Chapitre 1 : Les concepts économiques fondamentaux Les concepts fondamentaux tels que la rareté d'un bien, le coût d'opportunité, et la demande et l'offre constituent la base pour l'étude de la macroéconomie.
Par « valeur » nous définissons un « concept » « économique » se constituant dans son rapport (interdépendance) avec trois autres concepts qui sont le « droit », « l'actif » et la « monnaie ».
L'économie pourrait se définir par ses champs d'analyse : production, consommation, répartition des richesses… Mais elle doit souvent prendre en compte d'autres dimensions : politique (budget de l'État), sociale (répartition des revenus), etc.
Théorie classique, marxiste, néoclassique ou keynésienne : si leur influence respective a varié selon les époques, la plupart des économistes d'aujourd'hui inscrivent encore leur réflexion et leur pratique dans l'une de ses grandes écoles de pensée.
Ces enseignements sont les sciences économiques et sociales (SES) et/ou les principes fondamentaux de l'économie et de la gestion (PFEG). Ces deux enseignements bien qu'axés en partie sur l'économie ont des approches un peu différentes mais complémentaires.
On peut concevoir l'économie comme un ensemble d'acteurs (qui sont généralement regroupés en catégories : ménages, entreprises, administrations publiques, etc.) et un ensemble de relations entre ces acteurs qui correspondent à des flux (production, revenu, épargne, consommation, placements, etc.).
Le pilier économique : limiter les externalités négatives liées au développement économique. Agir pour une répartition plus égalitaire des richesses. Être attentif aux conséquences de la production et de la consommation. Le pilier social : lutter contre la pauvreté et les inégalités entre les pays dans le monde.
Plus précisément, la science économique étudie comment les ressources d'un pays sont utilisées pour satisfaire les besoins de ses citoyens. Elle s'intéresse aux opérations de production, de distribution et de consommation des biens et services.
La rareté est le problème économique fondamental. Elle se produit parce que nous, les humains, avons des demandes sans fin que les ressources limitées et toute la production du monde ne peuvent satisfaire.
Ils représentent dans un cadre comptable cohérent les relations macro-économiques entre les agents et les secteurs économiques d'un pays au cours d'une période donnée et ont ainsi pour objectif de refléter le mieux possible la réalité économique.
Biens publics et biens marchands
Dans les économies contemporaines, deux catégories de biens sont produits: les «biens marchands» qui relèvent de la logique privée et les «biens non mar- chands» que les entreprises privées ne sont pas en mesure ou pas intéressées à vendre.
En général, trois facteurs explicatifs sont utilisés : le travail c'est-à-dire la mobilisation de la main d'œuvre, le capital et le progrès technique.
Cette approche permet de poser le cadre macroéconomique dans lequel l'entreprise agit. Dans un deuxième temps, le cours développe quelques thèmes fondamentaux de l'analyse macroéconomique (la monnaie et le financement de l'économie, l'inflation et les relations économiques avec l'extérieur).
La rareté en économie
La rareté est l'expression du déséquilibre plus ou moins grand entre des besoins et des ressources produites en faible quantité et insuffisante pour les satisfaire. Elle est relative, variant selon les lieux et les époques.
L'économie d'entreprise consiste donc à étudier cette forme de management afin de tirer quelques principes d'organisation et de gestion plus ou moins applicables aux entreprises selon les conditions particulières de leurs activités Cela débouche sur différentes matières de gestion comme la gestion des ressources ...
Microéconomie (étude des comportements des agents économiques : consommation, travail, stratégies des entreprises et des administrations) et macroéconomie (mécanismes économiques de l'inflation, de l'impact d'une hausse des taux d'intérêt sur l'investissement…) ; économie monétaire, économie publique, économie et ...
Adam Smith, Écossais et professeur de « philosophie morale » de son état, est né en 1723. Il publie en 1776 Recherche sur les causes et la nature de la richesse des nations, ouvrage considéré aujourd'hui comme l'acte de naissance de l'analyse économique et du libéralisme.
Le concept de développement désigne l'ensemble des transformations techniques, sociales, territoriales, démographiques et culturelles accompagnant la croissance de la production. Il traduit l'aspect structurel et qualitatif de la croissance et peut être associé à l'idée de progrès économique et social.
Trois grands piliers nommés Sagesse, Force et Harmonie soutiennent le temple maçonnique. Trois et non quatre, comme la logique le voudrait.
➢ L'économie, c'est la vie des hommes au travail afin de produire des biens et des services nécessaires à la satisfaction de ses besoins. ➢ L'économie traite de ce que nous gagnons et de ce que nous pouvons acheter. Elle est au cœur de la vie sociale.
Pour la majorité des économistes, le père fondateur de la discipline est Adam Smith.