Pour que le bijou exprime tout son charme et valorise votre tenue, il doit être visible et à la bonne taille. C'est pourquoi le choix de cet accessoire doit tenir compte de votre tour de poignet. Dans le cas d'un poignet particulièrement fin, mieux vaut porter des bracelets discrets faits de chaînes fines par exemple.
L'anneau de mariage et ceux qui y sont associés sont traditionnellement portés par le doigt de l'anneau : l'annulaire. Il s'agit de l'annulaire de la main gauche. Si vous ne voulez pas donner des informations contradictoires, portez votre bague à l'annulaire de la main droite.
Avec un poignet fin, mieux vaut éviter les bracelets XXL qui tassent la silhouette et créent un effet disgracieux. Très en vogue ces dernières années, les cordons personnalisables sont idéals. À la fois sobres et originaux, ils se composent d'un lien coloré fin et d'un médaillon à graver.
Réaliser son bracelet porte-bonheur : les étapes
Commencez par couper 3 bouts de coton ciré de la même longueur (+/- 35 cm). Rassemblez les 3 extrémités entre les deux plaques du fermoir . À l'aide d'une pince, rabattez les deux plaques l'une sur l'autre pour enserrer les trois extrémités des fils.
Le jaspe rouge, la cornaline et le grenat sont parmi les plus appréciées. Pierres jaunes : elles apporteraient prospérité, abondance et équilibre émotionnel. La citrine, l'ambre et l'œil-de-tigre sont les valeurs sûres. Pierres roses : ces gemmes vous apporteront du recentrage et leur énergie apaisante.
La Jade : porte-bonheur en terme d'argent. Le turquoise : apporte de la santé et de bien-être. L'aventurine : une forte énergie yang pour effectuer un changement positif. La pyrite : considérée comme une pierre porte-bonheur pour l'argent et l'abondance.
Pourtant, certains objets font consensus sur le fait de porter malheur et d'attirer les mauvaises énergies comme les miroirs - cassés ou non -, les plantes sèches ou encore la vaisselle cassée. Les cactus qui décorent pourtant si bien nos intérieurs pourraient favoriser les problèmes financiers.
au même poignet que votre montre. Dans le cas contraire, portez-les du côté opposé. Il n'y a pas de véritable règle en la matière - seulement des préférences. Veillez à éviter que le bracelet ne vous gêne lorsque vous travaillez et donc, si nécessaire, portez-le plutôt du côté opposé à votre main dominante.
Il en va ainsi de l'alliance, que l'on porte traditionnellement à l'annulaire de la main gauche en signe d'engagement. Les bracelets, pour homme comme pour femme, sont pour leur part libérés de toute signification. Vous pourrez donc les porter du côté qui vous convient le mieux.
Pendant un temps le port de bijoux comme le bracelet a été fortement féminisé. Pourtant depuis des siècles, les hommes portent des bracelets à leurs poignets pour la beauté, le style, la protection et même en guise de porte-bonheur ou de noblesse.
Ne négligez pas non plus la question de la couleur. De manière générale, les bijoux blancs ou noirs sont faciles à assortir à toutes les tenues. Mais, si vous préférez les bijoux de couleur rouge cerise ou jaune soleil, vous devez veiller à les porter sur des tenues de la même couleur.
L'or rose s'associe à merveille avec de très nombreuses couleurs différentes, depuis celles plus neutres comme le blanc, le gris, le noir, pour arriver jusqu'au vert ou à d'autres nuances chaudes.
Selon les anciennes règles de la noblesse française, les hommes aînés de leur famille placent la chevalière homme à leur annulaire gauche, c'est-à-dire au même doigt que leur alliance. Toutefois, il est possible de porter la chevalière à l'annulaire droit, sans altérer son interprétation.
Le collier de perles des 50's et 60's est toujours d'actualité. Il prend pourtant un véritable coup de jeune dans des versions ras-de-cou surtout s'il est mélangé avec du métal or ou argent. Les perles s'invitent également sur les bagues.
Sur quelle main portez-vous votre bracelet porte-bonheur ? Les bracelets porte-bonheur doivent être portés sur votre poignet gauche. Certaines religions croient que le côté gauche du corps est le côté récepteur du corps.
Si le Breton moderne nomme le gui “uhel varr”: “haute branche”, les autres langues celtiques, comme l'Irlandais ou le gaélique d'Écosse ont gardé dans le vocabulaire populaire la tournure “qui guérit tout”. Plante médicinale, le gui a des vertus antispasmodiques et diurétiques.