Dans la majorité des cas, les bouffées de chaleur persisteront pendant plus d'un an, mais elles peuvent durer jusqu'à 5 ou 10 ans. On peut également citer les sueurs nocturnes, les insomnies, les douleurs articulaires et les troubles génito-urinaires (incontinence, infections urinaires, troubles sexuels).
Les femmes ménopausées souffrent ainsi plus souvent de raideurs, de gonflements et de douleurs articulaires en particulier au niveau des doigts et des poignets. Peuvent aussi être touchés dans une moindre mesure, les genoux, les lombaires, les épaules, et plus rarement les hanches, les pieds et les chevilles.
Pendant cette période, les règles sont irrégulières et le taux de fertilité chute. Quand les règles ont cessé pendant un an, la femme passe de la périménopause à la ménopause. Les glandes surrénales continuent de produire des œstrogènes et de la progestérone, mais leur production globale diminue.
Dans la majorité des cas, les bouffées de chaleur persisteront pendant plus d'un an, mais elles peuvent durer jusqu'à 5 ou 10 ans. On peut également citer les sueurs nocturnes, les insomnies, les douleurs articulaires et les troubles génito-urinaires (incontinence, infections urinaires, troubles sexuels).
A la ménopause, la chute soudaine des œstrogènes provoque généralement une baisse du tonus physique et mental, voire une fatigue intense, avec souvent des répercussions sur l'énergie. Mais elles se manifestent différemment chez chacune.
Mal de dos à la ménopause
L'apparition de ces troubles et douleurs sont majoritairement dûs à la chute hormonale brutale que subit la femme ménopausée. L'arrêt de la production d'oestrogènes a un impact sur le remodelage osseux, le tissu osseux se régénère donc beaucoup moins vite et est fragilisé.
Les autres plantes proposées contre les troubles de la ménopause sont le ginseng, l'igname sauvage ou yam (Dioscorea villosa), le trèfle rouge (Trifolium pratense), l'achillée millefeuille (Achillea millefolium) ou le gattilier.
D'abord très hauts (hyperoestrogénie), ils engendrent des effets désagréables tels que des maux de ventre, une tension dans les seins, des sautes d'humeur… Les règles peuvent se faire plus abondantes, plus fréquentes, avec l'apparition de métrorragies.
La vitamine B6 à l'arrivée de la ménopause
Pendant la ménopause, le système hormonal féminin subit un véritable bouleversement. La pyridoxine (vitamine B6) agit contre les fluctuations entre œstrogènes et progestérone. Elle contribue aussi à lutter contre les nombreux signes de la ménopause, telle que la fatigue.
Le sport permet de lutter efficacement contre la prise de poids mais aussi contre d'autres symptômes comme les bouffées de chaleur, les troubles du sommeil et les sautes d'humeur. La pratique quotidienne de la marche [18] réduit également, les risques cardio-vasculaires et diminue le mauvais cholestérol.
Si la plupart des femmes sont ménopausées vers l'âge de 51 ans, certaines voient leur cycle s'arrêter bien plus tard.
L'estradiol est l'estrogène le plus utilisé en France actuellement. Il est le plus souvent prescrit en association avec la progestérone ou un de ses dérivés (voir ci-dessous). L'estriol (PHYSIOGINE) est un estrogène également prescrit dans le traitement de la ménopause.
Pendant la ménopause, il n'est pas rare de voir son ventre gonfler et de se sentir ballonnée. Et ça n'a clairement rien de réjouissant. La ménopause possède son lot de contrariétés, et notamment le ventre gonflé et les ballonnements.
Le traitement de la ménopause possédant le plus de recommandations en 2021 lorsque l'intensité des symptômes est forte, est le traitement hormonal substitutif (THM).
Plus précisément, la diminution de la fonction des ovaires qui se produit à la ménopause cause une diminution de la dépense énergétique associée au métabolisme de base, et ce sans changement à la dépense énergétique par l'activité physique ou à autre (1).
La ménopause peut s'accompagner de divers symptômes susceptibles d'altérer les nuits: les bouffées de chaleur, bien sûr, mais aussi des suées nocturnes, l'anxiété, la dépression, les troubles urinaires ou sexuels, les douleurs articulaires… L'âge est aussi, en soi, un facteur d'insomnie.
25 à 30 % des femmes en ménopause se plaignent de troubles du sommeil contre 15 % dans la population générale. Cela est dû notamment à la baisse d'œstrogènes qui entraîne des troubles vasomoteurs perturbant le sommeil et qui entraîne également une difficulté à s'endormir et des réveils fréquents (INSERM).
Les symptômes de la lombalgie
Elle est la plupart du temps causée par un effort brusque ou prolongé ou par une posture maintenue trop longtemps. C'est la douleur du dos la plus courante.
Comment soulager la douleur? L'application de compresses chaudes ou froides est souvent efficace. Certaines personnes arrivent à soulager la douleur en prenant des antidouleurs ou des anti-inflammatoires en vente libre comme l'ibuprofène (Advil, Motrin) ou le naproxène (Aleve).
Douleur bas du ventre chez la femme : les causes. Une douleur dans le bas du ventre chez la femme peut avoir différentes causes : Au niveau de l'utérus, on peut penser à des douleurs menstruelles ou encore à l'endométriose utérine, c'est-à-dire l'adénopyose.
En revanche, autour de la ménopause, de nombreuses femmes se plaignent d'une forme de lassitude physique et morale : "Je me sens morose", "Je n'ai envie de rien entreprendre"... Celle-ci relève davantage d'une petite déprime et les hormones jouent indéniablement un rôle dans cette légère neurasthénie.
Durant la périménopause et la ménopause, il n'est pas rare que les femmes éprouvent certains troubles de l'œsophage, de l'estomac ou des intestins, qui risquent de provoquer des symptômes tels que ballonnements, constipation, diarrhée, reflux gastrique ou syndrome du côlon irritable (SCI), entre autres.
Les sports de charge.
Marche, rapide ou lente avec un sac à dos, course à pied, corde à sauter ou encore musculation entrent dans cette catégorie. Ils vont entretenir la masse musculaire et, en soumettant le squelette à des micro-chocs, stimuler la production du tissu osseux.