1. Développement oratoire, sur un sujet déterminé, dit en public, et en particulier lors d'une occasion solennelle, par un orateur ; allocution : Discours de bienvenue. 2. Propos tenus par quelqu'un, en général longs : Je me demande à qui s'adresse ton discours.
Lors de la conclusion, rien de nouveau ne doit être évoqué. Ce moment doit, au contraire, être consacré au rappel des points essentiels de votre argumentation. Attention, l'idée n'est pas de résumer vos arguments, mais de mettre en valeur les bénéfices que l'on va pouvoir en tirer.
L'épilogue (du grec "ἐπίλογος", lui-même étant issu des mots ἐπί (epi) : sur, au-dessus et λόγος (logos) : discours) est la dernière partie, la conclusion d'une œuvre (discours, roman, film, pièce théâtrale, etc.). Il désigne plus particulièrement au théâtre classique un discours récapitulatif à la fin de la pièce.
Le discours n'est discours que s'il est rapporté à un sujet, un JE, qui à la fois se pose comme source des repérages personnels, temporels, spatiaux (voir chap. 9) et indique quelle attitude il adopte à l'égard de ce qu'il dit et de son co-énonciateur (phénomène de « modalisation »).
Un bon discours doit avoir une structure claire et logique.
Le corps du discours doit contenir les informations principales que vous souhaitez transmettre, et la conclusion doit résumer les points clés et résumer les messages clés adressés dans votre discours.