Elle peut également entraîner fatigue et douleur qui sont souvent ignorées alors qu'elles sont des signes précoces de surcharge de l'appareil locomoteur à ne pas négliger. L'activité physique au travail peut également être à l'origine de risques cardio-vasculaires, toxiques ou d'hyperthermie et d'atteintes cutanées.
Selon les chercheurs, trop d'exercice physique pourrait conduire, non seulement à de la fatigue, des troubles du sommeil, des douleurs musculaires, mais aussi à une baisse de nos capacités cérébrales, et de l'impulsivité.
Risques physiques directement liés à la pratique d'une activité physique régulière: chutes, coups, blessures, fractures, troubles musculosquelettiques et neurologiques, traumatismes, commotions cérébrales, accidents cardio-vasculaires, maladie chronique articulaire (arthrose), troubles gynécologiques…
Les facteurs de risque liés à l'activité physique au travail
les facteurs individuels (âge, état de santé, douleurs existantes…) ; les facteurs psychosociaux (exigences émotionnelles, rapports sociaux…) ; les facteurs liés à l'entreprise (méthodes de management, formation du personnel…).
Un certain nombre d'études réalisées par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ont aussi souligné que l'exercice physique peut avoir un effet positif sur la santé mentale et les fonctions cognitives. Il améliore l'estime de soi et la confiance en soi et réduit la dépression et l'anxiété.
Le sport prévient les maladies et les problèmes de santé. Il stimule les lipoprotéines de haute densité (HDL) et diminue le taux de triglycéride, constituant principal des graisses. L'activité physique améliore également la circulation sanguine, réduisant ainsi le risque de maladies cardiaques.
L'activité physique est très bénéfique pour la santé du cœur, du corps et de l'esprit. L'activité physique contribue à la prévention et à la prise en charge des maladies non transmissibles telles que les maladies cardiovasculaires, le cancer et le diabète.
augmente la solidité des os; favorise le maintien d'une bonne masse musculaire; développe le sens de l'équilibre, ce qui diminue les risques de chute et aide à prévenir les fractures; aide à rester autonome plus longtemps.
Les bienfaits de l'activité physique sont aujourd'hui avérés : réduction du risque de maladies cardiovasculaires, des cancers du sein et du côlon, du diabète et des maladies métaboliques; meilleur contrôle du poids; amélioration de la santé mentale et de l'estime de soi ; renforcement des capacités d'apprentissage.
Les facteurs de risque étudiés peuvent être regroupés en trois catégories : 1) les facteurs individuels; 2) les facteurs liés aux milieux de vie; 3) les facteurs environnementaux.
Le manque de confiance en ses capacités physiques : sentiment d'incompétence. Le sport à l'école n'est pas toujours seulement bénéfique pour les enfants, il a aussi quelques inconvénients pouvant engendrer stress et anxiété chez l'enfant. Parfois, les jeunes peuvent manquer d'optimisme en leurs aptitudes physiques.
On constate effectivement le football, comme les sports de glisse sont à l'origine de nombreux traumatismes du genou et la cheville. Un footballeur amateur joue en moyenne une centaine d'heures par an, contre cinq cents pour un professionnel. Autant dire que cela joue sur la fréquence des blessures.
Le sport, un enjeu de cohésion sociale
Il vise à « développer la pratique sportive et à en faire, grâce à des actions concrètes, un moyen de renforcer le vivre ensemble et l'éducation à la citoyenneté ».
Le corps n'arrive plus à suivre la récupération, c'est le premier signe qui montre qu'il est important de lever le pied. 2/ Ensuite, on trouve les blessures à répétition qui sont le signe d'une fatigue, mais aussi d'une faiblesse de certains membres plus en mesure de réaliser des entraînements de manière correcte.
Le sport modifie les sécrétions de dopamine, d'adrénaline et d'endorphine. Ces substances agissent au niveau cérébral et apportent une sensation de bien-être. Le sport améliore aussi les interactions sociales, diminue l'irritabilité, le stress, la fatigue, améliore le sommeil et dope la confiance en soi.
L'activité physique peut, lorsqu'elle est excessive, entraîner des problèmes cardiovasculaires : fatigue cardiaque, hypertension artérielle, infarctus, etc.
Le sport déclenche dans l'organisme la production d'hormones appelées endorphines. Ces hormones provoquent chez l'individu une telle sensation de bien-être qu'une véritable dépendance peut s'installer. Le sport oblige également à se concentrer sur autre chose que ses idées noires, son travail ou ses ennuis domestiques.
L'activité physique améliore différentes dimensions en lien avec la santé mentale (humeur, anxiété, stress, dépression, épuisement, estime de soi, sentiment d'efficacité), les performances cognitives (mémoire, concentration, résolution de problème), la réaction du corps à des stresseurs psychosociaux (fréquence ...
Les effets biologiques : l'activité physique stimule la production d'hormones telle la sérotonine, reconnue pour ses effets antidépresseurs et régulateurs de l'humeur. Des endorphines sont également produites lors de la pratique du sport, ce qui a un effet direct sur la diminution des effets négatifs du stress.
La marche est bénéfique à plus d'un titre. Elle permettrait même d'augmenter l'espérance de vie et de ralentir le vieillissement cellulaire. Cette activité physique est, de plus, accessible à tous.
Les sports de cardio et d'endurance sont réputés pour libérer plus d'endorphines que les autres. Les sports de cardio et d'endurance tels que la course à pied, la marche, le cyclisme ou la natation sont idéaux pour se recentrer et libérer l'esprit.
Les activités physiques quotidiennes
En font font partie : les déplacements actifs : marcher, faire du vélo, monter et descendre par les escaliers ; les activités domestiques : faire le ménage, bricoler, jardiner ; les activités professionnelles (travail physique par exemple) ou scolaire.
Il n'y a pas d'âge pour commencer ou reprendre une activité physique régulière, à condition de le faire progressivement. Il est essentiel de faire de l'exercice à intervalles réguliers pour obtenir un effet bénéfique.
Les endorphines sont des molécules libérées par le cerveau, plus particulièrement par l'hypothalamus et l'hypophyse. L'activité qui libère le plus d'endorphines est sans conteste le sport, et ce pendant et plusieurs heures après l'effort. Il s'agit en fait d'une morphine naturelle produite par notre organisme.