Le passé simple est un temps littéraire, utilisé presque exclusivement à l'écrit. Le passé simple implique une action courte et ponctuelle. Je regardais, est à l'imparfait. L'imparfait est utilisé pour une description, un comportement répétitif ou une action qui dure dans le temps.
- l'imparfait exprime une action en train de s'accomplir dans le passé. C'est le temps de la description. - le passé simple exprime un fait achevé à un moment défini du passé. C'est le temps, par excellence, de la narration.
On emploie l'imparfait lorsqu'il s'agit d'une action en cours mais pas forcément finie, des actions passées ou d'actions habituelles. On emploie le Passé composé pour exprimer une action commencée et terminée dans le passé.
l'imparfait:s'utilise pour planter le décor, présenter les personnages ou pour une action qui dure. Aussi pour une action qui se répète ou une habitude. le passé simple :s'utilise pour les actions de premier plan, brèves et soudaines. On l'utilise pour les actions qui se succèdent.
L'imparfait est principalement utilisé pour exprimer une action passée pouvant durer, être habituelle ou répétée. Il peut avoir trait au déroulement d'une action et être également employé pour faire état de descriptions.
L'imparfait est utilisé pour une action passée, qui a duré et qui est terminée. Le passé simple est utilisé comme temps de narration pour une action ponctuelle qui s'est déroulée dans le passé.
Quand utiliser le passé simple ? Le passé simple est employé pour désigner une action généralement courte, terminée dans le passé. Sur une échelle de temps, le passé composé, qui exprime lui aussi une action brève, se situe plus près du présent que le passé simple, plus lointain.
Lorsque deux actions se succèdent au passé, on utilise le plus que parfait pour celle qui se déroule en premier. Pour l'action qui se déroule après, on peut utiliser le passé simple, l'imparfait ou le passé composé. Puisqu'il avait appris le poème, il le savait.
Le passé simple exprime une action terminée dans le passé, le plus souvent brève. Il est le plus souvent utilisé à l'écrit. Ses terminaisons sont les suivantes pour les 1er et 2e groupes : 1er groupe : j'aimai, tu aimas, il aima, nous aimâmes, vous aimâtes, ils aimèrent.
➡L'imparfait évoque l'arrière-plan du récit (description du décor et des personnages ainsi que les faits dans leur déroulement). Il neigeait depuis trois jours et elle lisait tranquillement. ➡L'imparfait d'habitude évoque des actions qui se répètent. Tous les matins, il promenait son chien.
Son nom provient du latin imperfectus, signifiant : inachevé, incomplet. L'imparfait est un temps simple du mode indicatif, c'est-à-dire qu'il présente une action réelle et la situe dans le temps.
Le participe passé est utilisé pour former les temps composés de la voix active ou passive. On l'utilise souvent avec les auxiliaires être et avoir comme dans les exemples suivants : Il a aimé le film. Le film est aimé du plus grand nombre.
Le passé composé est un temps composé : auxiliaire être ou avoir au présent + verbe au participe passé. On l'utilise pour raconter un événement passé, terminé et limité dans le temps.
Le passé simple et l'imparfait se côtoient en permanence dans le récit. L'imparfait permet d'exprimer une certaine durée alors que le passé simple décrit une action soudaine, ponctuelle. Exemple : La tempête faisait (imparfait) rage depuis des heures lorsque les secours arrivèrent (passé simple).
Tous les matins, Sylvie se réveillait à six heures. Elle restait un peu au lit et elle se levait à 6 heures et demie, c'était assez tôt pour elle. Elle prenait sa douche et elle s'habillait. Ensuite, elle prenait son petit-déjeuner.
Le passé simple est abordé en lien avec l'imparfait. La situation d'écriture consiste à décrire une action longue (à l'imparfait) à partir d'une vignette, et de proposer ensuite une action brève (au passé simple) introduite par des mots clés comme « soudain », « d'un seul coup », « d'un coup », « brusquement »…
L'imparfait exprime un fait réel passé. Il peut aussi traduire l'effort ou le passé épistolaire. Le plus-que-parfait exprime l'antériorité d'une action par rapport à une action passé (exprimée au parfait ou à l'imparfait).
conditionnel
1. Mode du verbe qui sert à présenter l'action comme une éventualité ou comme la conséquence d'un fait supposé, d'une condition. (Le français possède un conditionnel présent [j'aimerais] et un conditionnel passé [j'aurais aimé] dont il existe une variante littéraire [j'eusse aimé].)
Le passé simple à aspect ponctuel : Le passé simple en général exprime des actions accomplies, ponctuelles à la différence de l'imparfait qui exprime, lui, comme on a vu des actions qui durent. Hier, il plut et neigea. Actions terminées, aspect dit 'borné'.
Les temps verbaux de l'indicatif sont : le présent, le passé composé, l'imparfait, le passé récent, le passé simple, le plus-que-parfait, le passé antérieur, le futur proche, le futur simple et le futur antérieur.
Le plus-que-parfait est un temps du passé. Il précise qu'une action s'est déroulée avant une autre qui a déjà eu lieu dans le passé. Cette action peut être exprimée avec un passé composé, un imparfait ou un passé simple.
Ainsi, lorsque Henri Sée traduisit en français les Voyages en France d'Arthur Young, il mit au passé simple les verbes qui étaient au prétérit dans le texte original, même si les faits mentionnés par Arthur Young avaient été décrits juste après qu'ils s'étaient produits.
Le subjonctif est le mode du virtuel. Il permet d'exprimer une hypothèse, un fait incertain, un souhait, une action envisagée, une envie, une émotion ou toute forme d'incertitude. Ex : J'aimerais que tu viennes (souhait).
Pour former le passé simple d'un verbe du 1er groupe, on ajoute au radical les terminaisons -ai, -as, -a, âmes, -âtes, -èrent. Ex. : Il parla. Pour former le passé simple d'un verbe du 2e groupe, on ajoute au radical les terminaisons -is, -is, -it, -îmes, -îtes, -irent. Ex. : Il grandit.