parce que, puisque, comme, vu que, attendu que, du moment que, sous prétexte que sont suivies de l'indicatif. Conjonctions de subordination qui marquent la conséquence: de telle sorte que, de telle manière que, au point que, si bien que sont suivies de l'indicatif.
Elle en exprime le résultat. Introduite par une locution conjonctive de subordination ou annoncée dans la principale par un système corrélatif, elle peut être à l'indicatif (résultat réel), au conditionnel (résultat supposé) ou au subjonctif après certains mots subordonnants.
Adverbes et conjonction de coordination exprimant la conséquence. Les adverbes et locutions adverbiales "c'est pourquoi", "à cause de cela", "c'est pour cela", "aussi", "ainsi", "par conséquent", "en conséquence", et la conjonction de coordination "donc" introduisent l'expression de la conséquence.
Les conjonctions de subordinations des causes se composent de quinze conjonctions, ce sont : comme, parce que, puisque, étant donné que, vu que, du fait que, du moment que, dès lors que, attendu que, d'autant que, surtout que, sous prétexte que, ce n'est pas que, non que, et soit que… soit que.
Ce sont des adverbes de cause. On pourrait dire : « en effet, il est plus intelligent. » « Par conséquent », « ainsi », « alors » et « du coup » sont quant-à eux des adverbes de conséquence, ils introduisent une proposition qui exprime la conséquence de ce qui vient d'être dit.
La cause est la raison d'un fait, on la trouve souvent derrière « car », « à cause de », « parce que », etc. La conséquence est le résultat d'une cause, on la trouve souvent derrière « donc », « par conséquent », « si bien que », etc.
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
La conjonction de subordination est placée en tête de la subordonnée mais cette subordonnée peut être située avant ou après la principale . Ex : Je prends ma voiture quand je suis en retard . Quand je suis en retard , je prends ma voiture .
La conséquence exprime l'effet logique provoqué par une action. Introduite par si bien que, c'est pour cela que, au point que, si… que, trop… pour que… Il a eu un empêchement si bien qu'il ne peut pas venir ce soir.
Liste des principales conjonctions de subordination simples : que, si, comme, lorsque, quand, quoique, puisque. Liste des principales locutions conjonctives (conjonctions composées) : afin que, de sorte que, pendant que, parce que, dès que, tandis que, après que, avant que, de peur que.
Un complément circonstanciel de conséquence indique le résultat, l'effet d'une action. Ex : Jean est tellement malade qu'il est absent. 3) Les compléments circonstanciels de but. Un complément circonstanciel de but sert à indiquer l'objectif à atteindre et répond à la question : dans quel but ?
Une cause présente la raison de quelque chose, c'est un élément qui en produit un autre, c'est un fait qui en entraîne un autre, etc. Une conséquence explique ce qui arrive (l'effet), c'est le résultat de quelque chose (les répercussions).
La subordonnée de condition introduite par si est toujours à l'indicatif. Le mode de la principale, lui, varie : si la condition est considérée comme sûre, la principale est à l'indicatif (ou à l'impératif) ; Exemple : Si tu pars, je t'accompagnerai. si la condition est incertaine, la principale est au conditionnel.
Une conjonction de subordination introduit une proposition subordonnée conjonctive qui peut être : complément d'objet ; Exemple : Je crois que tu as tort. complément circonstanciel. Exemples : J'insiste pour qu'il vienne.
Repérer la conjonction de subordination
Cela signifie qu'elle ne reprend aucun élément de la phrase (contrairement au pronom relatif). Par exemple, dans la phrase « J'aimerais vraiment que tu viennes », « que » est bien une conjonction de subordination, car « que » ne reprend aucun élément de la phrase en question.
La conjonction de subordination quand introduit le plus souvent une subordonnée conjonctive circonstancielle de temps : La pluie commença à tomber quand j'arrivai à la gare. La proposition subordonnée « quand j'arrivai à la gare » est une circonstancielle, complément circonstanciel de temps du verbe « commença ».
Définition. La proposition conjonctive est une subordonnée introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si et quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Nous avons exigé qu'il soit présent à notre prochaine rencontre.
Une proposition subordonnée peut être complément du nom (ou du pronom) antécédent. C'est la fonction la plus fréquente de la proposition subordonnée relative. Ex. : Nous n'avons pas encore mangé le gâteau [que tu as confectionné]. → que tu as confectionné est complément de l'antécédent gâteau.
La proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de but est introduite par pour que, afin que, de peur que. Ex. : Il s'adresse à un ami pour qu'il l'aide à trouver du travail. Il lui rappelle sa promesse de peur qu'il ne l'oublie.
Par conséquent est une locution que l'on peut utiliser pour remplacer le mot "donc" et qui signifie en conséquence. Exemple : J'ai donné satisfaction à mes clients toute l'année et par conséquent mon patron a décidé de m'accorder une augmentation.
Elle peut être exprimée par une proposition subordonnée circonstancielle, introduite par : parce que. comme, puisque, étant donné que, vu que (cause incontestable) → Puisque vous êtes là, nous pouvons partir. sous prétexte que (cause douteuse) → Il n'est pas venu, sous prétexte qu'il était malade.
Les mots tels que parce que, car, puisque expriment la cause, la raison d'un fait ou d'une action. Cela permet de répondre aux questions : Pourquoi ?, Pour quelle raison ? Parce que et car sont les plus courants.