La Torah comporte deux catégories de textes totalement imbriquées l'une dans l'autre. Il y a, d'une part, les textes qui racontent l'histoire : le récit de la Création du monde ; l'histoire des patriarches et des matriarches ; les épisodes de la vie des Hébreux en Égypte et dans le désert, etc.
Dans le judaïsme, nom hébreu (de yaroh, « guider », « enseigner ») donné par la tradition juive à la Loi mosaïque. En son sens premier, la Torah désigne les cinq premiers livres de la Bible hébraïque : la Genèse, l'Exode, le Lévitique, les Nombres et le Deutéronome.
Elle est composée de cinq livres désignés en hébreu par un des premiers mots du texte et traditionnellement en français : la Genèse (Berēshīṯ : Au Commencement), l'Exode (Shemōṯ : Noms), le Lévitique (Vayyiqrā : Et il appela), les Nombres (Bamiḏbar : Dans le désert) et le Deutéronome (Devarim : Paroles).
La Bible hébraïque : « Le mot Torah est formé à partir d'une racine hébraïque yarah qui signifie "enseigner". Torah désigne d'abord les cinq premiers livres de la Bible ou Pentateuque, mais aussi le rouleau de parchemin sur lequel est copié le texte de la Torah, et par extension, tous les écrits sacrés du judaïsme.
Elohim (Hébreu : אֱלֹהִים) est le nom le plus couramment utilisé de Dieu dans la Bible hébraïque, et le premier à y apparaître (Gn 1,1). Contrairement aux autres noms mentionnés dans cet article, il est aussi utilisé pour désigner les divinités des autres religions (ex : Ex 9,1, Ex 12,12, Ex 20,3).
La plupart des chrétiens reconnaissent Jésus-Christ comme le Fils unique de Dieu et comme l'une des trois personnes du Dieu trinitaire. Sa mère est Marie de Nazareth.
«Mets par écrit ces paroles, car elles sont les clauses de l'Alliance que je conclus avec toi et avec Israël.» Telle est la mission que Yahvé confie au prophète hébreu dans la Torah (le Pentateuque pour les chrétiens, c'est-à-dire les cinq premiers livres de la Bible).
La tradition attribue la rédaction de ce Talmud à Rav Mouna et Rav Yossi en 350. Il fut probablement achevé vers la fin du IV e siècle, mais les rédacteurs qui le menèrent à sa forme actuelle ne peuvent être connus avec certitude.
Les cinq premiers forment la Torah, une partie du livre saint des juifs. Ils se trouvent dans la première partie de la Bible, que les chrétiens appellent l'Ancien Testament.
L'Ancien Testament a été écrit presque entièrement en hébreu, mais aussi en araméen et en grec, sans doute entre le 7e et le 2e siècle avant J. -C. La Bible juive est composée de trois textes : la Torah, qui signifie la Loi, Neviim, ou les Prophètes, et enfin Ketouvim, les Écrits.
Les dates de rédaction des textes de la Bible hébraïque sont parfois difficiles à établir, et certaines datations font l'objet de débats entre les spécialistes. La majorité d'entre eux s'accordent toutefois pour situer son écriture entre les VIII e et II e siècle av. J.
Dans la tradition juive, Abraham est appelé Avraham Avinou (en hébreu : אברהם אבינו), « notre père Abraham », signifiant qu'il est à la fois le progéniteur des Juifs (y compris les convertis) et le père du judaïsme.
Il ne s'agit pas seulement d'une histoire, d'un texte mais de Quelqu'un. La Parole de Dieu c'est Jésus-Christ, «Verbe incarné». Cette Parole est un chemin de vie sur lequel Dieu vient à la rencontre de l'homme pour lui permettre de le suivre.
Le Livre d'Abdias ou d'Obadia est une prophétie concernant le jugement divin du royaume d'Édom, qui est condamné à la ruine, et la revanche que les fils d'Israël prendront sur ce royaume. Le texte se compose d'un seul chapitre, divisé en 21 versets, ce qui en fait le Livre le plus court de la Bible hébraïque.
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Principal recueil des commentaires de la Torah. Dans le judaïsme, le Talmud (la Loi orale) est le recueil principal des commentaires de la Torah (la Loi écrite), dont il est à la fois l'interprétation juridique (la Halaka) et l'interprétation éthique et homilétique (la Aggada).
Le Talmud se compose de deux recueils : la Mishnah et la Guémara. Il se fonde sur la Bible pour lui donner sens et intelligibilité. Cet énorme corpus comprend des controverses qui remontent aux premiers siècles de l'ère chrétienne et qui tissent un canevas reliant de nombreuses générations.
La Torah est écrite en hébreu, la langue sacrée des juifs qu'ils utilisent aussi lors des prières et des offices. Ce texte sacré, qui fait partie de la bible hébraïque, est composé de cinq livres eux-mêmes divisés en 54 péricopes. Ces cinq livres ont été dans la tradition juive révélés et donc transmis de Dieu à Moïse.
Dans leur très grande majorité, les analystes du récit biblique situent la date de la Création, en chiffres ronds, à 4 000 ans avant l'ère chrétienne.
Ses rouleaux, pieusement conservés dans le tabernacle de la synagogue, sont l'un des symboles les plus importants du judaisme.
Le Coran est l'un de ces livres, mais aussi les feuillets d'Abraham, la Torah (appelé Tawrat), le livre des Psaumes (appelé Zabur) et l'Évangile (l'Injil).
La foi chrétienne proclame que Jésus est le Fils de Dieu. Mais l'histoire montre, apparemment, que Jésus n'a pas eu la préoccupation de s'affirmer tel. Bien plus, à ses origines, la prédication chrétienne paraît négliger, au profit d'autres insistances, cette affirmation de foi à nos yeux si centrale.
La généalogie de Matthieu serait davantage destinée aux Juifs afin de les convaincre que Jésus était bien le Messie attendu, le « fils de David », c'est-à-dire l'héritier légitime des rois de Juda. La généalogie de Matthieu implique le titre de Christ de Jésus, en tant que roi Oint du Seigneur.
Ils peuvent donc demander : “Qu'y avait-il avant Dieu ?” Mais le Dieu éternel n'est pas un effet. Il n'y a jamais eu de temps où il ne fut pas. L'existence de Dieu ne dérive de rien d'autre que de lui-même, et elle ne dépend de rien d'autre que de lui-même.