Les aérosols désignent des particules fines en suspension dans l'air, solides (poussières) ou liquides (embruns), de nature organique (suie) ou minérale (roche érodée). La grande majorité d'entre elles sont d'origine naturelle (éruptions volcaniques, tempêtes de sable, etc.)
Un aérosol est un ensemble de fines particules, solides ou liquides, d'une substance chimique ou d'un mélange de substances, en suspension dans un milieu gazeux.
Les particules en suspension dans l'air, encore appelées aérosols, sont constituées de substances solides et/ou liquides, présentant une vitesse de chute négligeable.
Les technologies utilisées dans les générateurs d'aérosols font appel à du gaz liquéfié (butane propane, diméthyl ether…) ou du gaz comprimé (azote, protoxyde d'azote, dioxyde de carbone...).
Les aérosols dévient le rayonnement solaire dans toutes les directions et en renvoient une partie vers l'espace. Ce phénomène modifie le bilan radiatif de la Terre et contribue à refroidir le climat. Les aérosols absorbent aussi le rayonnement solaire : cela chauffe l'atmosphère et contribue à réchauffer le climat.
Eliminer le risque ou l'aggravation d'infections respiratoires des PA ou des patients particulièrement exposés aux infections broncho-pulmonaires.
Les corticoïdes par voie inhalée
Les corticoïdes administrés sous forme inhalée (en aérosol-doseur ou en inhalateur de poudre) sont essentiels dans le traitement de fond des personnes qui ont un asthme dit « persistant » (stades 2, 3 et 4).
Dispersez dans l'eau les gouttes d'huiles essentielles ou une capsule indiquée pour cet usage. Placez-vous au-dessus ou du bol (avec une serviette au-dessus de la tête) ou de l'inhalateur. Respirez normalement pendant une dizaine de minutes. Une fois l'inhalation terminée, essuyez-vous le visage et le nez.
Grâce à la pression intérieure de la bombe aérosol, le mélange d'agent actif, de gaz propulseur et de solvant est libéré soudainement lorsque l'on appuie sur la tête de la bombe aérosol. À cet instant, le gaz propulseur s'évapore en quelques centièmes de secondes.
Bronchodilatateurs. En cas de respiration sifflante ou de râles, l'usage d'un médicament ayant pour effet d'ouvrir les bronches aide souvent. Le médecin peut alors envisager de prescrire un bronchodilatateur de type agoniste bêta2 sous forme d'inhalateur (par exemple, le salbutamol ou Ventolin®).
Le puff peut ainsi être administré dès tout petit, à l'aide d'une chambre d'inhalation et d'un masque. Si l'enfant est plus grand, il peut même l'utiliser sans masque, pour peu qu'il soit capable de pincer les lèvres pour maintenir la bouche hermétiquement fermée.
LE REFROIDISSEMENT DE LA TROPOSPHÈRE PAR LES AÉROSOLS. En théorie, les aérosols provoquent un refroidissement de la troposphère soit par réfléchissement du rayonnement solaire (effet direct), soit en favorisant la réflectivité des groupes nuageux en y augmentant le nombre de gouttelettes d'eau (effet indirect).
Utilisation: Pour libérer la surpression, le patient doit simplement déglutir au moment de son choix. La valeur de la surpression est réglée à l'aide d'un bouton gradué entre 15 hPa et 50 hPa. La valeur est affichée sur un manomètre, et une soupape de sécurité limite la surpression à 50 mbar.
Les aérosols primaires sont émis directement dans l'atmosphère sous forme particulaire depuis les sources d'émission. La plupart du temps, ces particules sont d'origine naturelle telle que les embruns marins, les débris volcaniques et également résultant de l'érosion des sols.
Pour concocter une inhalation, prenez un grand bol d'eau chaude, ajoutez trois gouttes d'huile essentielle d'eucalyptus, deux gouttes d'huile essentielle de lavande fine, une goutte d'huile essentielle de pin, une autre d'huile essentielle de niaouli et une dernière d'huile essentielle de marjolaine. Résultat garanti !
Les bronchodilatateurs sont des médicaments qui luttent contre la contraction anormale des muscles de la paroi des bronches. Egalement utilisés dans l'asthme, ils permettent de soulager les symptômes de la BPCO, notamment la gêne respiratoire. Ils sont administrés selon les cas par voie inhalée ou par voie orale.
Durée : Une inhalation se fait pendant 5 à 10 minutes à raison d'1 x par jour à 2 x maximum.
Corticoides et bronchodilatateurs peuvent être utilisés en aérosol sous forme liquide, adaptée à la nébulisation. (Pulmicort*, Bricanyl*, Atrovent* sont disponibles de ville).
Corticoïdes. Les corticoïdes bloquent la réponse inflammatoire de l'organisme et sont extrêmement efficaces pour réduire les symptômes de l'asthme. Ce sont les anti-inflammatoires les plus puissants et ils constituent une part importante du traitement depuis des décennies.
L'homéopathie est très plébiscitée dans le traitement de l'asthme. Moins sollicitées, l'acupuncture, la sophrologie, la méditation, la phytothérapie ou encore la médecine chiropratique sont des méthodes envisagées par de nombreux patients soucieux de calmer et limiter les crises d'asthmes.
Pour les toux grasses, il existe une autre famille de sirops : les fluidifiants bronchiques. "Parmi les molécules existantes, on va trouver la N-acétyl-cystéine, la carbocistéine et l'ambroxol. Ces sirops vont favoriser l'expectoration (…)
Les antibiotiques de choix sont donc les amoxicilline, macrolides, les doxycycline (après 7 ans en raison du risque de coloration jaune irréversible des dents) qu'il faut prescrire à doses suffisantes durant 10 jours.
Les effets indésirables les plus fréquemment signalés sont une altération du goût (mauvais goût ou goût désagréable dans la bouche), une irritation de la gorge et/ou de la bouche, de légers tremblements, une agitation, des maux de tête et des vertiges. En outre, l'apparition de nausées et de sueurs est possible.