Optez pour le 7e arrondissement ! Avec le quartier du Gros-Caillou, il arrive en tête des quartiers résidentiels les plus calmes et les plus sûrs de la capitale. Vous serez à proximité de la Tour Eiffel, du Champs de Mars, de nombreux musées et galeries d'art internationales et des institutions politiques.
Si on cherche à s'installer dans un quartier calme, mieux vaut éviter le cœur de Paris, et plutôt s'orienter vers les 7e, 14e, 15e et 20e arrondissements. Avec des taux de criminalité 10 fois inférieurs à ceux du 1er, ils sont visiblement les quartiers les plus sûrs et tranquilles de la capitale.
Haut-lieu de culture, riche en commerces et bien desservi, le 3e arrondissement a l'air de faire l'unanimité parmi ses riverains. Avec une note de 8,25/10, il arrive tout en haut du classement des « meilleurs arrondissements » de la ville.
Si on cherche à s'installer dans un quartier calme, mieux vaut éviter le cœur de Paris, et plutôt s'orienter vers les 7e, 14e, 15e et 20e arrondissements. Avec des taux de criminalité 10 fois inférieurs à ceux du 1er, ils sont visiblement les quartiers les plus sûrs et tranquilles de la capitale.
1) Montmartre
Montmartre fait partie des quartiers préférés des parisiens, et ce n'est pas pour rien. Véritable bouffée d'oxygène dans la capitale, cet endroit pittoresque vous dépaysera avec ses allées pavées et fleuries et son ambiance hors du temps.
Pas seulement du côté de l'île Saint-Louis, de la place des Vosges ou de la rue Saint-Antoine, mais de plus en plus du côté de la rue de Turenne, de la rue de Bretagne, de la rue Vieille-du-Temple... dans toutes les petites rues alentours, les petites surfaces grouillent dans des immeubles rarement pourvus d'ascenseur.
Avec un prix au m² estimé à 23 008 euros, la rue Guynemer, bordant le célèbre jardin du Luxembourg, dans le 6e arrondissement, remporte la palme et monte sur la première marche du podium.
Gobelins / Mouffetard
Quartier très étudiant avec la proximité de nombreuses facs et écoles (Sorbonne, Assas, Jussieu), la rue Mouffetard est une des rues les appréciées des étudiants pour faire la fête... moisn central que le quartier latin il reste cher car très vivant et recherché.
Camille Peugny considère ainsi que « le terme est devenu une caricature » désignant vaguement « une personne qui a des revenus sans qu'ils soient faramineux, plutôt diplômée, qui profite des opportunités culturelles et vote à gauche ».
Les signes pour savoir si un bobo est grave
Les nourrissons et certains enfants sont très sensibles à la douleur. Si à la moindre égratignure votre bout de chou hurle de douleur, c'est qu'il figure sans nul doute parmi les plus sensibles.
Entre les quartiers très commerçants (Ternes, Rue Clerc, rue du Poteau…), ceux très touristiques (Tour Eiffel, Saint Michel, Montmartre, etc.), les plus calmes (Auteuil, Invalides, etc.), les plus « verts » (Monceau, Buttes Chaumont, Luxembourg, etc.), les plus animés (Quartier Latin, Bastille, République, Champs ...
Le blanc et le beige sont donc les coloris de prédilection, des tissus comme le lin sont également régulièrement choisis. On aimera marier la toile de jean en portant une veste en jean sur une robe blanche à dentelle, large, au-dessus du genou et une paire de bottes montantes au laçage faussement négligé.
La base du style intello bobo est l'avachi, le faux négligé, le mou : veste de tweed sans forme et sans âge, pantalon informe, pull à grosses côtes façon serpillière ou large chemise écossaise canadienne en pilou… avec bien sur son casque de moto sous le bras.
Le style bohème n'est pas seulement un style vestimentaire, c'est une culture à part entière. S'il est célèbre depuis les années 1990, en réalité, le style bohème est étroitement lié au mouvement hippie des années 60-70 opposé aux diktats de la société.
Au plus simple : est bourgeois celui qui possède les moyens de production et donc le pouvoir économique correspondant. C'est là un des traits les plus visibles et les plus compréhensibles de la bourgeoisie pour les petits-bourgeois (et les travailleurs).
L'environnement anxiogène et stressant de Paris serait ainsi l'un des moteurs de l'”exode” de sa population. En somme, pour les “bobo”,”paubo” ou tout simplement pour les Parisiens sans étiquette, la vie à Paris est faite d'ambivalences et de fortes inégalités, bien loin des stéréotypes qu'on lui accole souvent.
Contraction de "bourgeois-bohème", le terme "bobo" désigne de manière plutôt péjorative une catégorie socioprofessionnelle (CSP) de personnes aisées habitant les grands centres urbains et politiquement situées plutôt à gauche et sensibles à l'écologie.
Ouest parisien : l'endroit idéal pour les familles
De plus, ces quartiers (Monceau, Ternes, Pereire, Auteuil, Batignolles, Passy, Victor Hugo…) regorgent d'écoles publiques et privées réputées, quel que soit l'âge de votre enfant (primaire, lycée, ou université).
Pour la première fois, un palmarès des "villes et villages où il fait bon vivre" a été publié, réalisé par l'association du même nom. Paris est en 55ème position de ce classement. Être la capitale ne signifie pas être la ville la plus agréable.