L'intelligence artificielle est utilisée dans des assistants en ligne automatisés qui peuvent être vus comme des avatars sur des pages Web. Il doit permettre aux entreprises de réduire leurs coûts d'exploitation et de formation. Une technologie sous-jacente de tels systèmes est le traitement du langage naturel.
Il existe trois types d'IA : l'intelligence artificielle étroite (ANI), l'intelligence artificielle générale (AGI) et la superintelligence artificielle (ASI).
Aujourd'hui, seul l'Intelligence Artificielle faible existe, par opposition à l'IA forte qui est une machine dotée de conscience, de sensibilité et d'esprit. En effet, l'IA faible se contente de reproduire un comportement humain sans conscience.
L'intelligence artificielle (IA) est un processus d'imitation de l'intelligence humaine qui repose sur la création et l'application d'algorithmes exécutés dans un environnement informatique dynamique. Son but est de permettre à des ordinateurs de penser et d'agir comme des êtres humains.
La paternité du terme « IA » pourrait être attribué à John McCarthy du MIT (Massachusetts Institute of Technology), terme que Marvin Minsky (université de Carnegie-Mellon) définit comme « la construction de programmes informatiques qui s'adonnent à des tâches qui sont, pour l'instant, accomplies de façon plus ...
L'intelligence artificielle est utilisée dans des assistants en ligne automatisés qui peuvent être vus comme des avatars sur des pages Web. Il doit permettre aux entreprises de réduire leurs coûts d'exploitation et de formation. Une technologie sous-jacente de tels systèmes est le traitement du langage naturel.
L'IA est en réalité une discipline jeune d'une soixante d'années, qui réunit des sciences, théories et techniques (notamment logique mathématique, statistiques, probabilités, neurobiologie computationnelle et informatique) et dont le but est de parvenir à faire imiter par une machine les capacités cognitives d'un être ...
Siri, l'intelligence artificielle d'Apple
Grâce à un système de synthèse vocale, Siri répond en langage naturel. Cette intelligence artificielle est hébergée sur les serveurs Apple et nécessite une connexion Internet mobile haut débit pour fonctionner.
Apps intelligentes : les applications nouvelle génération
Pour le dire simplement, ces apps apprennent en permanence de leurs interactions avec les utilisateurs et avec d'autres sources de données, et elles deviennent au fil du temps de plus en plus utiles et de plus en plus pertinentes.
Le robot Ameca est considéré comme le premier humanoïde capable de se représenter lui-même, de montrer ses émotions et ses mouvements. Ces dernières années, les robots ayant la capacité de s'exprimer sont devenus de plus en plus sophistiqués.
L'un des principaux inconvénients de l'IA est qu'elle ne peut pas apprendre à sortir des données qui lui ont été transmise. L'IA est capable d'apprendre au fil du temps grâce à des données pré-renseignées et à des expériences passées, mais elle ne peut pas faire preuve de créativité dans son approche.
Les machines pensent plus vite que les humains et peuvent être soumises à plusieurs tâches. L'intelligence machine peut être utilisée pour effectuer des tâches dangereuses. Leurs paramètres, contrairement aux humains, peuvent être ajustés. Leur vitesse et leur temps ne sont que des paramètres basés sur des calculs.
La technologie de l'IA améliore les performances et la productivité de l'entreprise en automatisant des processus ou des tâches qui nécessitaient auparavant des ressources humaines. L'intelligence artificielle permet aussi d'exploiter des données à un niveau qu'aucun humain ne pourrait jamais atteindre.
Les limites technologiques et cognitives empêchent les machines d'atteindre un raisonnement complexe, en dehors des tâches pour lesquelles elles sont prévues. Elles ne parviennent pour le moment ni à acquérir une expérience subjective ni à réellement communiquer avec le monde qui les entoure.
En 1952, Arthur Samuel crée un logiciel capable d'apprendre à jouer aux échecs de manière autonome. Le terme d'intelligence artificielle, quant à lui, sera prononcé pour la première fois durant la conférence « Dartmouth Summer Research Project on Artificial Intelligence. » de John McCarthy en 1956.
L'IA forte est la vision de l'IA de demain, elle a pour but de créer des machines autonomes dotées de conscience. Aujourd'hui, l'IA intégrée dans les applications et les machines appartient à l'IA faible. L'IA forte constitue en revanche le défi et certainement le projet le plus ambitieux de l'IA.
Le développement rapide des technologies de l'intelligence artificielle (IA) a rendu possible son application pratique dans de nombreux domaines de l'activité humaine. Les progrès opérés en matière d'intelligence artificielle ont considérablement accru le niveau d'automatisation des processus métier.
Loin de tous les fantasmes qu'elle charrie, Guy Mamou-Mani, coprésident d'Open, entreprise de services du numérique, plaide pour une utilisation sobre et responsable de l'intelligence artificielle, et plus largement des outils digitaux.
Mais le danger le plus palpable de l'intelligence artificielle concerne sans doute les armes létales autonomes. Généralement, il est question de drones ou de chars qui peuvent identifier des cibles et lancer une attaque sans aucune intervention humaine.
Les robots dits explorateurs permettent, quant à eux, de remplacer l'Homme dans certaines situations, plus ou moins dangereuses ou inaccessibles, telles que l'exploration de l'espace.
L'intelligence artificielle fait peur car elle n'a pour seule limite que les capacités humaines à développer des programmes toujours plus élaborés. Le plus important est d'éviter les dérives que peut provoquer une telle technologie, par exemple avec la reconnaissance faciale.
L'ordinateur n'est pas plus intelligent, mais il est mieux outillé qu'un homme pour jouer au jeu de go : quand il faut explorer à toute allure un maximum de cas, l'homme est dépassé. Rien d'étonnant à ce que le système d'intelligence artificielle AlphaGo ait été conçu par une filiale de Google DeepMind.