Les inconvénients d'un réseau social d'entreprise
Il n'est pas toujours facile d'obtenir l'adhésion des employés dans la mise en place d'un réseau social d'entreprise. Certains n'y verront qu'une charge de travail supplémentaire, tandis que d'autres n'arriveront pas à maîtriser comme il faut les nouvelles technologies.
Une entreprise responsable crée donc un environnement de travail épanouissant pour les collaborateurs. Au-delà de la qualité de vie au travail, la RSE redonne du sens au travail des collaborateurs. L'entreprise fidélise ainsi ses collaborateurs. Ils sont plus motivés et gagnent en productivité.
La RSE victime d'un manque de vision stratégique
En général, les acteurs du développement durable s'accordent à constater que le principal frein des entreprises est structurel, lié à un manque d'engagement ou de soutien du top management à la RSE.
La RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises) regroupe l'ensemble des pratiques mises en place par les entreprises dans le but de respecter les principes du développement durable (social, environnemental et économique).
Au vu de la définition ci-dessus, nous pouvons voir que la RSE se caractérise par trois piliers : le pilier économique, le pilier environnemental et le pilier social. Ces trois piliers sont interconnectés, ils s'articulent entre eux et ne peuvent fonctionner l'un sans l'autre.
L'économiste Howard R. Bowen est souvent désigné comme le père fondateur de ce champ d'études (Carroll, 1979, 1999 ; Wood, 1991). Il a su décrire et structurer les approches théoriques en matière de RSE dans son livre Social Responsibilities of the Businessman (SRB).
Cela dit, le développement durable est avantageux pour la simple raison qu'il permet d'augmenter les chiffres d'affaires. Pour que le développement durable génère des avantages tangibles, il faut axer les efforts sur l'efficacité environnementale et le développement de la créativité des employés.
La démarche de responsabilité sociétale des entreprises (RSE) permet à l'entreprise de mieux réagir aux enjeux de performance auxquels elle est confrontée, par la gestion des risques et la saisie des opportunités, et de répondre aux demandes réglementaires de transparence.
La RSE toujours confrontée à des freins
Les directions RSE sont également confrontées à un manque de ressources humaines, freinant leurs actions. Autre problématique : le besoin de méthodes ou d'outils pour évaluer l'impact ou le ROI des actions RSE. L'engagement des salariés est quant à lui un élément qui divise.
Les enjeux de la RSE se matérialisent par ses trois piliers que sont le pilier économique, le pilier social, et le pilier environnemental. Pour chacun de ces piliers, de nombreuses mesures peuvent être mises en place par les entreprises pour contribuer au développement durable.
Selon Reputation Institute France, la RSE représente 40% de l'image et de la représentation de l'entreprise. Il s'agit donc d'un point à ne pas négliger. Une bonne stratégie RSE est également gage d'une entreprise saine et en bonne santé.
acidification de l'air ; formation d'ozone troposphérique ; appauvrissement de la couche d'ozone ; particules et effets respiratoires des substances inorganiques.
Les trois enjeux du développement durable : économie, environnement, société Traditionnellement, les enjeux du développement durable sont répartis en trois catégories, conformément à la définition du développement durable, élaborée en 1987 dans le Rapport Bruntland. Il y a l'économie, l'environnement, et la société.
Donc le développement durable est limité par le changement du mode de vie actuel, caractéristique du système de production dominant. Sans modification du mode de vie et des valeurs actuelles, l'adaptation des gens et les capacités de charges des écosystèmes connaîtront des difficultés.
La RSE est une obligation légale pour certaines organisations, mais elle est aussi l'occasion, pour l'ensemble d'entre elles, de devenir plus responsables, engagées et respectueuses de l'environnement et de la société.
LES DÉMARCHES RSE
S'occuper d'environnement dans l'activité de l'entreprise et tout au long de la chaîne de valeur, c'est s'occuper de la performance des entreprises, de leur cadre d'activité, de leurs ressources, etc. Cette interdépendance est à mettre au cœur des stratégies et des politiques RSE des entreprises.
La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) également appelée responsabilité sociale des entreprises est définie par la commission européenne comme l'intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties ...
Réduire les coûts et les risques grâce à la RSE
La liste d'actions à mettre en place est longue. Cela induit par exemple une meilleure gestion des déchets, une réduction de la consommation d'énergie, une amélioration de la qualité de vie au travail.
Dans le cadre des grandes entreprises, il y a la plupart du temps un responsable RSE ou bien un directeur du développement durable et de la responsabilité sociale chargé de la coordination des actions RSE menées par l'entreprise. Cela prend place le plus souvent dans un département dédié entièrement à ces questions là.
Pas d'obligation RSE stricto sensu pour les PME et TPE
L'obligation de reporting concerne uniquement : les entreprises cotées en bourse (loi NRE de 2001) les entreprises au chiffre d'affaires supérieur à 100 millions d'euros ou de plus de 500 employés (Grenelle II de 2010)
Les RH : acteurs clés de la RSE !
Fini le temps où développement durable et responsabilité sociétale des entreprises étaient associés au seul concept de l'environnement. Aujourd'hui salariés, clients, ONG, politiques, organisations syndicales ont bien pris en considération la dimension sociale de ce mouvement.
La RSE améliore la performance des entreprises françaises
Le résultat est assez tranché : « on observe un écart de performance économique d'environ 13 % en moyenne entre les entreprises qui mettent en place des pratiques RSE et celles qui ne le font pas » conclut le rapport.