Les effets toxiques de l'insuline sont liés au fait que l'administration de cette hormone entraîne une hypoglycémie profonde et prolongée, conduisant à un coma hypoglycémique provoquant des dommages neurologiques irréversibles pouvant être mortels, si la victime ne reçoit pas des soins intensifs.
Le traitement par insuline est associé à deux effets secondaires importants et fréquents : l'hypoglycémie et la prise de poids. La prise de poids est en contradiction avec l'effet central de l'insuline qui résulte en une diminution de la prise alimentaire, comme la leptine.
Le rein fait partie des cibles privilégiées des complications liées au diabète. En effet, l''élévation du taux de sucre dans le sang, ou « hyperglycémie », altère le fonctionnement des petits vaisseaux sanguins et le fonctionnement du rein.
"Tout dépend du type de diabète. Dans le diabète de type 1 l'arrêt d'insuline serait fatal car le pancréas ne fabrique plus d'insuline qui est une hormone vitale. Dans le diabète de type 2, l'arrêt des injections est également compliqué.
Une hyperglycémie est caractérisée par une glycémie supérieure à 6,1 mmol/l ou 1,10 g/l), mesuré à jeun. Cette hyperglycémie peut être transitoire ou chronique. Lorsque la glycémie à jeun est supérieure à 7 mmol/l (1,26 g/l), le diagnostic de diabète est porté.
L'eau. Maintenir une bonne hydratation grâce à l'eau peut vous aider à contrôler le taux de glycémie dans le sang, d'après une étude citée par Best Health Mag (Source 1).
L'âge moyen au décès est de 79 ans, et est plus élevé chez les femmes que chez les hommes (81 vs 76 ans), comme en mortalité générale.
Dans le diabète de type 1, on retrouve notamment le problème des insomnies (difficultés d'endormissement et de maintien de sommeil, réveil précoce) : celles-ci sont généralement liées à des hypoglycémies nocturnes lorsque la dose d'insuline administrée au patient est trop élevée.
L'insuline est une hormone qui intervient dans l'absorption du glucose, principale source d'énergie pour les cellules. Les cellules sont privées de leur énergie et cela explique l'un des symptômes principal du diabète : la fatigue.
Le diabète de type 2 (également appelé « diabète non insulinodépendant » (DNID) ou « diabète gras »), plus fréquent que celui de type 1, touche essentiellement les personnes de plus de 40 ans. Cette maladie est grave par ses complications, notamment sur le cœur, les vaisseaux sanguins, les reins et les nerfs.
Le diabète, en cause dans la maladie rénale chronique
Les reins sont riches en petits vaisseaux (ou micro-vaisseaux). Leur paroi est endommagée lorsque le taux de sucre dans le sang reste élevé (hyperglycémie).
Le Dr Tostivint le répète, " l'important pour éviter d'avoir besoin d'être dialysé, c'est de dépister, dépister et encore dépister ! Pour cela, il convient de mesurer trois paramètres importants : le taux de créatinine dans le sang, d'albumine dans les urines et la tension artérielle ".
« Le fait d'avoir un tour de taille élevé n'est pas une maladie en soi mais il est associé à d'autres anomalies, comme un excès de triglycérides, un faible taux de bon cholestérol, une tension artérielle et une glycémie qui commencent à augmenter.
Un des effets de la prise d'insuline est le risque accru de prendre du poids. Le sucre présent dans le sang qui n'est pas utilisé lorsque l'insuline le transporte vers les cellules est stocké sous forme de graisses.
Des alternatives sont donc recherchées à l'insulinothérapie. Parmi celle-ci, le traitement par la leptine, une autre hormone impliquée dans la régulation de la glycémie, est très étudié. Une étude d'une équipe scientifique de Genève vient de montrer la survie sans insuline de souris diabétiques.
Les carottes sont donc loin d'être interdites dans un régime de diabète de type 2. De fait, elles ne contiennent que 5% de glucides et ont leur place dans l'alimentation adaptée au diabète de type 2.
Le pied diabétique peut se manifester par de véritables lésions cutanées de nature ulcéreuse (plaies), qui se développent généralement au niveau des doigts ou de la région plantaire. Elles peuvent, à leur tour, provoquer une gangrène et, dans des cas extrêmes, une amputation du membre.
Certaines insomnies sont en effet liées à des troubles de la régulation glycémique (notamment en cas d'hypoglycémies nocturnes, fréquentes chez les diabétiques de type 1). Les changements rapides de niveau de glucose pendant la nuit peuvent provoquer des réveils nocturnes, facteurs d'insomnie.
Si le glucose dans le sang demeure trop souvent élevé avec le temps, cela a un impact dommageable sur plusieurs organes du corps, principalement : les reins (néphropathie) les yeux (rétinopathie) le système neurologique (neuropathie)
le diabète et l'obésité! Contrairement à ce que veulent nous faire croire les marques qui produisent des boissons allégées, elles sont loin d'être meilleures pour la santé. Elles favoriseraient même certaines maladies, voire l'obésité…
Est-ce que je peux vivre longtemps avec le diabète ? Oui, il est heureusement possible de vivre très longtemps avec le diabète. Tou- tefois, par rapport à une personne non-diabétique, le diabète est un facteur de risque supplémentaire de complications affectant les organes vitaux comme le cœur, le cerveau et les reins.
Les fruits sucrés comme la mangue, la banane et les cerises doivent être évités. Mieux vaut privilégier des fruits peu sucrés et riches en fibres (les fibres ralentissant l'absorption des sucres) : poires, pommes, pêches, oranges, agrumes, fruits rouges (fraises, framboises, cassis...).
Le diabète et l'apéritif
Pour ménager votre diabète pendant l'apéritif (surtout si la soirée ne fait que commencer…), vous pouvez par exemple opter pour des légumes crus accompagnés d'une sauce légère au yaourt ou encore pour des en-cas sans glucides (noix et amandes, dés de fromage, olives…)