L'assimilation de la langue
Le niveau de langue peut constituer une véritable difficulté pour l'expatrié. Le manque de connaissances peut en effet créer une barrière avec les locaux ou les collègues de travail et freiner l'intégration au sein du pays.
Un autre inconvénient du travail à l'étranger est les nombreuses démarches administratives qu'il faut entreprendre avant le départ et une fois sur place. Dès votre arrivée, vous devez réaliser certaines formalités en rapport avec la vie de tous les jours.
Evidemment et comme aux quatre coins du monde, tout n'est pas toujours rose en Espagne. Le pays, qui subit les conséquences d'années d'austérité suivi d'une crise sanitaire, supporte l'un des plus importants taux de chômage en Europe.
2. Apprendre autrement ! Quel que soit l'objet de votre mobilité, partir à l'étranger vous permet de découvrir d'autres façons de travailler ou d'étudier, d'autres méthodes d'apprentissage, d'autres formes d'organisation…
Malgré quelques disparités, le niveau de vie à l'intérieur de l'UE est pratiquement le même. Si vous venez de pays comme la France, vous trouverez même parfois le coût de vie légèrement bas ailleurs. Le choc culturel n'étant pas colossal, l'adaptation est plus rapide et moins déstabilisante.
Si vous allez vivre dans un autre pays européen, vous devez remplir certaines conditions, mais vous n'avez pas besoin d'un titre de séjour. Si vous vous expatriez à l'étranger, vous devez demander un visa d'immigration et, si besoin, un permis de séjour et un permis de travail.
Les jeunes souhaitent partir à l'étranger
Les causes de cette décision seraient leur souhait d'aventures (46% de leurs réponses) et leur recherche de meilleures opportunités de carrières (40.4%). Par rapport aux résultats observés il y a deux ans, 51% des jeunes de 18 à 24 ans auraient davantage envie de s'expatrier.
Elle présente également des risques pour le salarié, notamment au niveau du conjoint (salaire), de ses enfants (adaptation culturelle, scolarisation), de la situation du pays (instabilité politique, crise économique…) et de l'incertitude liée à la capacité de l'individu à retrouver après quelques années une vie « ...
L'Espagne, la Suède, la Nouvelle-Zélande, le Japon, le Brésil, les Etats-Unis… Qui n'a jamais caressé l'idée de partir travailler à l'étranger ? A la veille d'une nouvelle année, voici un tour du monde des pays les plus sollicités par les travailleurs.
Étudier en France, au sein des universités ou des grandes écoles, offre de nombreux avantages. C'est notamment l'assurance de bénéficier de l'un des meilleurs et des plus accessibles systèmes d'enseignement supérieur au monde. Quel que soit votre domaine d'études, vous côtoierez toujours des experts passionnants.
La découverte du monde et de nouvelles cultures
Bien au-delà du simple voyage, ces différences culturelles permettent de porter un regard différent sur notre propre culture, mais aussi sur les autres, bien au-delà des préjugés.
Étudier gratuitement à l'étranger, est-ce possible ? Oui, si vous obtenez l'une des bourses proposées par L'UNESCO. Dans la rubrique Éducation du site de l'UNESCO, vous trouverez de nombreuses informations en français. L'UNESCO propose également une section dédiée aux études à l'étranger, en anglais : Study abroad.
Prévoir vos dépenses en Espagne
Le coût de la vie en Espagne est 27 % moins élevé qu'en France. Le pouvoir d'achat local y est cependant 17,2 % moins élevé. En voyage, prévoyez un budget sur place d'au moins 71 € / jour et par personne.
On estime que le salaire minimum en Espagne est d'environ 900 euros par mois, tandis que le salaire moyen est de 1 640 euros brut. Une différence majeure avec le salaire moyen brut des autres pays européens, qui est quant à lui de 1 995 euros.
Les profils les plus recherchés en Espagne sont ceux des ingénieurs, ceux des secteurs de l'informatique, du génie industriel, du web et des nouvelles technologies. Le e-commerce, l'automobile, les exportations et le tourisme sont aussi des secteurs en croissance (notamment pour les francophones).
Il faut dire que seul un tiers des expatriés interrogés considèrent leur situation financière satisfaisante : 87 % avouent qu'ils n'ont pas assez de latitude financière pour prévoir leur retraite et 88 % n'ont aucune sécurité financière en cas de perte d'emploi.
Un expatrié y gagne en moyenne 168 000 euros par an.