Il en résulte la sécrétion d'hormones du stress, tels l'adrénaline et le cortisol.
Le stress est lié à l'action d'hormones comme l'ACTH (ou hormone corticotrope), le cortisol, l'adrénaline, l'ocytocine et la vasopressine.
L'endorphine fait partie des “neurotransmetteurs du plaisir”, connus pour lutter contre le stress. Elle permet à un individu de se sentir dans un état de bien être et de plénitude, voire d'euphorie. Elles réduisent l'anxiété, diminuent la douleur physique et empêchent de ressentir la fatigue.
Les glandes surrénales, situées au-dessus des reins, sécrètent le cortisol (une hormone intimement associée au stress) et la DHEA.
- Des circuits nerveux et hormonaux qui relient le cerveau à ces glandes endocrines. La stimulation de la glande surrénale va entraîner la libération de deux hormones ; la noradrénaline et l'adrénaline.
L'ocytocine : hormone de l'amour, de la confiance et du lien conjugal et social.
L'adrénaline, hormone du stress par excellence, est sécrétée en situation de danger. Elle met l'organisme en état d'alerte en agissant sur le cœur, la circulation du sang, la respiration, la sensibilité aux stimulus, les réactions motrices, et d'autres fonctions qui assurent des réactions rapides face à une menace.
Le cortisol est une hormone fabriquée par les glandes surrénales. Le cortisol est une hormone fabriquée par les glandes surrénales. Elle joue un rôle essentiel dans l'équilibre du glucose sanguin et la libération de sucre à partir des réserves de l'organisme en réponse à une demande accentuée en énergie.
Quelles sont les hormones du bonheur ? Il en existe 4 principales : la dopamine ; la sérotonine ; l'endorphine et l'ocytocine.
Le stress, l'alcoolisme et l'obésité augmentent également le taux de cortisol plasmatique. Les causes d'hypercorticisme sont surrénaliennes (adénome ou cancer), hypophysaire (maladie de Cushing) ou paranéoplasique.
à la réponse au stress : le cortisol est souvent surnommé l'hormone de stress. Son rôle est d'aider l'organisme à y faire face, en mobilisant l'énergie nécessaire pour nourrir les muscles, le cerveau mais aussi le cœur.
Les symptômes
Les niveaux de cortisol anormalement élevés ont pour conséquence toute une panoplie de signes et de symptômes. Les plus frappants sont la prise de poids et le changement d'apparence de la personne malade : la graisse s'accumule dans le haut du corps et le cou, le visage devient rond, bouffi et rouge.
Le cortisol trop elevé va aussi perturber le fonctionnement des rythmes biologiques et perturber la qualité du sommeil, mais aussi favoriser la prise de poids. En bref, le stress même s'il est physiologique entraine une élévation du cortisol qui si elle perdure trop peut agir négativement.
Par son action stimulante des récepteurs bronchiaux bêta-adrénergiques, l'adrénaline provoque une puissante bronchodilatation diminuant le sifflement respiratoire et la dyspnée. L'adrénaline diminue également le prurit, l'urticaire et l'angio-œdème associés au choc.
Elle joue le rôle de neurotransmetteur dans le système nerveux central, en permettant le passage des informations d'une cellule nerveuse à une autre de manière aussi rapide que brève.
Ce sont ces deux glandes qui sécrètent notamment les hormones du stress (cortisol, adrénaline, noradrénaline). Lorsqu'elles sont trop sollicitées, en cas de surmenage par exemple, notre corps tout entier le ressent et l'on a alors l'impression d'être "complètement à plat", "au bout du rouleau".
Un dosage du cortisol peut être prescrit lorsque le médecin suspecte un syndrome de Cushing (hypertension artérielle, obésité, faiblesse musculaire) ou la maladie d'Addison (hypotension artérielle, fatigue, pigmentation accrue de la peau), en vue d'établir un diagnostic.
Un excès de cortisol peut favoriser l'hypertension, le diabète, l'obésité, une faiblesse musculaire, l'ostéoporose, une aménorrhée, un hirsutisme chez la femme, un retard de croissance chez l'enfant.
Le cortisol est souvent appelé l'hormone du stress. À ne pas confondre avec la cortisone qui est en fait un anti-inflammatoire. Le cortisol est montré du doigt comme l'hormone qui peut nous faire prendre du poids ou qui nous empêche de perdre du poids.
Le kétoconazole bloque l'activité d'un groupe d'enzymes dans les glandes surrénales qui sont impliquées dans la production de cortisol, telles que la 17alpha-hydroxylase ou la 11β-hydroxylase.
La sérotonine a un rôle proche de celui des hormones.
Elle agit sur le système nerveux central et induit différentes actions, notamment dans la régulation de certains comportements comme l'humeur ou l'émotivité. "Elle intervient dans la souffrance morale et donc dans la dépression", précise le Dr Fouré.
Antalgiques, anxiolytique, relaxantes… Ces hormones sécrétées par le cerveau ont plus d'un bienfait sur notre organisme.
Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).